LepĂšre NoĂ«l est une ordure. Par François, le dimanche 25 dĂ©cembre 2005 09:03 dans Messages Personnels. Franchement, vous trouvez ça sympa, vous, d'oublier Notre-Dame de Paris n’a dĂ©cidĂ©ment pas dit son dernier mot ! Construite entre le XIIe et le XIVe siĂšcles, la cathĂ©drale a vu dĂ©filer bon nombre d’évĂ©nements de l’Histoire de France. Ce lundi 14 mars, des archĂ©ologues ont dĂ©couvert un sarcophage datant du XIVe siĂšcle sous la nef du monument. UN SARCOPHAGE, DES SEPULTURES ET DES SCULPTURESLa ministre de la Culture, Roselyne Bachelot, a annoncĂ© la dĂ©couverte d’un sarcophage anthropomorphe en plomb datant du XIVe siĂšcle, sous la nef. L’incendie du 15 avril 2019 avait en partie dĂ©truit cette nef. Toujours d’aprĂšs la ministre, le sarcophage est intĂ©gralement conservĂ© » et pourrait appartenir Ă  un haut dignitaire ».Les archĂ©ologues ont en outre identifiĂ©, juste en dessous du dallage contemporain, diverses sĂ©pultures et des sculptures dans une fosse. Ces sculptures auraient fait partie de lancien jubĂ© la clĂŽture en bois ou en pierre sĂ©parant le chƓur de la nef de Notre-Dame, construit au XIIIe siĂšcle et dĂ©truit au dĂ©but du XVIIIe siĂšcle. Les vestiges dĂ©couverts par les archĂ©ologues peuvent dater du XIIIe ou du XIVe siĂšcle et sont d’une qualitĂ© scientifique remarquable ».NOTRE-DAME DE PARIS UN PUITS DE VESTIGES ARCHEOLOGIQUESDĂ©but fĂ©vrier, la Direction rĂ©gionale des affaires culturelles d’Ile-de-France Drac avait mandatĂ© des fouilles archĂ©ologiques sur le site de la cathĂ©drale, encore en travaux. L’Institut national de recherches archĂ©ologiques prĂ©ventives Inrap mĂšne ces opĂ©rations qui doivent d’ailleurs se clĂŽturer le 25 mars connaissait dĂ©jĂ  la richesse archĂ©ologique du sous-sol de Notre-Dame de Paris. En effet, l’architecte Viollet-le-Duc avait dĂ©jĂ  dĂ©couvert de nombreux objets lors des travaux qu’il dirigea au XIXe siĂšcle. Viollet-le-Duc avait en effet entrepris de nombreux travaux de rĂ©novation et de dĂ©coration de la cathĂ©drale, dont la grande flĂšche, dĂ©truite par l’incendie. Au cours des travaux, l’architecte avait d’ailleurs retrouvĂ© des fragments de l’ancien jubĂ©, aujourd’hui exposĂ©s au MusĂ©e du ministre de la Culture Roselyne Bachelot et le gĂ©nĂ©ral d’armĂ©e Jean-Louis Georgelin, prĂ©sident de l’établissement public en charge de la reconstruction de l’édifice, ont tous deux affichĂ© leur satisfaction. Cette dĂ©couverte archĂ©ologique est en effet importante, car elle devrait nous permettre d’apprĂ©hender plus finement l’Histoire de notre emblĂ©matique cathĂ©drale. LePĂšre-NoĂ«l est une ordure Du 13 au 17 dĂ©cembre 2014 ModifiĂ© le mercredi, 26 novembre 2014 mercredi, 17 dĂ©c. 2014 20h00 10-14 $ Studio P
Il y a quarante ans, entre la sortie des deux premiers volets des "BronzĂ©s" au cinĂ©ma, la troupe du Splendid s'est retrouvĂ©e pour Ă©crire cette piĂšce au cours de l'annĂ©e 1979."Ça dĂ©pend, ça dĂ©passe", "oh ThĂ©rĂšse ! Une serpilliĂšre ! C'est formidable, fallait pas", "c'est fin, c'est trĂšs fin, ça se mange sans faim"
 Le pĂšre NoĂ«l est une ordure regorge de citations devenues cultes. Quarante ans aprĂšs la premiĂšre reprĂ©sentation de la piĂšce au théùtre, le 17 octobre 1979, elles rĂ©sonnent encore dans les tĂȘtes de plusieurs gĂ©nĂ©rations celles qui ont dĂ©couvert les aventures de ZĂ©zette, FĂ©lix, Katia, ThĂ©rĂšse, Pierre et monsieur Preskovic sur les planches ou au cinĂ©ma, et celles qui ont pĂ©nĂ©trĂ© dans les locaux de SOS DĂ©tresse AmitiĂ© via la VHS ou les innombrables rediffusions sur le petit Ă©cran. L'Ɠuvre a dĂ©sormais sa place au panthĂ©on de l'humour français. Et pourtant, le soir de la premiĂšre, les principaux intĂ©ressĂ©s n'en menaient pas le succĂšs des