Vingtsept anciens combattants issus des ex-colonies françaises de l’Afrique noire vont ĂȘtre reçus demain Ă  l’ÉlysĂ©e pour ĂȘtre naturalisĂ©s.

TÉMOIGNAGE - Peu aprĂšs l'annonce de Claude GuĂ©ant d'un durcissement des critĂšres d'attribution de la nationalitĂ©, a rencontrĂ© une jeune femme devenue française en 2008. Dossiers administratifs, rendez-vous Ă  la prĂ©fecture, et changement de prĂ©nom, elle Ă©voque ses trois annĂ©es de juillet, le ministre de l'IntĂ©rieur Claude GuĂ©ant a annoncĂ© un durcissement des conditions d'accĂšs Ă  la nationalitĂ© française pour les Ă©trangers. Les prĂ©fets doivent dĂ©sormais s'assurer que le postulant adhĂšre complĂštement Ă  notre style de vie, qu'il a bien intĂ©grĂ© nos principes rĂ©publicains les plus fondamentaux, et qu'il maĂźtrise le français.» Le ministĂšre souhaite ainsi que les postulants Ă  la nationalitĂ© française aient un niveau qui soit celui que l'on maĂźtrise au collĂšge», et que les prĂ©fets soient plus vigilants, plus exigeants, sur les critĂšres de l'assimilation ... pour entrer dans la nationalité».Comment se passait jusqu'Ă  prĂ©sent la procĂ©dure pour devenir français ? Quelles sont les diffĂ©rentes Ă©tapes Ă  valider pour les postulants ? a rencontrĂ© Elena*, 30 ans, qui a obtenu sa nationalitĂ© française en 2008 aprĂšs prĂšs de trois annĂ©es de procĂ©dure administrative. La jeune femme, qui travaille dans le milieu de la publicitĂ© et de la communication, a bien voulu tĂ©moigner de son française pour mon mĂ©tierJe n'ai pas demandĂ© la nationalitĂ© française par patriotisme. Je ne me sens pas liĂ©e Ă  un pays en particulier, et j'aurais pu continuer de vivre en France, comme je le fais avec ma famille depuis 1991, en renouvelant ma carte de sĂ©jour chaque annĂ©e. Si j'ai demandĂ© Ă  ĂȘtre Française, c'est pour pouvoir pleinement exercer mon travail de rĂ©alisatrice indĂ©pendante m'amĂšne Ă  devoir faire de nombreux tournages Ă  l'Ă©tranger. Mais combien de fois ai-je dĂ» renoncer Ă  un contrat pour des problĂšmes de papiers? Pour les États-Unis, les Français n'ont pas besoin de visa. Moi par contre, avec ma nationalitĂ© africaine, il faut que je fasse des dĂ©marches auprĂšs de l'ambassade amĂ©ricaine. Et c'est trop long pour que je puisse honorer un contrat de derniĂšre cas de figure s'est rĂ©pĂ©tĂ© de nombreuses fois, mettant en difficultĂ© ma carriĂšre. MĂȘme pour une escale technique, il me faut un visa. Cette situation commençait Ă  me fatiguer, tout comme mon Ă©norme dossier Ă  refaire tous les ans pour ma carte de sĂ©jour. Puisque je vivais en France depuis l'Ăąge de 10 ans, que j'y avais un mĂ©tier, un compagnon, et que je n'avais aucune raison ni intention de retourner dans mon pays natal, j'ai dĂ©cidĂ© de demander fin 2005 la nationalitĂ© française.Il va falloir rentrer chez vous»J'avais dĂ©jĂ  eu affaire Ă  l'administration prĂ©fectorale en 2003, Ă  la fin de mes Ă©tudes. Si les Ă©trangers ont facilement des papiers lorsqu'ils sont mineurs ou Ă©tudiants, il leur faut impĂ©rativement un visa spĂ©cial pour travailler sur le territoire dans laquelle je faisais alors mon stage de fin d'Ă©tudes voulait m'embaucher. Ravie sur le coup, j'ai dĂ©couvert par la suite les dĂ©marches pour obtenir un visa travailleur mon entreprise devait verser pas moins de 3000 euros de frais, et justifier pourquoi elle m'embaucherait moi plutĂŽt qu'un Français. Je me suis dit c'est foutu, ils ne paieront jamais pour me garder». À ma grande surprise, mon patron a signĂ© le chĂšque couperet est tombĂ© quelques semaines plus tard. Mademoiselle, des milliers de Français voudraient votre travail. Vous n'aurez pas votre visa.» DĂ©pitĂ©e, j'ai fait la queue plusieurs heures Ă  la prĂ©fecture de Nanterre pour connaĂźtre les autres alternatives afin de garder mon emploi. La personne du guichet m'a rĂ©pondu avec un sourire narquois que je ne suis pas prĂȘte d'oublier Eh bien, il va falloir rentrer chez vous !» J'Ă©tais estomaquĂ©e. Toutes mes attaches sont en France. L'Afrique, c'est voyage en territoire inconnu».Je ne voulais plus avoir affaire Ă  la prĂ©fecture de Nanterre. Heureusement, des amis m'ont orientĂ© vers la prĂ©fecture de Paris, connue pour ĂȘtre plus humaine» avec les Ă©trangers. Mes parents possĂšdent un appartement dans la capitale, et j'ai donc prĂ©tendu y vivre pour pouvoir faire mes dĂ©marches. LĂ  bas, on m'a parlĂ© du regroupement familial, chose qui n'avait jamais Ă©tĂ© Ă©voquĂ©e Ă  Nanterre. Il me permettait d'avoir facilement un titre de sĂ©jour Ă  renouveller chaque temps que les dĂ©marches aboutissent, j'ai nĂ©anmoins dĂ» accepter d'ĂȘtre payĂ©e 500 euros par mois par mon entreprise, et d'ĂȘtre dĂ©clarĂ©e comme stagiaire. Mon visa d'Ă©tudiante Ă©tait toujours valable, mais il ne permettait pas de travailler avec un salaire dĂ©passant un demi-Smic. Avec cette astuce, l'administration me considĂ©rait toujours comme Ă©tudiante, et ne pouvait pas m'expulser. Cette situation a durĂ© six de bonnes vies et moeurs Ă  la prĂ©fectureRetour en 2005. Je dĂ©pose Ă  la prĂ©fecture de Paris un dossier de naturalisation. J'y sors toute ma vie. Acte de naissance des parents, livret de famille, impĂŽts, certificats de travail, factures EDF de tous les logements que j'ai occupĂ© avec ma famille, certificat de la banque comme quoi le compte tourne bien ... Il faut absolument prouver que sa vie est en France. Et gare s'il manque une piĂšce !L'administration met environ six mois avant d'envoyer un courrier indiquant si le dossier est valable ou non. S'il manque un seul document, il faut tout recommencer ... et repartir pour une attente de six mois. J'avais pris mon temps pour rendre un dossier impeccable, en classant les papiers dans l'ordre avec une jolie Ă©tiquette de couleur pour les impĂŽts, EDF ... Mon dossier Ă©tait tellement beau, ils ne pouvaient que l'accepter ! riresPendant ces six mois d'attente, on n'a absolument aucune nouvelle de son dossier. À l'automne 2006, j'ai fini par recevoir la lettre validant mon dossier, avec un numĂ©ro associĂ©. Mais si tu appelles pour savoir oĂč en est la procĂ©dure, on te rĂ©pond c'est sur la pile». Tu deviens fou ! riresLa prĂ©fecture finit par me donner rendez-vous pour une Ă©tude de bonnes vies et moeurs». Les agents font une enquĂȘte sur les aspirants français, pour vĂ©rifier s'ils n'ont pas Ă©tĂ© condamnĂ©s dans le passĂ©, et qu'ils sont de bons citoyens». Personnellement, j'ai passĂ© mon entretien dans une cellule au sous-sol de l'Ă©tablissement par manque de place. PlutĂŽt cocasse ! On m'a posĂ© mille questions sur ma vie, par exemple si je faisais partie