Ebullition - Gilles Bizouerne, Ariane Lysimaque & Isabelle Garnier - Les Racont'arts Pour enfants, Festival gĂ©nĂ©raliste, Lecture - Conte - PoĂ©sieïMORTREE 61570ïDu 07/10/2021 au 10/10/2021RĂ©cits absurdes, facĂ©tieux et poĂ©tiques Tous publics Ă partir de 10 ans Ebullition » est un spectacle composĂ© dâhistoires courtes et de musiques, comme des instantanĂ©s pĂ©tillants ! Le trio embarque les spectateurs dans des univers absurdes, facĂ©tieux ou poĂ©tiques⊠Savoureux et malins, ces rĂ©cits qui sont notamment issus des cultures nomades, surprennent et bousculent sans quâon sây attende. Depuis 2005, Gilles, Ariane et Isabelle ont créé des Ă©popĂ©es, des histoires autour de la peur, et des rĂ©cits du bout du monde. Ensemble, ils explorent les liens entre narration et musique la parole chante, la musique raconte⊠Avec Gilles Bizouerne RĂ©cit, Ă©criture, Ariane Lysimaque Violon, chant et Isabelle Garnier Violoncelle, chant DurĂ©e 1h Atelier Ă la dĂ©couverte - des instruments Ă cordes frottĂ©es » - Vendredi 8 octobre, 18h - Salle polyvalente de MortrĂ©e Tous publics Une dĂ©couverte en chansons et jeux rythmiques des spĂ©cificitĂ©s du violon et du violoncelle. Morceaux Ă Ă©couter mais aussi chansons Ă partager, cet atelier se prĂ©sente comme un concert participatif ! Avec Ariane Lysimaque et Isabelle Garnier DurĂ©e 1h30 02 33 36 21 68 / mediatheque-mortree
Unincontournable de la littérature française adapté en un grandiose ballet: l'Opéra de Paris frappe fort avec "Le Rouge et le Noir" et renoue avec une rareté, une création classique etPlease verify you are a human Access to this page has been denied because we believe you are using automation tools to browse the website. This may happen as a result of the following Javascript is disabled or blocked by an extension ad blockers for example Your browser does not support cookies Please make sure that Javascript and cookies are enabled on your browser and that you are not blocking them from loading. Reference ID c0ebfa63-1f46-11ed-9885-475253774555
LeRouge et le Noir has been filmed by director Vincent Bataillon, as a coproduction by the Paris Opera and Telmondis, with the participation of France TĂ©lĂ©visions and the support of the CNC and the Orange Foundation - sponsor of the audiovisual broadcastings at the Paris Opera. The performance will be broadcast live on 21 OctoberĂ premiĂšre vue, le premier roman dâAnna Fitzpatrick Bonne fille peut sembler un changement majeur par rapport Ă son travail dans la littĂ©rature pour enfants. Cependant, alors que le contenu du roman est catĂ©goriquement adulte, lâauteur torontois de Margot et lâalunissage sâinspire de la littĂ©rature YA pour le ton plein dâesprit et dĂ©sinvolte de son nouveau roman quâelle qualifie de livre pour jeunes adultes envahi par la vĂ©gĂ©tation ». Le roman de Fitzpatrick, prĂ©sentĂ© comme secrĂ©taire se rencontre Sac Ă puces , suit Lucy, une aspirante Ă©crivaine torontoise dans la vingtaine, alors quâelle tente de naviguer entre amitiĂ©s, travail, rencontres et sexe â qui sont tous profondĂ©ment touchĂ©s par son dĂ©sir dâapprobation. Fitzpatrick a racontĂ© Ă CBC Books ce qui sâest passĂ© dans lâĂ©criture de son premier roman Bonne fille. PilotĂ© par la scĂšne Jâai commencĂ© Ă Ă©crire ce qui a fini par devenir un premier brouillon Ă lâautomne 2016. JâĂ©tais Ă Budapest. Jâai sous-louĂ© un appartement pendant un mois sans vĂ©ritable objectif que dây ĂȘtre. JâĂ©tais en freelance, donc jâai pu le faire. Et jâai eu une amie Ă New York qui mâa contactĂ©. Elle travaillait sur une sĂ©rie de manuels et elle mâa dit que si jamais jâavais quelque chose autour de 10 000 mots, envisager de publier [it]. Je nâavais jamais Ă©crit de fiction auparavant. Il nây avait aucun objectif rĂ©el