BronzĂ©s 2,2 millions de spectateurs en 1978, adaptation de leur piĂšce Amours, coquillages et crustacĂ©s, les membres du Splendid s'attellent Ă  l'Ă©criture d'une nouvelle piĂšce pour leur cafĂ©-théùtre Ă©ponyme, situĂ© au 10 rue des Lombards, dans le 4e arrondissement de Paris. Comme Ă  chaque fois qu'ils se lancent dans un projet, ils se rĂ©unissent un peu chez les uns, un peu chez les autres. "Chez Thierry [Lhermitte], Christian [Clavier] et Marie-Anne [Chazel]", se souvient pour franceinfo Bruno Moynot, qui interprĂšte l'inoubliable monsieur Preskovic."PlutĂŽt chez Bruno et Josiane [Balasko]", se remĂ©more quant Ă  elle Marie-Anne Chazel, qui joue ZĂ©zette, cette SDF Ă  la dentition proĂ©minente, enceinte d'un pĂšre NoĂ«l violent et accrochĂ©e Ă  son chariot de supermarchĂ© "On voulait Ă©crire sur quelque chose qui se passe quand les gens sont le plus heureux, en famille, mais on voulait s'intĂ©resser aux gens qui ne le sont pas." La pĂ©riode de NoĂ«l s'impose facilement. La troupe observe aussi l'Ă©mergence des services d'Ă©coute tĂ©lĂ©phonique venant en aide aux personnes seules ou dĂ©sespĂ©rĂ©es, comme SOS AmitiĂ©, apparu dans les annĂ©es 1960. "C'Ă©tait une Ă©poque oĂč ce genre de centres d'appels se dĂ©veloppaient", se rappelle l' ne pas mĂ©langer ces deux idĂ©es ? Le concept de dĂ©part est trouvĂ©, le travail peut commencer, au dĂ©but de l'annĂ©e 1979. Mais il doit s'interrompre pendant quelques semaines pour tourner la suite des BronzĂ©s. Un deuxiĂšme opus pas forcĂ©ment dĂ©sirĂ© par la troupe – notamment par Michel Blanc, qui ne participe pas Ă  l'Ă©criture du film –, mais vivement encouragĂ© par le producteur Yves cette Ă©poque, il pousse en effet chez l'interprĂšte de Jean-Claude Dusse des dĂ©sirs d'indĂ©pendance. DĂ©sirs qui vont se matĂ©rialiser trĂšs rapidement lors de l'Ă©criture du PĂšre NoĂ«l est une ordure, piĂšce dans laquelle Michel Blanc ne jouera finalement pas. "Au dĂ©part, pendant huit jours, le concept de base, on l'a travaillĂ© ensemble et, au bout de huit jours, j'ai dit 'non'. Non que je n'aie pas trouvĂ© ça bien, mais je voulais voler de mes propres ailes. Avec le recul, c'est ce qui a Ă©tĂ© le mieux", explique l'acteur dans le documentaire Des BronzĂ©s au PĂšre NoĂ«l, la folle histoire du Splendid diffusĂ© en 2016 sur avait envie de vivre sa propre Chazel, comĂ©dienneĂ  franceinfo"J'ai pu ĂȘtre triste car il Ă©tait tellement crĂ©atif, confie Marie-Anne Chazel. J'ai ressenti son absence surtout dans les dialogues, mais il n'y avait pas d'obligation Ă  rester fidĂšle au groupe envers et contre tout." "Cela n'a pas posĂ© de problĂšme, on Ă©tait un groupe mais chacun avait le droit de vivre sa vie de son cĂŽtĂ©, confirme Bruno Moynot. Il n'y avait pas de malaise, tant qu'on n'obligeait pas la troupe Ă  arrĂȘter un projet. C'est pour cela qu'on a tenu longtemps." La troupe n'en tiendra pas rigueur Ă  Michel Blanc puisqu'au moment de l'adaptation au cinĂ©ma, la bande lui rĂ©servera une apparition vocale mĂ©morable la scĂšne du pervers qui insulte ThĂ©rĂšse au tĂ©lĂ©phone, devenue Ă©crire la piĂšce, la troupe s'astreint Ă  un rythme de travail quotidien. "On se retrouvait en dĂ©but d'aprĂšs-midi et on Ă©crivait plusieurs heures, jusqu'Ă  18 heures. Au dĂ©but, il y avait toujours un moment oĂč on racontait tout et n'importe quoi", dĂ©crit Bruno Moynot. Pour dĂ©peindre la galerie de personnages qui vont se croiser dans le bureau de SOS DĂ©tresse AmitiĂ©, les amis n'ont pas Ă  chercher bien loin. Pour le personnage de Pierre Mortez, le bĂ©nĂ©vole pĂ©tri de bonnes intentions mais Ă  l'insulte facile, Marie-Anne Chazel donne la piste "Mon pĂšre avait un peu travaillĂ© dans une organisation de ce genre, créée par un pasteur