d'associations de quartier. À la fin, les agents me lancent rendez-vous dans six mois.» Nous sommes fin Elena Ă  HĂ©lĂšneL'administration me relance courant 2007 pour un petit souci» dans mon dossier. Si je veux devenir française, je ne peux plus m'appeler Elena. C'est un prĂ©nom d'origine russe, ça ne passera pas», m'explique-t-on au tĂ©lĂ©phone. J'avoue ne pas comprendre, puisque mes deux autres prĂ©noms, typiquement africains, sont acceptĂ©s sans je suis tellement fatiguĂ©e des dĂ©marches, j'en ai tellement assez de rater des contrats professionnels Ă  l'Ă©tranger... Je vois mes collĂšgues partir faire des tournages au BrĂ©sil, aux États-Unis. J'obtempĂšre et signe des documents pour changer de prĂ©nom. Officiellement, je m'appelle dĂ©sormais HĂ©lĂšne. Si je veux redevenir Elena, je dois me lancer dans une nouvelle procĂ©dure de deux ans. Pas la force, pas l'envie. Va pour vais devoir attendre une annĂ©e supplĂ©mentaire avant d'obtenir un passeport français. Entre temps, ma naturalisation est parue par dĂ©cret au Journal officiel. J'ai pour instruction de traverser tout Paris pour acheter cette publication, et de faire le chemin en sens inverse pour montrer le document Ă  la prĂ©fecture. À un moment, tu ne cherches mĂȘme plus Ă  comprendre la logique de l'administration. De toute façon quand tu demandes, on te rĂ©pond on ne sait pas, c'est comme ça».CĂ©rĂ©monie officielle Ă  la prĂ©fectureEn juillet 2008, prĂšs de trois ans aprĂšs le dĂ©pot de mon dossier, je me retrouve au milieu d'une trentaine de personnes Ă  la prĂ©fecture de Paris pour ma cĂ©rĂ©monie d'accueil dans la citoyennetĂ© française». Ça y est, je vais ĂȘtre Française. Quasiment tous sont venus en famille, sauf moi. Le vilain petit canard de la cĂ©rĂ©monie rires.Je ne m'attendais pas du tout Ă  une rĂ©ception de ce genre. Une remise de diplĂŽme Ă  l'amĂ©ricaine ! On t'appelle Ă  l'estrade pour recevoir tes documents officiels, tu poses devant le buste de Marianne, tout le monde applaudit... Ça a un cĂŽtĂ© trĂšs grandiloquent, comme si c'Ă©tait ton nous fait visionner une vidĂ©o d'Ă©ducation civique vieillotte sur les droits et les devoirs des Français. Puis nous devons chanter la Marseillaise. Sauf que personne ne nous a jamais expliquĂ© l'origine et le sens de ce chant. Pour moi ça n'a pas de sens, tout comme la cĂ©rĂ©monie. J'ai l'impression que c'est un truc fait pour les journalistes, histoire de dire regardez comme on fait ça bien».Je ne dis pas que la cĂ©rĂ©monie est mauvaise et qu'elle ne devrait pas exister, mais elle m'a laissĂ© une impression de malaise. Comme si on cherchait Ă  nous dire maintenant que vous ĂȘtes de l'autre cĂŽtĂ© de la barriĂšre, il va falloir bien se comporter et ne pas brĂ»ler des poubelles en sortant». Mais pour moi, il n'y a pas de bons citoyens français». Il y a de bons citoyens tout j'ai enfin mon dĂ©cret de naturalisation. Avec lui, je peux obtenir des papiers d'identitĂ© français. Je me suis prĂ©cipitĂ©e Ă  la mairie pour avoir un passeport tricolore. Avec HĂ©lĂšne» en prĂ©nom ma naturalisation, j'ai pu voyager dans le monde entier sans obstacles, et faire tous les projets professionnels qui me tenaient Ă  coeur. J'en suis vraiment reconnaissante, mĂȘme si le chemin a Ă©tĂ© long».* le prĂ©nom a Ă©tĂ© modifiĂ©Ce qui a changĂ© depuis 2008Depuis qu'Elena est devenue française, le gouvernement a renforcĂ© les exigences pour obtenir le dĂ©cret de naturalisation. Les critĂšres requis portent essentiellement sur la maĂźtrise du français et la connaissance de la culture et des valeurs du loi du 16 juin 2011 stipule ainsi que nul ne peut ĂȘtre naturalisĂ© s'il ne justifie de son assimilation Ă  la communautĂ© française, notamment par une connaissance suffisante, selon sa condition, de la langue, de l'histoire, de la culture et de la sociĂ©tĂ© françaises dont le niveau et les modalitĂ©s d'Ă©valuation sont fixĂ©s par dĂ©cret en Conseil d'Etat». L'aspirant français doit Ă©galement connaĂźtre les droits et devoirs confĂ©rĂ©s par la nationalité» et adhĂ©rer aux principes et valeurs essentiels de la RĂ©publique».Pour entamer ses dĂ©marches, la personne Ă©trangĂšre doit justifier de cinq annĂ©es de prĂ©sence en France. Ce dĂ©lai est rĂ©duit Ă  deux anspour les personnes ayant accompli deux annĂ©es d'Ă©tudes en France, celui qui a rendu ou peut rendre par sa capacitĂ© et ses talents des services importants Ă  la France», et les Ă©trangers prĂ©sentant un parcours exceptionnel d'intĂ©gration» dans les domaines civique, scientifique, Ă©conomique, culturel ou sportif.» Ce dĂ©lai est supprimĂ© pour les personnes ayant servi dans l'armĂ©e française, ou Ă©tant ressortissante d'un pays dont la langue officielle est le français. ComplexeMarseillaise, Ă  gauche jusqu’en 1879, puis, devenue nationale, elle glissa par Ă©tapes vers l’ordre Ă©tabli et la droite de l’échiquier politique français ! Avec une brĂšve incursion dans la crĂ©ation cinĂ©matographique de l’époque, revoici une Marseillaise retrouvant ses racines historiques, rĂ©volutionnaires.
Qu’importe aprĂšs tout que les mots manquent ou trĂ©buchent, s’ils parviennent, fugitivement du moins, Ă  ramener parmi nous l’AlgĂ©rie exilĂ©e et la mettre, avec ses plaies, Ă  un ordre du jour dont enfin nous n’ayons pas honte. » Albert Camus. Albert Camus Ă©tait trĂšs liĂ© Ă  l’AlgĂ©rie c’est un euphĂ©misme mais il n’a pas eu le temps de connaĂźtre la fin de la guerre d’AlgĂ©rie. Il y a soixante ans, le 5 juillet 1962, l’AlgĂ©rie est devenue indĂ©pendante de la RĂ©publique française. Cette date est la consĂ©quence des Accords d’Évian du 18 mars 1962. A priori, le cessez-le-feu devait ĂȘtre appliquĂ© Ă  partir du 19 mars 1962 et la paix devait rĂ©gner, mais l’annĂ©e 1962, aprĂšs ces accords, fut au contraire marquĂ©e par de nombreux massacres entre AlgĂ©riens et EuropĂ©ens, commis par diffĂ©rents "partis". Lors de la rĂ©ception des reprĂ©sentants des rapatriĂ©s d’AlgĂ©rie au Palais de l’ÉlysĂ©e le 26 janvier 2022 Ă  Paris, le PrĂ©sident de la RĂ©publique Emmanuel Macron a prononcĂ© un discours trĂšs important oĂč il a rappelĂ© quelques mauvais souvenirs J’ai souhaitĂ© 
 que vos voix puissent ĂȘtre rassemblĂ©es pour transmettre cette mĂ©moire, pour dire l’attachement de la France aux rapatriĂ©s, Ă  leurs familles. Et pour continuer de cheminer sur la voie de l’apaisement des mĂ©moires blessĂ©es de la guerre d’AlgĂ©rie, vous savez mon engagement su ce sujet. 
 À cette terre Ă©vanouie de vos parents ou de votre enfance, vous devez vos leçons de bonheur. Et votre arrachement, je le sais, Ă  cette terre, fut une peine inconsolable. 