dâĂ©crire un livre ou quoi que ce soit. MĂȘme 10 000 mots me semblaient Ă©normes, mais jâai commencĂ© Ă Ă©crire lâune des scĂšnes qui se sont retrouvĂ©es dans la version finale du livre. CâĂ©tait un des premiĂšres scĂšnes de sexe â je voulais Ă©crire quelque chose de drĂŽle que je nâavais pas vu ou lu beaucoup dans la fiction auparavant. Je voulais Ă©crire une scĂšne de sexe qui ait de la place pour les blagues. Je voulais Ă©crire une scĂšne de sexe qui ait de la place pour les blagues. Je me suis beaucoup inspirĂ© des conversations avec mes amis la façon dont nous parlons de sexe ou partageons des histoires. Une grande partie de mon Ă©criture est un vestige de lâĂšre LiveJournal oĂč il nây avait que des gens qui lisaient les journaux les uns des autres tout le temps. » Grande ville, grands rĂȘves Les gens pensent que Lucy est basĂ©e sur moi et que sa vie est la mienne. Sa biographie est similaire Ă la mienne nous avons le mĂȘme Ăąge, nous vivons Ă Toronto, nous avons eu des parcours professionnels similaires. Mais je pense que les gens pensent que câest un vrai histoire avec les noms changĂ©s. AprĂšs avoir Ă©crit tous ces personnages, une chose que jâai apprise en Ă©crivant de la fiction, câest que tous les personnages finissent par ĂȘtre un peu basĂ©s sur vous. Beaucoup de personnages secondaires, certains dâentre eux ont des traits ou des croyances qui sont les miens â et quand ils argumenter, je vois cela parfois comme moi me disputant avec moi-mĂȘme. Une chose que jâai apprise en Ă©crivant de la fiction, câest que tous les personnages finissent par se baser un peu sur vous. Je pense que beaucoup de sentiments sont enracinĂ©s dans la rĂ©alitĂ© â beaucoup dâanxiĂ©tĂ©s Ă propos du monde et dâelle-mĂȘme et des moments culturels quâelle a en 2015 Ă Toronto. CâĂ©tait une Ă©poque que je connais bien, jâai vĂ©cu ça. Une grande partie du langage quâelle utilise â le langage de la justice sociale de lâĂ©poque â est trĂšs ancrĂ© dans la rĂ©alitĂ©. Ce que jâaime dans la fiction, câest que vous pouvez trouver des noyaux dâhumanitĂ© qui peuvent ĂȘtre â je ne veux pas dire universels, car je ne sais pas si quelque chose est vraiment universel â mais reconnaĂźtre des parties de vous-mĂȘme et des histoires qui sont complĂštement diffĂ©rentes Je pense donc quâil y avait beaucoup de Ă©cris ce que tu sais » dans ce livre. Mais jâespĂšre que certains des thĂšmes abordĂ©s sont plus grands que moi et mes propres expĂ©riences. Tout comme lorsque je lis des livres que jâaime qui se dĂ©roulent dans des contextes complĂštement diffĂ©rents, ou des personnes avec des vies complĂštement diffĂ©rentes de la mienne â vous trouvez ce noyau de vĂ©ritĂ© Ă laquelle sâidentifier. » Compassion pour les personnages Il y a des scĂšnes oĂč jâai ma propre opinion sur ce qui est bien et ce qui ne lâest pas, mais les personnages, en fonction de lâendroit oĂč ils se trouvent dans leur vie, peuvent ressentir diffĂ©remment. Il y a des choses qui arrivent Ă Lucy et Ă dâautres personnages du livre â plusieurs rencontres sexuelles â qui mettent Lucy ou dâautres personnages mal Ă lâaise. Mais ils ne le voient pas nĂ©cessairement comme une violation ou un traumatisme. En Ă©crivant, jâavais lâimpression que je aurait peut-ĂȘtre rĂ©agi diffĂ©remment, ou si un ami me disait cela, je serais bouleversĂ© Ă ce sujet. Mais les personnages traitent cela dans le livre [with] diffĂ©rentes rĂ©actions Ă©motionnelles aux choses, et [I had to] comprendre quâils ne sont pas moi. MĂȘme quand je ne suis pas dâaccord avec les choses que font mes personnages, jâessaie de comprendre le style de vie ou le contexte qui les aurait amenĂ©s Ă ce point. Je sais que jâai dit quâils sont [a part of] moi, mais ils sont aussi sĂ©parĂ©s de moi et ils