suisse. Je me souviens qu'il Ă©tait tout Ă  fait interdit de recevoir les gens, de donner des rendez-vous. Toute la communication devait se faire exclusivement par tĂ©lĂ©phone. Pour Ă©viter, justement, ce que l'on a dĂ©crit – en exagĂ©rant – dans la piĂšce", raconte-t-elle dans le livre GĂ©nĂ©ration PĂšre NoĂ«l d'Alexandre Grenier Belfond. En revanche, le fameux "c'est celaaa, oui" est un tic de langage chipĂ© Ă  leur agent artistique de l' le personnage de FĂ©lix, le pĂšre NoĂ«l alcoolique et violent, Bruno Moynot pioche chez une connaissance. AndrĂ© Presse est "un ami" de la mĂšre de Josiane Balasko, assure Alexandre Grenier dans son ouvrage. Mais lorsqu'il levait un peu trop le coude, il devenait incontrĂŽlable et "voulait buter tout le monde".Il annonçait qu'il se suicidait tous les trois jours. Il Ă©tait capable de s'accrocher Ă  la poignĂ©e de la fenĂȘtre avec sa ceinture et de dĂ©clarer 'Je vais me buter !'Bruno Moynot, acteurdans le livre "GĂ©nĂ©ration PĂšre NoĂ«l"Ce monsieur Presse servira aussi de base pour l'impayable et envahissant monsieur Preskovic, son kloug et ses spotsis "d'Osijek" "des doubitchous de Sofia" dans le film. Pour inventer ces infĂąmes pĂątisseries, Josiane Balasko s'inspire de spĂ©cialitĂ©s locales goĂ»tĂ©es lors d'un voyage dans la ville natale de son pĂšre en Yougoslavie. Bruno Moynot admet sans peine ĂȘtre moins mĂ©diatisĂ© que les autres mais affirme que ce rĂŽle lui colle Ă  la peau, tout comme celui de Gilbert dans Les BronzĂ©s font du ski. "Ils m'ont fait confiance, je faisais la rĂ©gie des spectacles au dĂ©part, mais ce rĂŽle de monsieur Preskovic est venu un peu naturellement. Il me fallait un rĂŽle intermittent pour pouvoir continuer Ă  officier en rĂ©gie et rĂ©gler le son et les lumiĂšres."Marie-Anne Chazel, alias Josette, dans la piĂšce "Le pĂšre NoĂ«l est une ordure", en mars 1980. MOURTHE / SIPAAutre personnage haut en couleur de la piĂšce, Josette, dite ZĂ©zette. Cette clocharde enceinte jusqu'aux yeux est nĂ©e de la fusion de deux personnages l'adolescente d'Affreux, sales et mĂ©chants d'Ettore Scola en 1976, "un film trash et dĂ©sopilant", selon Marie-Anne Chazel, et une SDF rĂ©elle qui "se promenait avec son Caddie et transportait des bouteilles de verre pour toucher la consigne".La sainte-nitouche qui cache son jeu, ThĂ©rĂšse, est inspirĂ©e d'une des tantes de Josiane Balasko, "une bigote bon teint", relate le livre GĂ©nĂ©ration PĂšre NoĂ«l. Enfin, pour complĂ©ter le tableau, la troupe ajoute un travesti. "Facile, on n'avait qu'Ă  sortir dans la rue et aller chez Taraire [un restaurant oĂč l'Ă©quipe avait ses habitudes], on disait bonjour Ă  dix dames qui se rasaient deux fois par jour", sourit Marie-Anne Chazel. Le dĂ©cor est plantĂ©, les personnages couchĂ©s sur le papier, il ne reste plus qu'Ă  secouer et ouvrir les bande fonctionne de maniĂšre collĂ©giale il n'y a pas de chef, mĂȘme si Christian Clavier et Thierry Lhermitte font plus souvent office de scripts. "On avait une Ă©criture collective, rĂ©sume Marie-Anne Chazel. On n'avait aucune thĂ©orie et aucun esprit de compĂ©tition, chacun avait sa particularitĂ©." A Clavier, le sens de la structure et de l'organisation de la piĂšce. A Jugnot, les gags. Lhermitte, lui, n'a pas son pareil pour trouver des blagues et des dĂ©part, les rĂŽles Ă©crits ne sont pas attribuĂ©s. Ainsi, la prude ThĂ©rĂšse est Ă  deux doigts de tomber sur Marie-Anne Chazel. Mais la Gigi des BronzĂ©s a envie de changement et s'imagine plutĂŽt en Josette. "Je voulais un autre type de rĂŽle et il fallait que je trouve ce personnage de dĂ©bile lĂ©gĂšre", explique-t-elle. Et pour entrer dans la peau du personnage, les dĂ©tails comptent, notamment les accessoires. "Il fallait