 L’histoire des rapatriĂ©s d’AlgĂ©rie est l’histoire d’un amour charnel pour cette terre, d’effort, de labeur pour la faire fructifier. Puis l’histoire d’un exode et d’un exil, l’exode contraint et subi de Français nĂ©s dans cette France de l’autre cĂŽtĂ© de la MĂ©diterranĂ©e et pris dans la tourmente de la guerre, puis l’exil dĂ©racinĂ© au sein de leur propre patrie. ». Et Emmanuel Macron d’évoquer le souvenir de deux massacres. Le massacre de la rue d’Isly Ă  Alger le 26 mars 1962 oĂč l’armĂ©e française a tirĂ© sur une foule de manifestants, attisĂ©e par l’OAS » pour exprimer son attachement Ă  l’AlgĂ©rie française Ce jour-lĂ , les soldats français dĂ©ployĂ©s Ă  contre-emploi, mal commandĂ©s, moralement atteints, ont tirĂ© sur des Français. Il est plus que temps de le dire. Ce qui devait ĂȘtre une opĂ©ration de maintien de l’ordre s’acheva par un massacre, un massacre dont aucune liste dĂ©finitive des victimes ne fut Ă©tablie, qui fit des dizaines de tuĂ©s et des centaines de blessĂ©s. Les familles ne purent pas enterrer dignement leurs morts. Les obsĂšques religieuses furent interdites. Les corps convoyĂ©s directement au cimetiĂšre par camions militaires au jour et Ă  l’heure choisis par les autoritĂ©s. Le choc fut immense pour les citoyens qui se pensaient auparavant protĂ©gĂ©s par l’armĂ©e française et qui voyaient se retourner contre eux le glaive qui devait les dĂ©fendre. 
 En mĂ©tropole, le drame fut passĂ© sous silence. Soixante ans aprĂšs, la France reconnaĂźt cette tragĂ©die. Et je le dis aujourd’hui haut et fort ce massacre du 26 mars 1962 est impardonnable pour la RĂ©publique. ». Puis, aprĂšs avoir parlĂ© de ce cycle infernal d’attaques, de vengeance, [qui] faucha sa moisson de morts, des Français, mais aussi des AlgĂ©riens et des AlgĂ©riens musulmans », il a Ă©voquĂ© un autre massacre. Car le soixantiĂšme anniversaire de l’indĂ©pendance de l’AlgĂ©rie est aussi celui d’un massacre, celui commis dans les rues d’Oran ce 5 juillet 1962 Ce massacre, lui aussi, doit ĂȘtre regardĂ© en face et reconnu. La vĂ©ritĂ© doit ĂȘtre de mise et l’histoire transmise. Il nous faut aussi raconter ces mois d’adieux, de dĂ©chirures oĂč des Français d’origine mĂ©tropolitaine, europĂ©enne, oĂč des populations installĂ©es depuis des siĂšcles, comme certains Juifs d’AlgĂ©rie, furent poussĂ©s Ă  cette extrĂ©mitĂ© insupportable, la valise plutĂŽt que le cercueil. Leur fuite devient un exode brutal, massif, dĂ©sordonnĂ© 
. On quitte sa maison, son appartement ; sans mĂȘme savoir si l’on a fermĂ© la porte, on se rue vers les navires ou l’aĂ©roport pour se frayer un chemin de survie pour soi, pour sa famille, pour ses proches. ». À Oran, ce 5 juillet 1962, une foule d’AlgĂ©riens a manifestĂ© leur joie comme depuis quatre jours pour l’indĂ©pendance reconnue de leur pays aprĂšs les atrocitĂ©s d’une guerre civile. L’ambiance y Ă©tait dĂ©tendue et apaisĂ©e d’autant plus que les Ă©lĂ©ments armĂ©s de l’OAS s’étaient retirĂ©s. L’armĂ©e algĂ©rienne dirigĂ©e par le capitaine Bakhti n’est composĂ©e que de quelques centaines d’hommes, tandis que l’armĂ©e française dirigĂ©e par le gĂ©nĂ©ral Joseph Katz Ă©tait prĂ©sente, composĂ©e de 18 000 hommes. Soudain, peu avant midi sur la Place d’Armes, des tirs furent entendus et des EuropĂ©ens furent lynchĂ©s. D’autres furent arrĂȘtĂ©s et furent tuĂ©s ou ont disparu. L’article apparemment bien rĂ©fĂ©rencĂ© de WikipĂ©dia parle ainsi des scĂšnes d’horreur Les hommes armĂ©s se ruent sur les immeubles, enfoncent les portes des appartements, ouvrent le feu dans les restaurants, arrĂȘtent, enlĂšvent, Ă©gorgent, au hasard des rencontres. Des rafales de mitraillette balaient les terrasses des cafĂ©s, les porches, les voitures. Sur les atrocitĂ©s commisses, de nombreux tĂ©moignages se recoupent exĂ©cutions sommaires d’EuropĂ©ens et d’AlgĂ©riens soupçonnĂ©s de leur avoir Ă©tĂ© favorables, scĂšnes de lynchage 
, actes de torture pendaison, pendaison Ă  un croc de boucher, mutilations, Ă©nuclĂ©ations, il semblerait que cette vendetta vĂ©hiculait deux messages, le premier serait un message de vengeance en perpĂ©tuant les mĂȘmes sĂ©vices qu’ils aient pu subir et le second, celui de prĂ©venir le peuple europĂ©en qu’il ne serait plus en sĂ©curitĂ©. ». En tout, des centaines de Français furent tuĂ©s, des historiens parlent de 700 Ă  800 morts ou disparus. Jean-Pierre ChevĂšnement, Ă  l’époque sous-lieutenant et affectĂ© pour son stage de l’ENA auprĂšs su conseil gĂ©nĂ©ral de France Ă  Oran, a expliquĂ© en 1977 Ma principale tĂąche Ă©tait de retrouver les huit cents disparus du 5 juillet. ». L’armĂ©e française n’est pas intervenue immĂ©diatement et a laissĂ© faire, probablement dans le souci de ne plus impliquer l’armĂ©e française aprĂšs l’indĂ©pendance. Beaucoup de corps n’ont pas Ă©tĂ© retrouvĂ©s et le silence fut imposĂ© par les autoritĂ©s tant algĂ©riennes que françaises qui n’avaient pas rempli leur mission de protection. Les auteurs des tirs n’ont pas Ă©tĂ© identifiĂ©s, probablement provenant de l’ALN, l’armĂ©e provisoire du FLN. MalgrĂ© cet Ă©loignement dans le temps deux Ă  trois gĂ©nĂ©rations plus tard, la guerre d’AlgĂ©rie a laissĂ© derriĂšre elle un traumatisme durable et reste un marqueur historique important dans la vie politique. Pour preuve, le tout premier discours de la XVIe LĂ©gislature prononcĂ© dans l’hĂ©micycle le 28 juin 2022 par le doyen d’ñge avant d’élire le PrĂ©sident de l’AssemblĂ©e Nationale. C’était le discours du prĂ©sident de la premiĂšre sĂ©ance, le nouveau dĂ©putĂ© RN JosĂ© Gonzalez 79 ans, nĂ© Ă  Oran et rapatriĂ© en France mĂ©tropolitaine dans des conditions difficiles en 1962. Et il a dĂ©clarĂ©, plein d’émotion, aux dĂ©putĂ©s nouvellement Ă©lus ou réélus En ce lieu sacrĂ© de la reprĂ©sentation du peuple français, de l’expression de la volontĂ© nationale, vous voir rĂ©unis cĂŽte Ă  cĂŽte, par ordre alphabĂ©tique, au-delĂ  de toutes nos divergences, est un symbole d’unitĂ© française. Ce symbole touche l’enfant d’une France d’ailleurs que je suis, arrachĂ© Ă  sa terre natale et drossĂ© sur les cĂŽtes de Provence par les vents de l’histoire en 1962. J’ai laissĂ© lĂ -bas une partie de ma France et beaucoup d’amis. Je suis un homme qui a vu son Ăąme Ă  jamais meurtrie