auraient des rĂ©ponses qui ne sont pas les miennes. MĂȘme lorsque je ne suis pas dâaccord avec les choses que font mes personnages â nâimporte lequel dâentre eux, mĂȘme les plus mauvais sans ambiguĂŻtĂ© du livre â jâessaie de comprendre le style de vie ou le contexte qui les aurait amenĂ©s Ă ce point. » Passage Ă la fiction Apprendre que je pouvais simplement inventer des choses Ă©tait Ă la fois terrifiant et libĂ©rateur. Ăcrire de la non-fiction, vous avez lâexcuse de rapporter des faits. Donc, si vous mettez quelque chose de bizarre lĂ -dedans, il y a un cadre de JâĂ©cris juste ce qui sâest passĂ© ». Alors quâavec la fiction, tout ce que jâinclus finit par devenir un choix. Je veux dire, câest toujours un choix dans la non-fiction, mais il fallait juste le dĂ©fendre dans lâhistoire ou essayer dâexpliquer pourquoi certaines choses se passent comme elles lâont fait. Apprendre que je pouvais simplement inventer des choses Ă©tait Ă la fois terrifiant et libĂ©rateur. Lorsque jâĂ©crivais le premier brouillon, je ne faisais que cracher des mots sur la page. Mais au fur et Ă mesure, jâai appris Ă crĂ©er un calendrier que je consultais pour mâassurer que les choses se passaient au bon moment. Je faisais aussi de petites pages de notes pour diffĂ©rents personnages afin de mâassurer quâils Ă©taient cohĂ©rents, et jâapprenais Ă crĂ©er mes propres fiches dâinformation pour comparer mon travail, car je nâavais pas de vraie vie Ă laquelle le comparer. » Edits et Ă©thique Jâavais ce manuscrit fini vers 2018 qui ressemblait Ă un gĂąchis. Je ne savais pas exactement comment le rĂ©parer â je le mettais de cĂŽtĂ© pour y revenir plus tard. Une chose que je voulais comprendre, câest que Lucy a ça relation avec Malcolm, qui est aussi Ă©crivain et Ă©diteur. Je ne voulais pas Ă©crire une histoire oĂč Lucy est un gĂ©nie et ce type la retient. Je voulais que ce soit comme, câest un bon Ă©crivain et il sait des choses quâelle ne sait pas et il est plus intelligent que elle Ă certains Ă©gards. Mais ce nâest pas nĂ©cessairement le genre dâĂ©crivain quâelle veut ĂȘtre. Il y avait beaucoup de choses Ă comprendre dans le scĂ©nario. Avoir des Ă©diteurs mâa vraiment poussĂ©. Les flashbacks nâĂ©taient pas lĂ dans les premiĂšres scĂšnes. La soirĂ©e pyjama â qui est sortie du processus de montage. Il y avait des allers-retours sur lâimportance de certains Ă©lĂ©ments dans lâhistoire. Si câĂ©tait Ă©tait Ă moi, ça aurait juste Ă©tĂ© une sĂ©rie de scĂšnes de sexe et de conversations. Et je pense que le livre est beaucoup plus fort pour eux, me poussant Ă en mettre plus. Je voulais plus dâun dilemme Ă©thique oĂč il lui donne des conseils et ce nâest pas nĂ©cessairement faux, mais cela la confronte Ă cette dĂ©cision de quel genre dâĂ©crivain ou de personne elle veut ĂȘtre. » Les commentaires dâAnna Fitzpatrick ont ââĂ©tĂ© modifiĂ©s pour plus de longueur et de clartĂ©.
Poursa nouvelle crĂ©ation, le ballet Le Rouge et le Noir d'aprĂšs le cĂ©lĂšbre roman de Stendhal, le chorĂ©graphe Pierre Lacotte a souhaitĂ© accompagner les danseurs de l'OpĂ©ra de Paris avec la musique de Jules Massenet.Le compositeur Benoit Menut nous explique comment il a aidĂ© ce dernier Ă choisir parmi l'Ćuvre plĂ©thorique de Massenet
Un incontournable de la littérature française adapté en un grandiose ballet malgré un difficile contexte financier, l'Opéra de Paris frappe fort avec "Le Rouge et le Noir" et renoue avec une rareté, une création classique et narrative. Sur les 154 danseurs du Ballet de l'Opéra, plus d'une centaine sont sollicités sur cette production qui a failli ne jamais voir le jour en raison d'une grÚve historique en 2019 puis de la pandémie. Signé de l'éminent chorégraphe Pierre Lacotte, 89 ans, le... Previous Article Next Article