que Josette ait un dĂ©tail qui la rende encore plus fragile", se souvient-elle. Elle demande alors Ă  son dentiste de lui confectionner ce dentier qui lui donne un cĂŽtĂ© me suis sentie bien dans ce rĂŽle Ă  partir de ce ChazelĂ  franceinfoC'est donc Josiane Balasko qui hĂ©rite du rĂŽle de ThĂ©rĂšse. Mais elle doit dĂ©clarer forfait, embarquĂ©e dans deux autres projets sa piĂšce Bunny's Bar, prĂ©vue en ouverture du PĂšre NoĂ«l est une ordure, et son adaptation au cinĂ©ma par Jean-Marie PoirĂ© sous le titre Les hommes prĂ©fĂšrent les grosses. Pour ne pas risquer la surchauffe, elle cĂšde la place. Comme Michel Blanc, elle reviendra pour participer au film, dans un rĂŽle Ă©crit sur mesure pour elle, celui de madame Musquin, l'acariĂątre voisine coincĂ©e dans l'ascenseur. C'est finalement une de ses amies, AnĂ©mone, qui enfile la robe de ThĂ©rĂšse, alors qu'elle ne fait pas partie de la troupe. Christian Clavier, alias Katia, dans la piĂšce "Le pĂšre NoĂ«l est une ordure", en mars 1980. MOURTHE / SIPAC'est Christian Clavier qui souffle l'idĂ©e d'embaucher AnĂ©mone, avec qui il joue au cinĂ©ma au mĂȘme moment dans Je vais craquer. "On l'adorait comme comĂ©dienne, elle a une nature fabuleuse", s'enthousiasme Marie-Anne Chazel. S'il fait partie du noyau dur de la piĂšce, Christian Clavier rate les premiĂšres reprĂ©sentations, accaparĂ© par son tournage. Lui aussi a la volontĂ© de voler de ses propres ailes et de se dĂ©marquer de la troupe. Dans un premier temps, Katia le travesti sera donc jouĂ© par Roland Giraud, qui gravite alors autour du le livre d'Alexandre Grenier, Marie-Anne Chazel Ă©voque les diffĂ©rences entre les deux acteurs. "[Roland] faisait une Katia absolument abominable, parce qu'il chausse du 48 et qu'il est carrĂ© ! On avait rĂ©ussi Ă  lui trouver une robe en taille 58 chez un fripier. Au contraire de Christian, qui Ă©tait trĂšs mince, et avec ses jambes fines, faisait une Katia touchante, Roland, lui, avait des allures de dĂ©mĂ©nageur qui tapine
 Avec lui, il y avait un cĂŽtĂ© purement burlesque, farce, alors qu'avec Christian c'Ă©tait plus tragique, plus pathĂ©tique. Pareil pour la scĂšne de la danse avec Roland, c'Ă©tait trĂšs comique, avec Christian il y avait une gĂȘne qui naissait tout de suite. Parfois, on a senti Thierry mal Ă  l'aise."Les deux hommes vont donc se succĂ©der dans la peau de Katia. Mais, Ă  l'origine, pour jouer ce travesti qui cherche dĂ©sespĂ©rĂ©ment de la compagnie, tout le monde ne voyait qu'une personne GĂ©rard Jugnot. "On voulait qu'il fasse Katia, mais il ne voulait pas se raser la moustache Ă  cette Ă©poque-lĂ , donc ce n'Ă©tait pas possible 
. Mais d'imaginer un travesti avec le physique de Jugnot, ça nous explosait, et je pense que c'est un regret gĂ©nĂ©ral", reconnaĂźt Thierry Lhermitte dans le documentaire diffusĂ© sur quelques semaines, entrecoupĂ©es par le tournage des BronzĂ©s font du ski, la piĂšce est ciselĂ©e. Sans trop de difficultĂ©s, selon les intĂ©ressĂ©s. "On avait dĂ©jĂ  de la bouteille, plus de mĂ©tier, cela n'a pas Ă©tĂ© quelque chose de laborieux", se souvient Marie-Anne Chazel. Pourtant, devant le produit fini, la troupe doute. "Par rapport aux BronzĂ©s, le dĂ©calage du PĂšre NoĂ«l, je pensais que ça n'intĂ©resserait personne, que personne ne percuterait", se rappelle Thierry Lhermitte. "On s'est appliquĂ©s Ă  ce qu'il n'y ait pas une phrase complĂštement normale", concĂšde l'interprĂšte de titre a d'ailleurs Ă©tĂ© longuement dĂ©battu. Au dĂ©part, il est encore plus provocateur Le pĂšre NoĂ«l s'est tirĂ© une balle dans le cul. Des rĂ©ticences surgissent. Toucher Ă  la figure du pĂšre NoĂ«l reste tabou. La troupe tombe d'accord sur Le pĂšre NoĂ«l est une ordure, ce qui engendrera