 Pardonnez mon Ă©motion, je pense Ă  mes amis que j’ai laissĂ©s lĂ -bas. Applaudissements. Je suis un homme qui a vu son Ăąme Ă  jamais meurtrie par le sentiment d’abandon et les pĂ©riodes de dĂ©chirement. Comme nous tous, je n’en doute pas, je sais combien cette exigence d’unitĂ© française est nĂ©cessaire, notamment dans les temps complexes que nous traversons. J’émets le souhait, mes chers collĂšgues, qu’elle Ă©claire nos dĂ©bats et inspire nos dĂ©cisions. ». Fortement applaudie, et pas seulement par les 88 collĂšgues du groupe RN du doyen, cette courte allocution d’ouverture de la lĂ©gislature a Ă©tĂ© fortement critiquĂ©e par certains dĂ©putĂ©s FI qui y voyaient une apologie de l’OAS ce qu’elle n’était pas. Dans tous les cas, mĂȘme si ceux qui la critiquaient n’étaient pas encore nĂ©s Ă  l’époque des faits, les passions politiques demeurent encore trĂšs intenses et prĂ©gnantes lorsqu’on Ă©voque ce passĂ© trĂšs trouble de l’AlgĂ©rie. Le cinĂ©ma a tardivement honorĂ© de son art ce terrible massacre du 5 juillet 1962 Ă  Oran, passĂ© sous silence pendant si longtemps. En effet, Nicole Garcia a rĂ©alisĂ© un trĂšs beau film, "Un balcon sur la mer" sorti le 15 dĂ©cembre 2010, avec comme acteur principal Jean Dujardin qui a profondĂ©ment surpris par ce rĂŽle qui n’a rien de comique aux cĂŽtĂ©s de Marie-JosĂ©e Croze, Sandrine Kiberlain, Michel Aumont, Toni Servillo et Claudia Cardinale. Je recommande trĂšs vivement ce film tout en subtilitĂ©, trĂšs complexe, qui retrace avec authenticitĂ© l’attachement de Français europĂ©ens Ă  l’AlgĂ©rie et les tragĂ©dies humaines des massacres et de l’exode. Aussi sur le blog. Sylvain Rakotoarison 05 juillet 2022 Pour aller plus loin Le massacre d’Oran, 60 ans plus tard
 JosĂ© Gonzalez. Reconnaissance par Emmanuel Macron le 26 janvier 2022 de deux massacres commis en 1962 en AlgĂ©rie Alger et Oran. Pierre Vidal-Naquet. Jean Lacouture. Edmond Michelet. Jacques Soustelle. Albert Camus. Abdelaziz Bouteflika en 2021. Le fantĂŽme d’El Mouradia. Louis Joxe et les Harkis. Chadli Bendjedid. Disparition de Chadli Benjedid. Hocine AĂŻt Ahmed. Ahmed Ben Bella. Josette Audin. Michel Audin. DĂ©claration d’Emmanuel Macron sur Maurice Audin 13 septembre 2018. François Mitterrand et l'AlgĂ©rie. HervĂ© Gourdel. Mohamed Boudiaf. VidĂ©o derniĂšres paroles de Boudiaf le 29 juin 1992. Rapport officiel sur l’assassinat de Boudiaf texte intĂ©gral. Abdelaziz Bouteflika en 2009.
76ans au compteur et de superbes bacchantes à la Cavanna, Jacques Launay, dit Moustaches, accompagnait ce jeudi 1er octobre 13 citoyens du Val-de-Marne venus se faire décerner la Croix du
Le CICR entretient un dialogue avec les porteurs d'armes et les groupes d'influence afin que les rĂšgles du droit international humanitaires soient connues et comprises. Didier Revol/CICRMĂȘme la guerre a des rĂšgles. Qu'est-ce que cela veut dire ?Cela veut dire qu'on ne peut pas attaquer des civils ; qu'on doit limiter autant que possible les effets des opĂ©rations militaires sur les femmes et les enfants, ainsi que sur les autres catĂ©gories de civils ; qu'il faut traiter les dĂ©tenus humainement et ne pas torturer des droit international humanitaire, c'est quoi ?Le droit international humanitaire DIH est un ensemble de rĂšgles qui, pour des raisons humanitaires, vise Ă  attĂ©nuer les effets des conflits armĂ©s. Il protĂšge les personnes qui ne participent pas, ou ne participent plus, aux combats telles que les civils, le personnel mĂ©dical, les travailleurs humanitaires, les blessĂ©s, les malades, les soldats naufragĂ©s, les prisonniers de guerre ou les autres dĂ©tenus et restreint le choix des moyens et mĂ©thodes de guerre par exemple, l'utilisation de certaines armes. Le DIH est Ă©galement appelĂ© droit de la guerre » ou droit des conflits armĂ©s ».Le DIH est constituĂ© de traitĂ©s les principaux Ă©tant les Conventions de GenĂšve et leurs Protocoles additionnels et du droit international le DIH s'applique-t-il ?Le DIH s'applique uniquement aux situations de conflit armĂ©. Hormis quelques cas nĂ©cessitant une mise en Ɠuvre en temps de paix par exemple pour l'adoption d'une lĂ©gislation, l'enseignement ou la formation en matiĂšre de DIH, le DIH ne s'applique pas en dehors des conflits DIH prĂ©voit deux rĂ©gimes de protection l'un pour les conflits armĂ©s internationaux et l'autre pour les conflits armĂ©s non internationaux. Les premiers sont des conflits armĂ©s entre deux États ou plus. Les seconds opposent soit des forces armĂ©es gouvernementales Ă  un ou plusieurs groupes armĂ©s non Ă©tatiques, soit diffĂ©rents de ces groupes entre eux. Les rĂšgles qui s'appliquent dĂ©pendent de la qualification de la situation en tant que conflit armĂ© international ou non rĂšgles du DIH continuent de protĂ©ger les victimes des conflits armĂ©s mĂȘme aprĂšs la fin des hostilitĂ©s dĂ©tenus ou personnes portĂ©es disparues, par exemple.Qui est tenu de respecter le DIH ?Le DIH est universel toutes les parties engagĂ©es dans un conflit ont l'obligation de respecter le DIH, que ce soit les forces gouvernementales ou des groupes armĂ©s non Conventions de GenĂšve, qui constituent l'Ă©lĂ©ment central du DIH, ont Ă©tĂ© ratifiĂ©es par les 196 États de la planĂšte, ce qui en fait un ensemble de rĂšgles universel. Rares sont les traitĂ©s internationaux Ă  faire une telle unanimitĂ©. Elles sont complĂ©tĂ©es par les deux Protocoles additionnels de 1977, dont le premier rĂ©git les conflits armĂ©s internationaux et le second les conflits armĂ©s non internationaux, ainsi que par le troisiĂšme Protocole additionnel de 2005, qui porte crĂ©ation de l'emblĂšme du cristal rouge venant s'ajouter Ă  ceux de la croix rouge et du croissant rouge. Aujourd'hui, le Protocole additionnel I compte 174 États parties, tandis que le Protocole additionnel II et le Protocole additionnel III en ont 169 et 79, cĂŽtĂ©s des traitĂ©s, le droit coutumier permet de combler les lacunes pouvant apparaĂźtre lorsque les traitĂ©s ne sont pas applicables ou lorsque le droit conventionnel est moins Ă©laborĂ©, comme dans le cas des conflits armĂ©s non internationaux. Les rĂšgles coutumiĂšres ont force contraignante pour toutes les parties Ă  un conflit sont les prisonniers de guerre ?En bref, les prisonniers de guerre sont les combattants qui sont tombĂ©s au pouvoir de l'ennemi lors d'un conflit armĂ© international. Les combattants peuvent ĂȘtre des membres des forces armĂ©es rĂ©guliĂšres, ainsi que des milices, des volontaires ou d'autres groupes de ce type s'ils appartiennent Ă  une partie au conflit et remplissent certaines conditions. Un petit nombre de non-combattants – mĂ©decins, journalistes, fournisseurs et membres d'Ă©quipage civils, ont Ă©galement droit au statut de prisonnier de guerre lorsqu'ils sont affiliĂ©s aux forces armĂ©es ou ont une permission spĂ©ciale pour les accompagner. Les civils qui prennent spontanĂ©ment les armes lors d'une levĂ©e en masse peuvent Ă©galement ĂȘtre considĂ©rĂ©s comme des prisonniers de guerre. Le statut de prisonnier de guerre est rĂ©gi par la troisiĂšme Convention de GenĂšve et le Protocole additionnel quel type de traitement les prisonniers de guerre ont-ils droit ?Pendant toute la durĂ©e de leur internement, les prisonniers de guerre doivent ĂȘtre traitĂ©s humainement en toutes circonstances. Le DIH les protĂšge contre tout acte de violence ou d'intimidation, contre les insultes et la curiositĂ© publique. Le DIH dĂ©finit aussi les conditions minimales d'internement des prisonniers de guerre, notamment en ce qui concerne le logement, l'alimentation, l'habillement, l'hygiĂšne et les soins prisonniers de guerre ne peuvent pas ĂȘtre poursuivis pour avoir pris part directement aux hostilitĂ©s, mais ils peuvent ĂȘtre poursuivis pour d'Ă©ventuels crimes de guerre. Leur