quelques complications au moment de l'adaptation au cinĂ©ma par Jean-Marie PoirĂ©. Ainsi, lors du tournage, l'Ă©quipe devra changer le titre de travail en Les BronzĂ©s fĂȘtent NoĂ«l pour obtenir les autorisations de filmer dans Paris. Autre anecdote Ă  la sortie du film, "un exploitant de salles Ă  La Ciotat avait modifiĂ© l'affiche en Ă©crivant 'pas le vrai' aprĂšs Le pĂšre NoĂ«l est une ordure", raconte le producteur Yves alias ThĂ©rĂšse, et Thierry Lhermitte, alias Pierre Mortez, dans la piĂšce "Le pĂšre NoĂ«l est une ordure", en mars 1980. MOURTHE / SIPA Mais avant de songer Ă  un film, encore faut-il que le succĂšs soit au rendez-vous sur les planches. Les rĂ©pĂ©titions sont parfois compliquĂ©es face Ă  l'incertitude sur le potentiel comique de la piĂšce. Pourtant, le 17 octobre 1979, pour la premiĂšre, les 180 places du théùtre du Splendid sont occupĂ©es. Et les premiers rires ne se font pas attendre. "On Ă©tait sciĂ©s de voir les gens rire de la premiĂšre rĂ©plique jusqu'Ă  la derniĂšre et de choper cet humour super particulier", raconte Thierry sujet est totalement diffĂ©rent des BronzĂ©s. On faisait rire avec du sordide, on a bien fait d'aller jusqu'au Moynot, comĂ©dienĂ  franceinfoLa piĂšce est mĂȘme victime de son succĂšs. Le Splendid devient trop Ă©troit pour le public qui se masse tous les soirs. La troupe dĂ©mĂ©nage donc Ă  partir de janvier 1980 pour une salle plus grande, le théùtre de la GaĂźtĂ©-Montparnasse. Ils y jouent pendant un an et partent en tournĂ©e dans toute la France. Cette annĂ©e-lĂ , Yves Rousset-Rouard organise mĂȘme pour l'occasion la premiĂšre captation d'une piĂšce de théùtre. C'est Ă©galement lui qui incite Ă  adapter celle-ci au cinĂ©ma trois ans plus tard. L'idĂ©e lui vient alors qu'il prĂ©pare la Coupe de l'America avec le bateau France III en Floride, au dĂ©but des annĂ©es 1980. Le producteur, qui a aussi lancĂ© sa sociĂ©tĂ© productrice de VHS RĂ©gie Cassette VidĂ©o, a emmenĂ© dans ses cartons certains films de son catalogue, dont cette captation. "Tous les soirs, l'Ă©quipage de France III regarde la piĂšce. C'est lĂ  que je prends conscience de son potentiel", raconte-t-il Ă  Lhermitte, Josiane Balasko, Bruno Moynot, AnĂ©mone en haut de gauche Ă  droite, Marie-Anne Chazel, GĂ©rard Jugnot et Christian Clavier en bas de gauche Ă  droite, les comĂ©diens du film "Le pĂšre NoĂ«l est une ordure", sorti le 25 aoĂ»t 1982 en France. JEAN-PIERRE FIZET / SYGMA / GETTY IMAGESSi le long mĂ©trage rassemble 1,6 million de spectateurs dans les salles, il n'acquiert son statut de film culte que grĂące Ă  la cassette VHS et au grĂ© des rediffusions sur le petit Ă©cran. Quarante ans plus tard, les amis du Splendid reçoivent encore de nombreuses demandes pour des adaptations de la piĂšce par des amateurs ou des troupes plus confirmĂ©es. "Ça signifie que le texte est vivant", se rĂ©jouit Marie-Anne comme ses camarades, qui n'ont pas tous pu rĂ©pondre Ă  franceinfo en raison de leur emploi du temps, ne se lasse pas que le sujet revienne sur la table ou qu'on leur ressasse les rĂ©pliques mythiques. "Ça ne m'embĂȘte plus, on a vĂ©cu un truc de dingue. Avoir des gens de 13, 14 ans qui vous en parlent, ça fait plaisir. On est dans une Ă©poque un peu 'Kleenex' oĂč on passe vite d'une chose Ă  l'autre, on est devenus des dinosaures. Ça a un cĂŽtĂ© rĂ©confortant. Ce n'est pas possible de ne pas ĂȘtre reconnaissant."
LEPÈRE NOËL EST UNE ORDURE Bande Annonce VF 1982 HD Watch on À l’écran, on retrouve la troupe du Splendid, Thierry Lhermitte dans le rĂŽle de Pierre,
Une illustration pour une affiche d'une piÚce de théùtre Le PÚre Noël est une ordure, présentée le 08 décembre 2012 à Bréauté-Beuzeville et mis en scÚne par Patricia Schwartz.

LePÚre Noël est une ordure. 1982 France Réalisé par Jean-Marie Poiré 1h30 avec Anémone, Thierry Lhermitte, Marie-Anne Chazel. Comédie. Sortie le 25 août 1982. Y. On aime beaucoup. T 70%

Les comĂ©diens du Théùtre Trianon de Bordeaux prĂ©sentent Le PĂšre NoĂ«l est une Ordure », une comĂ©die théùtrale Ă©crite par la troupe du Splendid. EN RÉSUMÉ / Cette piĂšce a Ă©tĂ© créée en 1979 par la troupe du Splendid. À la permanence de SOS DĂ©tresse-AmitiĂ©, la nuit de NoĂ«l, Pierre Mortez et ThĂ©rĂšse rĂ©pondent aux appels tĂ©lĂ©phoniques des dĂ©sespĂ©rĂ©s
 Un travesti malheureux, une douce idiote enceinte jusqu’au yeux, un yougoslave cuisinier et FĂ©lix – une ordure de PĂšre NoĂ«l – mĂšnent la farce drĂŽle et corrosive, jusqu’au bouquet final d’un feu d’artifice de quiproquos et de dĂ©lire. COMÉDIENS / Jean-Philippe LACHAUD, Eric CAPMAS, Marcello ROUDIL, Larra MENDY, Charlotte MARCOUEILLE et FrĂ©dĂ©ric BOURGADE MISE EN SCÈNE / Xavier VITON
LeFilm. Affiches. Jaquettes DVD / Blu-Ray. Titre VO : Le PÚre Noël est une ordure. Un film de Jean-Marie Poiré avec Christian Clavier , Thierry Lhermitte , Gérard Jugnot , Bruno
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Vendredi8 décembre, le PÎle culturel de Drusenheim a à nouveau affiché complet et cette fois-ci pour du théùtre en français. Drusenheim - PiÚce culte. Le PÚre Noël est décidément une
Affiche du film Le pÚre Noël est une ordure 1982 Affiche du film Le pÚre Noël est une ordure 1982 © DR
LePĂšre NoĂ«l est une ordure est un film rĂ©alisĂ© par Jean-Marie PoirĂ© avec AnĂ©mone, Josiane Balasko. Synopsis : La permanence tĂ©lĂ©phonique parisienne SOS dĂ©tresse-amitiĂ© est Accueil / Boutique / Tableaux ou posters personnalisĂ©s / RĂ©pliques de films / Tableau ou poster personnalisĂ© rĂ©plique de film ThĂ©rĂšse » – Le pĂšre NoĂ«l est une ordure Tableau ou poster personnalisĂ© rĂ©plique de film ThĂ©rĂšse » -Le pĂšre-noĂ«l est une ordure Tableau imprimĂ© sur toile Canvas et montĂ© sur chĂąssis bois lĂ©ger et facile Ă  fixer Affiche ou Poster Ă  encadrer soi mĂȘme papier Ă©lĂ©gant 150g/m2 Affiche ou poster encadrĂ© Format {{nbd_fields['f1607310923344'].invalidOption}} is not available Taille {{nbd_fields['f1607310877165'].invalidOption}} is not available Taille {{nbd_fields['f1607311252138'].invalidOption}} is not available Taille {{nbd_fields['f1607311352606'].invalidOption}} is not available Please check invalid fields and quantity input or choose a different combination! quantitĂ© de Tableau ou poster personnalisĂ© rĂ©plique de film "ThĂ©rĂšse" - Le pĂšre NoĂ«l est une ordure Description Informations complĂ©mentaires Description Tableau ou poster personnalisĂ© rĂ©plique de film ThĂ©rĂšse » -Le pĂšre NoĂ«l est une ordure Figurez-vous que ThĂ©rĂšse n’est pas moche, elle n’a pas un physique facile
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LepÚre Noël est une ordure, de Jean-Marie Poiré, est rediffusé pour la 72 000e fois le 28 décembre 2020 sur France 4. Si les membres du Splendid partagent une complicité folle avec Anémone