internement n'est pas une forme de sanction, mais vise seulement Ă  les empĂȘcher de continuer Ă  participer au conflit. Les prisonniers de guerre doivent ĂȘtre libĂ©rĂ©s et rapatriĂ©s sans dĂ©lai dĂšs la fin des hostilitĂ©s les conflits armĂ©s internationaux, le CICR a le droit de visiter les prisonniers de guerre afin de s'assurer que leur traitement et les conditions de leur dĂ©tention sont conformes au est-il des civils privĂ©s de libertĂ© ? Le DIH les protĂšge-t-il ?Durant un conflit armĂ©, des civils peuvent aussi ĂȘtre privĂ©s de leur libertĂ©. Le DIH n'autorise l'internement de civils protĂ©gĂ©s que s'il est absolument nĂ©cessaire pour la sĂ©curitĂ© de la partie qui les dĂ©tient. L'internement ne peut jamais ĂȘtre utilisĂ© comme une forme de punition. De ce fait, les internĂ©s doivent ĂȘtre remis en libertĂ© dĂšs que les raisons motivant leur internement cessent d' personnes doivent ĂȘtre informĂ©es des raisons de leur internement et doivent pouvoir contester la dĂ©cision de les interner. Le DIH dĂ©finit Ă©galement des normes minimales touchant les conditions de dĂ©tention, sur des questions telles que le logement, l'alimentation, l'habillement, l'hygiĂšne et les soins mĂ©dicaux. Les personnes civiles internĂ©es ont le droit d'Ă©changer des nouvelles avec leur internĂ©s civils doivent ĂȘtre traitĂ©s avec humanitĂ© en toutes circonstances. Le DIH les protĂšge contre tout acte de violence ou d'intimidation, contre les insultes et la curiositĂ© publique. Ils ont droit au respect de leur vie, de leur dignitĂ©, de leurs droits personnels et de leurs convictions politiques, religieuses et les conflits armĂ©s internationaux, le CICR a le droit de visiter les civils internĂ©s afin de s'assurer que leur traitement et les conditions de leur dĂ©tention sont conformes au protection le DIH offre-t-il aux blessĂ©s, aux malades et aux naufragĂ©s ?Les blessĂ©s et les malades s'entendent des personnes, militaires ou civiles, qui, en temps de conflit armĂ©, ont besoin de soins mĂ©dicaux et ne prennent pas part aux hostilitĂ©s. Tous les blessĂ©s, malades ou naufragĂ©s, quelle que soit la partie Ă  laquelle ils appartiennent, doivent ĂȘtre respectĂ©s et blessĂ©s et les malades doivent ĂȘtre respectĂ©s et protĂ©gĂ©s en toutes circonstances. Cela signifie qu'ils ne doivent pas ĂȘtre attaquĂ©s, tuĂ©s ou maltraitĂ©s, et que les parties doivent prendre des mesures pour leur porter secours et les protĂ©ger. Les parties au conflit doivent prendre toutes les mesures possibles pour rechercher et recueillir les blessĂ©s et les malades. L'idĂ©e gĂ©nĂ©rale est que les parties au conflit doivent Ă©galement prodiguer les meilleurs soins dans les meilleurs dĂ©lais possibles. Seules des raisons mĂ©dicales peuvent justifier d'Ă©tablir des prioritĂ©s de les conflits armĂ©s internationaux, le traitement des blessĂ©s, des malades et des naufragĂ©s est largement dĂ©fini dans les premiĂšre, deuxiĂšme et quatriĂšme Conventions de GenĂšve, le Protocole additionnel I ainsi que dans les rĂšgles coutumiĂšres. Pour ce qui est des conflits armĂ©s non internationaux, il faut se rĂ©fĂ©rer Ă  l'article 3 commun, au Protocole additionnel II et aux rĂšgles doivent faire les parties Ă  un conflit armĂ© Ă  l'Ă©gard des personnes portĂ©es disparues ? Et Ă  l'Ă©gard des morts ?Selon le DIH, les parties Ă  un conflit armĂ© doivent prĂ©venir les disparitions et empĂȘcher que des personnes soient sĂ©parĂ©es de leurs proches. Si des personnes sont portĂ©es disparues, les parties au conflit doivent s'efforcer de faire la lumiĂšre sur leur sort et communiquer avec les communication est essentielle pour prĂ©venir les disparitions et Ă©viter que des personnes soient sĂ©parĂ©es de leur famille. Aussi le DIH exige-t-il des parties Ă  un conflit armĂ© qu'elles enregistrent les personnes privĂ©es de libertĂ© et leur permettent de correspondre avec leur famille. Elles doivent Ă©galement enregistrer toutes les informations disponibles concernant les morts et veiller Ă  ce que la gestion des restes humains se fasse dans la dignitĂ©. Durant les conflits armĂ©s internationaux, les parties doivent aussi faire appel Ă  leurs Bureaux nationaux de renseignements pour collecter des informations sur toutes les personnes protĂ©gĂ©es, mortes ou en vie, qui se trouvent en leur pouvoir, et transmettre ces informations Ă  l'Agence centrale de parties Ă  un conflit armĂ© doivent prendre toutes les mesures possibles pour rendre compte des personnes portĂ©es disparues, des personnes sĂ©parĂ©es de leurs familles et des personnes dĂ©cĂ©dĂ©es, fournir les informations dont elles disposent aux membres de leurs familles et faciliter le rĂ©tablissement des liens familiaux. Elles doivent notamment rechercher, rĂ©cupĂ©rer et Ă©vacuer les morts et faciliter la restitution des restes humains aux familles qui en font la obligations imposĂ©es par le DIH concernant les personnes disparues subsistent mĂȘme aprĂšs la fin du se passe-t-il en cas d'occupation ? Quelles protections s'appliquent-elles ?Selon le DIH, l'occupation est une forme de conflit armĂ© international. Il y a occupation lorsque le territoire d'un État est effectivement placĂ© sous l'autoritĂ© d'une armĂ©e hostile. L'occupation ne s'Ă©tend qu'aux territoires oĂč cette autoritĂ© est Ă©tablie et en mesure de s'exercer. Lorsqu'un État consent Ă  la prĂ©sence de troupes Ă©trangĂšres, il n'y a pas d' plus des protections gĂ©nĂ©rales accordĂ©es Ă  la population civile, les civils vivant dans un territoire occupĂ© ont droit Ă  une protection spĂ©cifique visant Ă  prĂ©venir les abus qui pourraient ĂȘtre commis par la puissance occupante. Ces protections sont dĂ©finies Ă  la Section III de la IVe Convention de GenĂšve et dans le RĂšglement de La Haye de 1907, ainsi que dans les rĂšgles du droit maniĂšre gĂ©nĂ©rale, le droit de l'occupation cherche Ă  trouver un Ă©quilibre entre les besoins de la puissance occupante en termes de sĂ©curitĂ© d'une part, et les intĂ©rĂȘts de la puissance Ă©vincĂ©e et de la population locale de l'autre. Parmi ses responsabilitĂ©s, la puissance occupante doit notamment veiller Ă  assurer la gestion des biens publics, le fonctionnement des Ă©tablissements scolaires, l'existence et l'administration des services mĂ©dicaux, en autorisant si nĂ©cessaire la conduite d'opĂ©rations de secours et en permettant aux organisations humanitaires impartiales, telles que le CICR, de mener leurs activitĂ©s. En retour, la puissance occupante bĂ©nĂ©ficie Ă©galement de certains droits, qui peuvent prendre la forme de mesures de contraintes imposĂ©es Ă  la population locale si les circonstances l' dit le DIH Ă  propos des rĂ©fugiĂ©s et des personnes dĂ©placĂ©es Ă  l'intĂ©rieur de leur pays ?Les rĂ©fugiĂ©s sont des personnes qui ont franchi une frontiĂšre internationale parce qu'elles craignaient avec raison d'ĂȘtre persĂ©cutĂ©es dans leur pays d'origine. Il y a beaucoup de raisons diffĂ©rentes qui poussent les gens Ă  fuir et font d'eux des rĂ©fugiĂ©s, certaines pouvant ĂȘtre liĂ©es Ă  