Titre original Le pĂšre noĂ«l est une ordure RĂ©alisateur Jean-Marie PoirĂ© AnnĂ©e de production 1982 Genre ComĂ©die DurĂ©e 1h 23min FĂ©lix [en montrant le boudin] Donnez-moi un morceau de cette chose longue et molle. FĂ©lix [en parlant Ă  ses lapins] Salut les rats ! Josette T'as rien Ă  m'interdire du tout tĂȘte d'Hareng ! Mme Musquin Croyez moi ThĂ©rĂšse, Homme en retard liaison dans le tiroir. Mme Musquin Je ne vous jette pas la pierre, Pierre, mais j'Ă©tais Ă  deux doigts de m'agacer ! FĂ©lix [en courant derriĂšre son lapin] Pilouille, Pilouille [...] Mais va pas lĂ  bas c'est l'pĂ©riph ! ThĂ©rĂšse Moi j'ai presque fini mes gants pour les p'tits lĂ©preux de Jakarta. Je trouve ça complĂštement inutile, c'est tout la Croix Rouge ça ! Ils me demandent de faire des gants Ă  trois doigts. Bah dites vous croyez pas que j'aurai plus vite fait de faire des mouffles ? Pierre Mais bien sĂ»r bien sĂ»r ! Mais ThĂ©rĂšse, si je peux me permettre, une bonne paire de chaussettes et hop ! [...] Oh on dit de ces bĂȘtises quelques fois. Pierre Ecoutez ThĂ©rĂšse, je n'aime pas dire du mal des gens, mais effectivement, elle est gentille. Un dĂ©pressif au tĂ©lĂ©phone Comment vous appellez-vous ? ThĂ©rĂšse Je m'appelle ThĂ©rĂšse. Le dĂ©pressif Oui je t'encule ThĂ©rĂšse, je te prends, je te retourne contre le mur, je te baise par tous les trous je te dĂ©fonce, je te mets ThĂ©rĂšse je te mets. Pierre [en reprenant le combinĂ©] Ça... Ça ne nous intĂ©resse pas ! ArrĂȘtez ça ! Ça ne nous intĂ©resse plus ! Le dĂ©pressif J'parle pas aux pĂ©dĂ©s, r'passe moi la gouine. Le dĂ©pressif Mal entendu du cul vieille morrue, j'te pĂšte la rondelle peau de couilles ! Pierre [ouvrant son cadeau offert par ThĂ©rĂšse] Ooooh, ooooh, aaaaah, oh une serpillĂšre c'est formidable ThĂ©rĂšse, j'en suis ravi Ă©coutez. ThĂ©rĂšse Non Pierre c'est un gilet. Pierre Ah oui, ah bah bien sĂ»r, ah mais alors mais bien sĂ»r c'est un gilet, y'a des trous plus grands pour les bras. [...] Ecoutez si vous saviez comme ça tombe bien, jme disais encore hier qu'il manquait quelque chose pour descendre les poubelles ! Je suis ravi ThĂ©rĂšse. ThĂ©rĂšse [goĂ»tant un Doubitchou] Oui c'est fin c'est trĂšs fin ça se mange sans faim. Mr Preskovitch C'est une fabrication artisanale [...] Oui oui c'est fait Ă  la main, c'est roulĂ© Ă  la main sous les aisselles. Josette Eh monsieur Pierre, y'a un monsieur trĂšs malpoli qui a tĂ©lĂ©phonĂ©, il voulait enculer ThĂ©rĂšse! Pierre Oui mais c'est un ami ! Josette Ah bah ca va alors. Josette Oh du dessert !!! C'est une bĂ»che ? Mr Preskovitch Non, c'est Kloug [...] ThĂ©rĂšse Dites moi Mr Preskovitch ce n'est pas le mĂȘme Kloug que tout Ă  l'heure ? Mr Preskovitch Ah c'est parce qu'il a changĂ©, je l'ai colmatĂ© avec le schpouts. Le pharmacien Mais, mais qu'est-ce qui se passe ma... Ma veste est pleine de cambouis. Mr Preskovitch Je vous prĂ©sente toutes mes confuses. Le pharmacien [...] Mais, mais qu'est-ce que... Mais qu'est-ce que c'est que cette matiĂšre ? Mais c'est... Mais c'est d'la merde ! Mr Preskovitch Non non, c'est Kloug. Katia Mais pourquoi vous vous buttez sur cette femme, y'en a d'autres hein, je parle pas pour moi mais tenez, prennez ThĂ©rĂšse par exemple. FĂ©lix Eh nan eh c'est Chouchou que je veux pas la moche ! Pierre Mais je vous en prie ! Figurez-vous que ThĂ©rĂšse n'est pas moche, elle n'a pas un physique facile ! C'est diffĂ©rent.
untravesti déprimé, Zézette : une douce idiote enceinte jusqu'aux yeux, monsieur Preskovic et ses Klougs il s sont sur les planche du Trianon dans cette fin d'année ..
La DSI, pendant les pĂ©riodes de fĂȘtes de fin d’annĂ©e, c’est un peu SOS dĂ©tresse AmitiĂ© », comme dans le film devenu culte Le pĂšre NoĂ«l est une ordure ». Des utilisateurs tĂ©lĂ©phonent, nous devons Ă©couter leur histoire, puis les rassurer, tout en les dissuadant de se suicider tant ils sont dĂ©sabusĂ©s par les services que nous leur dĂ©livrons. Nous faisons Ɠuvre utile, mĂȘme en dehors de ces pĂ©riodes
 Il y a quand mĂȘme des utilisateurs qui nous aiment bien et qui sont prĂȘts Ă  nous faire des cadeaux. Ainsi, pour NoĂ«l dernier, plusieurs offrandes nous ont Ă©tĂ© livrĂ©es. Nous avons un admirateur en particulier qui ne tarit pas d’éloges sur nos services. Du moins le croyais-je
 Il s’agit de notre responsable des services gĂ©nĂ©raux, Zadko Preskovitch je n’invente pas, c’est vraiment son patronyme
. Il a offert, Ă  l’équipe de la DSI, un doubitchu, gĂąteau issu d’une recette traditionnelle de sa rĂ©gion natale, un modeste village prĂšs de Stoudenitchani, en MacĂ©doine. Cette spĂ©cialitĂ© culinaire est composĂ©e d’un mĂ©lange de cacao de synthĂšse, de margarine et de saccharose. Elle se dĂ©guste dans les grandes occasions. Cela tombait bien pour mes Ă©quipes, j’avais envisagĂ© un pot de fin d’annĂ©e. Nous n’avions rien de particulier Ă  fĂȘter en tous cas pas d’augmentation budgĂ©taire cette fois encore, je fais une croix dessus, pourtant ce mets de choix ne pouvait pas mieux tomber. Dans sa grande bontĂ©, Zadko Preskovitch nous a Ă©galement offert un kloug aux marrons, autre spĂ©cialitĂ© locale, ainsi qu’une bouteille de Chpoutz, pour faire passer le tout. Nous avons aussi rĂ©coltĂ©, de la part de ThĂšrĂšse ZĂ©zaite, de la direction des ressources humaines, un trĂšs beau pull tricotĂ© main, que mon responsable d’exploitation a d’abord pris pour un chiffon destinĂ© Ă  essuyer la poussiĂšre sur les baies de stockage. Évidemment, dans l’euphorie des fĂȘtes de fin d’annĂ©e, je ne me suis pas mĂ©fiĂ©. C’est mon directeur des Ă©tudes qui, le premier, a eu des soupçons. Il est, en effet, fan de la piĂšce de théùtre et du film Le pĂšre NoĂ«l est une ordure ». Je me suis bien doutĂ© que ces prĂ©sents n’étaient pas communs. En effet, il est rare que nos utilisateurs nous fassent des cadeaux ! Mais lorsque j’ai goĂ»tĂ© le doubitchu et le kloug aux marrons je sais, je n’aurais pas dû , qui me sont restĂ©s sur l’estomac pendant trois jours, j’ai compris que nous Ă©tions victimes d’un sale coup. Quand j’ai avalĂ© une rasade de Chpoutz, je n’ai plus eu aucun doute
 Des utilisateurs nous en voulaient ! Il me fallait en avoir le cƓur net contrairement Ă  mon systĂšme digestif qui ne l’était plus
. J’ai donc menĂ© mon enquĂȘte et appelĂ© nos gĂ©nĂ©reux donateurs pour les remercier.– Vous avez aimĂ© ? m’a demandĂ© Zadko Preskovitch.– C’est-Ă -dire que
 Toute l’équipe de la DSI a apprĂ©ciĂ© votre geste mais, comment dire
 nous nous attendions Ă  autre chose !– Vous n’avez pas pu digĂ©rer ces succulents mets de ma rĂ©gion natale ?– C’est c’la, oui
 Nous avons Ă©tĂ© un peu ballonnĂ©s, ai-je dĂ» reconnaĂźtre.– C’était l’effet recherché – Pourquoi dites-vous cela ?– Pour illustrer comment nous percevons la DSI. Et je ne suis pas le seul Ă  le penser, mes collĂšgues des autres mĂ©tiers sont aussi d’accord. Le doubitchu ? Il est aussi indigeste que les interfaces des applications que vous nous dĂ©veloppez
 Le kloug aux marrons ? Il est aussi lourd que vos chefs de projets qui ne comprennent pas grand-chose Ă  ce que l’on essaie de leur expliquer. Et le Chpoutz ? Un peu bizarre, je vous l’accorde, il est aussi salĂ© que vos refacturations internes, alors que l’on trouverait facilement moins cher en faisant directement appel Ă  un prestataire pour acheter une application sur Internet. Quant au pull tricotĂ© main, m’a avouĂ© ThĂ©rĂšse ZĂ©zaite, il a Ă©tĂ© fabriquĂ© pendant vingt mois, Ă  raison d’une maille par jour. Je me suis calĂ©e sur le temps nĂ©cessaire pour dĂ©velopper une application simple, j’ai montĂ© les mailles aussi vite que vous, Ă  la DSI, pour livrer la derniĂšre version de l’application de gestion des demandes de formation. » Maintenant, je sais que c’est vrai le pĂšre NoĂ«l est une ordure
 Image par Willgard Krause de Pixabay JgDI5ps.
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