un conflit armĂ©. Le DIH protĂšge les rĂ©fugiĂ©s en particulier lorsqu'ils se trouvent sur un territoire en proie Ă  un conflit armĂ©. Outre les protections gĂ©nĂ©rales accordĂ©es Ă  la population civile, les rĂ©fugiĂ©s ont droit Ă  certaines protections spĂ©cifiques dans les conflits armĂ©s personnes dĂ©placĂ©es Ă  l'intĂ©rieur de leur propre pays n'ont pas franchi de frontiĂšre internationale, mais ont dĂ» elles aussi s'enfuir de chez elles. Les dĂ©placĂ©s internes bĂ©nĂ©ficient des protections gĂ©nĂ©rales accordĂ©es Ă  tous les civils. En outre, des rĂšgles spĂ©cifiques du DIH exigent qu'en cas de dĂ©placement, toutes les mesures possibles soient prises pour les accueillir dans des conditions satisfaisantes de logement, d'hygiĂšne, de salubritĂ©, de sĂ©curitĂ© et d'alimentation et pour que les membres d'une mĂȘme famille ne soient pas sĂ©parĂ©s les uns des sont dĂ»ment respectĂ©es, les rĂšgles du DIH peuvent Ă©galement contribuer Ă  prĂ©venir les dĂ©placements, par exemple en interdisant d'affamer la population civile et de dĂ©truire les objets indispensables Ă  sa survie. Le DIH interdit les dĂ©placements forcĂ©s, sauf si la sĂ©curitĂ© des civils ou des raisons militaires impĂ©ratives l'exigent..Comment le DIH protĂšge-t-il les femmes ?Dans les conflits armĂ©s, les femmes peuvent ĂȘtre des victimes, des combattantes, des spectatrices aussi bien que des actrices d'influence. Elles bĂ©nĂ©ficient des protections gĂ©nĂ©rales accordĂ©es Ă  la population civile ou aux combattants, en fonction de leur statut. Le DIH interdit toute discrimination fondĂ©e sur le sexe ou le femmes sont Ă©galement exposĂ©es Ă  des risques en raison des contraintes qui leur sont imposĂ©es, et sont touchĂ©es de maniĂšre disproportionnĂ©e par certains types de violence, dont les violences sexuelles. Le DIH prend ces risques en compte, notamment en prohibant le viol, la prostitution forcĂ©e ou toute forme d'attentat Ă  la pudeur contre toute personne. Violer ces interdits peut constituer un crime de DIH prĂ©voit en outre un rĂ©gime spĂ©cial pour les prisonniers de guerre et les internĂ©s civils de sexe fĂ©minin, ainsi que pour les femmes enceintes. Leurs besoins spĂ©cifiques en termes de protection, de santĂ© et d'assistance doivent ĂȘtre respectĂ©s. Par exemple, les femmes, les hommes, les garçons et les filles d'Ăąges et de milieux diffĂ©rents peuvent avoir des besoins mĂ©dicaux diffĂ©rents et ĂȘtre exposĂ©s Ă  des risques diffĂ©rents empĂȘchant une Ă©galitĂ© de traitement. Il est important de prendre en compte les points de vue des femmes et des hommes d'Ăąges et d'horizons le DIH protĂšge-t-il les enfants ?Les enfants sont particuliĂšrement vulnĂ©rables dans les conflits armĂ©s. Leurs besoins dĂ©pendent Ă©galement de facteurs tels que le sexe, le statut socioĂ©conomique et le plus de la protection gĂ©nĂ©rale que le DIH leur accorde en tant que civils, les enfants bĂ©nĂ©ficient Ă©galement de protections spĂ©ciales. Ils doivent ainsi jouir d'un accĂšs Ă  la nourriture et Ă  des soins de santĂ© adaptĂ©s Ă  leur Ăąge, et des mesures doivent ĂȘtre prises pour faciliter leur accĂšs continu Ă  l' DIH interdit Ă©galement le recrutement d'enfants dans les forces armĂ©es ou les groupes armĂ©s, et les parties ne doivent pas les autoriser Ă  prendre part aux hostilitĂ©s. L'Ăąge de l'enrĂŽlement volontaire et obligatoire lĂ©gal dĂ©pend des traitĂ©s auxquels un État est partie. La plupart des États sont ainsi parties au Protocole facultatif se rapportant Ă  la Convention relative aux droits de l'enfant, concernant l'implication d'enfants dans les conflits armĂ©s, qui fixe Ă  18 ans l'Ăąge du recrutement obligatoire et de la participation directe aux hostilitĂ©s. Cet instrument donne Ă©galement le droit aux enfants recrutĂ©s illĂ©galement de bĂ©nĂ©ficier d'une assistance pour leur rĂ©tablissement physique et psychologique et leur rĂ©insertion États ont souscrit aux Engagements et Principes de Paris relatifs aux enfants associĂ©s aux forces armĂ©es et aux groupes armĂ©s, qui fournissent des orientations supplĂ©mentaires sur le traitement et la rĂ©insertion des enfants recrutĂ©s DIH protĂšge-t-il les personnes handicapĂ©es ?Oui. Bien entendu, lorsqu'elles sont des civils ou des personnes hors de combat, les personnes handicapĂ©es bĂ©nĂ©ficient de toutes les protections gĂ©nĂ©rales prĂ©vues par le DIH. En outre, dĂšs 1949, les rĂ©dacteurs des Conventions de GenĂšve ont reconnu que les personnes handicapĂ©es avaient besoin d'une protection spĂ©cifique pendant les conflits armĂ©s. En vertu du DIH, les parties aux conflits armĂ©s doivent accorder un respect et une protection particuliers aux personnes handicapĂ©es, notamment s'agissant des rĂšgles en matiĂšre d'internement, ainsi que pour l'Ă©vacuation des zones assiĂ©gĂ©es ou conception contemporaine du DIH et des droits des personnes handicapĂ©es met en Ă©vidence les besoins et les obstacles particuliers auxquels ces personnes peuvent ĂȘtre confrontĂ©es, ainsi que les risques spĂ©cifiques auxquels elles sont exposĂ©es en cas de conflit armĂ©. Lesdits obstacles et risques devraient Ă©galement ĂȘtre pris en compte dans l'interprĂ©tation des rĂšgles du DIH relatives Ă  la conduite Ă  tenir envers les civils, notamment l'obligation de prendre les prĂ©cautions pratiquement DIH contient-il des rĂšgles sur la torture ?Oui. Les actes de torture et autres formes de mauvais traitements sont formellement interdits, partout et en tout temps. Le DIH et le droit international des droits de l'homme DIDH se complĂštent pour offrir un ensemble de rĂšgles dĂ©taillĂ©es pour la prĂ©vention et la rĂ©pression des actes de torture et autres formes de mauvais traitements. Les États s'entendent sur le fait qu'il n'existe aucune excuse justifiant le recours Ă  la torture. Les souffrances qu'engendre sa pratique peuvent causer des troubles profonds et parfois irrĂ©versibles chez les personnes qui en sont sont les grands principes qui gouvernent la conduite des hostilitĂ©s ?Les rĂšgles du DIH sur la conduite des hostilitĂ©s visent Ă  trouver un Ă©quilibre entre nĂ©cessitĂ© militaire et humanitĂ©, en cherchant principalement Ă  protĂ©ger les civils des attaques et des effets des principe de distinctionLes parties Ă  un conflit armĂ© doivent en tout temps faire la distinction entre la population civile et les combattants ainsi qu'entre les biens de caractĂšre civil et les objectifs militaires et, par consĂ©quent, ne diriger leurs opĂ©rations que contre des objectifs militaires ». Le DIH interdit les attaques dirigĂ©es contre des civils, ainsi que les attaques indiscriminĂ©es, Ă  savoir celles qui frappent sans distinction des objectifs militaires et des civils ou des biens de caractĂšre principe de proportionnalitĂ©Le DIH interdit les attaques dont on peut attendre qu'elles causent incidemment des dommages dans la population civile qui seraient excessifs par rapport Ă  l'avantage militaire concret et direct attendu. Dans la conduite des hostilitĂ©s, il est souvent inĂ©vitable de causer des dommages accidentels aux civils et aux biens de caractĂšre civil. Toutefois, le DIH limite l'Ă©tendue des dommages collatĂ©raux admissibles en prĂ©cisant comment la nĂ©cessitĂ© militaire et les considĂ©rations d'humanitĂ© doivent ĂȘtre mises en balance dans de telles principe de prĂ©cautionLes opĂ©rations militaires doivent ĂȘtre conduites en veillant constamment Ă  Ă©pargner la population civile, les personnes civiles et les biens de caractĂšre civil. Toutes les prĂ©cautions possibles doivent ĂȘtre prises en vue d'Ă©viter et, en tout cas, de rĂ©duire au minimum les pertes en vies humaines dans la population civile, les blessures aux personnes civiles et les dommages aux biens de caractĂšre civil qui pourraient ĂȘtre causĂ©s incidemment. Étant donnĂ© le risque important de prĂ©judices causĂ©s aux civils chaque fois que l'armĂ©e lance une attaque, le DIH impose des obligations dĂ©taillĂ©es Ă  ceux qui planifient, dĂ©cident ou exĂ©cutent les attaques. Il exige aussi que les parties Ă  un conflit protĂšgent les civils et les biens de caractĂšre civil sous leur contrĂŽle contre les effets des spĂ©cialePlusieurs types de personnes et de biens bĂ©nĂ©ficient d'une protection expresse supplĂ©mentaire. Par exemple, des prĂ©cautions particuliĂšres doivent ĂȘtre prises afin d'Ă©viter la libĂ©ration de forces dangereuses et les pertes sĂ©vĂšres qui en rĂ©sulteraient dans la population civile si les barrages, les digues, les centrales nuclĂ©aires et les autres installations situĂ©es Ă  proximitĂ© Ă©taient attaquĂ©s. Des restrictions encore plus strictes sont imposĂ©es lorsque le premier Protocole additionnel de 1977 s' protection spĂ©cifique est Ă©galement accordĂ©e au personnel mĂ©dical et aux structures de santĂ©, au personnel et aux activitĂ©s humanitaires, Ă  l'environnement, aux biens indispensables Ă  la survie de la population civile et aux biens culturels..Les civils qui prennent les armes perdent-ils leur protection contre les attaques directes en vertu du DIH ?Cela DIH dĂ©finit les civils comme toutes les personnes qui ne sont ni des membres des forces armĂ©es Ă©tatiques, ni des membres d'un groupe armĂ© organisĂ© ayant une fonction permanente de combat, ni des participants Ă  une levĂ©e en personnes civiles sont protĂ©gĂ©es contre les attaques directes, sauf si elles participent directement aux hostilitĂ©s et pendant la durĂ©e de cette participation. Les parties Ă  un conflit armĂ© doivent prendre toutes les prĂ©cautions possibles pour dĂ©terminer si une personne est un civil et, si tel est le cas, si elle participe directement aux hostilitĂ©s. En cas de doute, la personne en question doit ĂȘtre prĂ©sumĂ©e ĂȘtre un civil et protĂ©gĂ©e contre les attaques protĂ©ger la population civile, les combattants – et toute personne participant directement aux hostilitĂ©s – doivent se distinguer des civils dans toutes les opĂ©rations militaires en arborant des signes reconnaissables et en portant ouvertement les CICR a publiĂ© un Guide interprĂ©tatif qui offre des recommandations en vue de l'interprĂ©tation des dispositions du DIH relatives Ă  la notion de participation directe aux parties Ă  un conflit peuvent-elles utiliser n'importe quel type d'armement pour attaquer ou se dĂ©fendre ?Non, elles ne le peuvent le dĂ©but, le DIH a tentĂ© de limiter les effets des conflits armĂ©s. À cette fin, le DIH impose des limites au choix des armes, des moyens et des mĂ©thodes de guerre en Ă©dictant des rĂšgles gĂ©nĂ©rales et des rĂšgles spĂ©cifiques limitant ou interdisant l'utilisation de certaines armes qui causent des dommages rĂšgles gĂ©nĂ©rales qui restreignent le choix des armes, des moyens et des mĂ©thodes de guerre comprennent l'interdiction des armes de nature Ă  frapper sans discrimination, ainsi que les principes et rĂšgles gouvernant la conduite des hostilitĂ©s, qui protĂšgent essentiellement les civils, et l'interdiction des armes de nature Ă  causer des maux superflus, qui protĂšge Ă©galement les les annĂ©es 1860, les États ont convenu d'interdire ou de limiter l'emploi de certaines armes en raison de leur coĂ»t humain, potentiel ou rĂ©el. Ont notamment Ă©tĂ© prohibĂ©s les balles explosives ou expansives 1868, les balles qui s'Ă©panouissent ou s'aplatissent facilement dans le corps humain 1899, les poisons et gaz asphyxiants 1925, les armes biologiques 1972, les armes chimiques 1993, les Ă©clats non localisables 1980, les armes Ă  laser aveuglantes 1995, les mines antipersonnel 1997, les armes Ă  sous-munitions 2008, les armes nuclĂ©aires 2017. Ont Ă©galement Ă©tĂ© imposĂ©es des limitations concernant l'utilisation des armes incendiaires 1980, des mines terrestres antipersonnel et antivĂ©hicule, des piĂšges et autres dispositifs 1980 et 1996, ainsi que des obligations relatives aux restes explosifs de guerre 2003. Bon nombre de ces armes sont aujourd'hui Ă©galement interdites en vertu du droit les armes, mĂȘme celles qui ne sont pas expressĂ©ment rĂ©glementĂ©es, doivent respecter les rĂšgles gĂ©nĂ©rales du DIH concernant la conduite des hostilitĂ©s. Dans la mise au point ou l'acquisition d'une nouvelle arme, les États ont l'obligation de procĂ©der Ă  un examen juridique pour dĂ©terminer si l'emploi en serait interdit, dans certaines circonstances ou en toutes circonstances, par le droit et surtout, il faut se demander si l'utilisation d'armes, de moyens ou de mĂ©thodes de guerre est conforme aux principes de l'humanitĂ© et aux exigences de la conscience le CICR demande-t-il aux parties aux conflits d'Ă©viter l'emploi d'armes explosives Ă  large rayon d'impact en milieu urbain ?Les armes explosives Ă  large rayon d'impact bombes et missiles de gros calibre, systĂšmes d'artillerie et mortiers non guidĂ©s, lance-roquettes multitubes, par exemple, lorsqu'elles sont utilisĂ©es dans des zones urbaines ou d'autres zones habitĂ©es, ont de graves consĂ©quences humanitaires, mĂȘme lorsqu'elles sont dirigĂ©es contre des objectifs militaires. Ne sont pas seulement en cause les effets directs de cette utilisation dĂ©cĂšs et blessĂ©s parmi les civils, destruction de biens de caractĂšre civil, mais aussi les retombĂ©es indirectes perturbation des services essentiels causĂ©e par l'endommagement ou la destruction d'infrastructures essentielles, par exemple.Compte tenu de leur puissance explosive ou de leur manque de prĂ©cision, et de la probabilitĂ© que leurs effets s'Ă©tendent bien au-delĂ  de la cible, il est trĂšs dĂ©licat d'utiliser de telles armes dans des zones habitĂ©es dans le respect du DIH. Les armes explosives Ă  large rayon d'impact sont inadaptĂ©es Ă  un emploi dans les zones 2011, le CICR appelle les États et toutes les parties Ă  des conflits armĂ©s Ă  Ă©viter d'utiliser ces armes explosives lourdes dans les zones urbaines et autres zones habitĂ©es, compte tenu de la forte probabilitĂ© qu'elles aient des effets indiscriminĂ©s et malgrĂ© l'absence de toute interdiction juridique expresse portant sur certains types d'armes spĂ©cifiques. Cet appel a Ă©galement Ă©tĂ© lancĂ© par le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge dans son ensemble, le SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral des Nations Unies et plusieurs États et organisations internationales et de la sociĂ©tĂ© d'autres termes, il ne faudrait pas utiliser des armes explosives Ă  large rayon d'impact dans des zones peuplĂ©es, Ă  moins de prendre des mesures suffisantes pour limiter l'Ă©tendue de leurs effets et les risques de dommages qui en dĂ©coulent pour les civils. Ces mesures, sous forme d'orientations et de bonnes pratiques, devraient ĂȘtre mises en place bien avant les opĂ©rations militaires et systĂ©matiquement appliquĂ©es lorsque les hostilitĂ©s sont menĂ©es dans des zones en savoir plus, regardez notre vidĂ©o et les rapports publiĂ©s est-il des transferts d'armes aux parties Ă  un conflit armĂ© ?La disponibilitĂ© gĂ©nĂ©ralisĂ©e et les transferts d'armes et de munitions insuffisamment rĂ©glementĂ©s ou contrĂŽlĂ©s ont un lourd coĂ»t humain. Cette situation facilite les violations du DIH, entrave l'acheminement de l'aide humanitaire, contribue Ă  prolonger la durĂ©e des conflits armĂ©s et Ă  maintenir des niveaux Ă©levĂ©s d'insĂ©curitĂ© et de violence mĂȘme aprĂšs leur États doivent s'abstenir de transfĂ©rer des armes s'il existe un risque manifeste que celles-ci soient utilisĂ©es pour violer le États qui fournissent des armes Ă  une partie Ă  un conflit armĂ© doivent faire tout ce qui est raisonnablement en leur pouvoir pour s'assurer que le destinataire des armes respecte le DIH, par exemple en prenant des mesures d'attĂ©nuation des risques, en assortissant les livraisons d'armes de conditions ou en les suspendant, ou encore en annulant les livraisons outre, les États parties au TraitĂ© sur le commerce des armes doivent Ă©valuer, avant d'autoriser une exportation, si le destinataire est susceptible d'utiliser les armes, les munitions ou les piĂšces et composants fournis pour commettre ou faciliter une violation grave du DIH ou du droit des droits de l'homme. S'il existe un risque prĂ©pondĂ©rant que cela se produise, l'exportation ne doit pas ĂȘtre le DIH, un État ne devient pas partie Ă  un conflit armĂ© au seul motif qu'il fournit des armes ou des Ă©quipements militaires Ă  un un Ă©tablissement hospitalier ou scolaire est utilisĂ© par des forces armĂ©es comme base pour lancer des attaques ou entreposer des armes, cela en fait-il un objectif militaire lĂ©gitime ?Le droit de la guerre interdit les attaques directes contre des biens civils comme les Ă©coles. Il interdit Ă©galement les attaques directes contre les hĂŽpitaux et le personnel mĂ©dical, qui sont expressĂ©ment protĂ©gĂ©s par le DIH. Cela dit, un Ă©tablissement hospitalier ou scolaire peut devenir une cible militaire lĂ©gitime s'il contribue Ă  des opĂ©rations militaires spĂ©cifiques de l'ennemi et si sa destruction offre un avantage militaire certain Ă  l'attaquant. En cas de doute, ces Ă©tablissements ne peuvent ĂȘtre hĂŽpitaux ne perdent leur protection que dans certaines circonstances – par exemple si un hĂŽpital est utilisĂ© comme base pour lancer une attaque, comme dĂ©pĂŽt d'armes ou pour cacher des soldats/combattants en bonne santĂ©. Il y a aussi des conditions prĂ©alables. Pour qu'une partie Ă  un conflit puisse rĂ©pondre Ă  ces actes par une attaque, elle doit d'abord donner un avertissement, assorti d'un dĂ©lai, et l'autre partie doit avoir ignorĂ© cet États ont souscrit Ă  la DĂ©claration et aux lignes directrices sur la sĂ©curitĂ© dans les Ă©coles, qui visent Ă  rĂ©duire l'utilisation des Ă©coles Ă  des fins devrait-on s'inquiĂ©ter des attaques contre les biens culturels dans les conflits armĂ©s ?Les monuments historiques, les Ɠuvres d'art et les sites archĂ©ologiques – dĂ©signĂ©s sous le nom de biens culturels – sont protĂ©gĂ©s par le DIH. Les attaques perpĂ©trĂ©es contre les biens culturels vont bien au-delĂ  de la destruction de constructions matĂ©rielles. Elles constituent des attaques contre notre histoire, notre dignitĂ© et notre droit de la guerre impose aux parties Ă  un conflit armĂ© de protĂ©ger et de respecter les biens culturels. Selon le DIH, attaquer des biens culturels ou utiliser ces biens Ă  des fins militaires est interdit, sauf en cas de nĂ©cessitĂ© militaire impĂ©rative. Par ailleurs, les parties Ă  un conflit ne peuvent saisir, dĂ©truire ou dĂ©libĂ©rĂ©ment endommager des biens culturels, et elles doivent faire cesser les vols et les pillages de biens culturels, ainsi que tout acte de vandalisme Ă  l'Ă©gard desdits DIH protĂšge-t-il l'environnement des effets des opĂ©rations militaires ?Oui. L'environnement naturel est de caractĂšre civil. Par consĂ©quent, toute partie de l'environnement naturel qui n'est pas un objectif militaire est protĂ©gĂ©e en vertu des principes gĂ©nĂ©raux et des rĂšgles sur la conduite des hostilitĂ©s qui protĂšgent les biens civils. Cela signifie qu'il est interdit aux parties de lancer une attaque contre un objectif militaire dont on peut attendre qu'elle cause des dommages excessifs Ă  l'environnement. Dans la conduite des opĂ©rations militaires, toutes les prĂ©cautions pratiquement possibles doivent ĂȘtre prises en vue d'Ă©viter et, en tout cas, de rĂ©duire au minimum, les dommages qui pourraient ĂȘtre causĂ©s incidemment Ă  l'environnement. L'absence de certitude scientifique quant aux effets sur l'environnement de certaines opĂ©rations militaires n'exonĂšre pas une partie au conflit de son devoir de prendre de telles outre, le DIH accorde Ă  l'environnement naturel des protections spĂ©cifiques dans certaines circonstances. Il s'agit notamment de tenir dĂ»ment compte de la protection et de la prĂ©servation de l'environnement naturel dans le choix des moyens et des mĂ©thodes de guerre, et d'interdire l'usage de mĂ©thodes ou de moyens de guerre qui sont conçus pour causer, ou dont on peut attendre qu'ils causent, des dommages Ă©tendus, durables et graves Ă  l'environnement naturel. Violer cette interdiction peut constituer un crime de destruction de l'environnement naturel ne peut ĂȘtre employĂ©e comme une en savoir plus, voir la publication du CICR intitulĂ©e Guidelines on the Protection of the Natural Environment in Armed Conflict Lignes directrices sur la protection de l'environnement naturel dans les conflits armĂ©s, en anglais. Quelles rĂšgles s'appliquent-elles aux siĂšges ?Les siĂšges ont souvent de graves consĂ©quences pour un grand nombre de civils. Le DIH prĂ©voit des rĂšgles importantes en vue de protĂ©ger la population est essentiel que les civils soient autorisĂ©s Ă  Ă©vacuer une zone assiĂ©gĂ©e. Ni la force assiĂ©geante ni la force assiĂ©gĂ©e ne peuvent les forcer Ă  rester contre leur grĂ©. Les siĂšges doivent ĂȘtre dirigĂ©s exclusivement contre des forces armĂ©es ennemies et attaquer ou abattre des civils qui s'Ă©chappent d'une zone assiĂ©gĂ©e est formellement ailleurs, les parties doivent se conformer Ă  toutes les rĂšgles rĂ©gissant la conduite des faut veiller constamment Ă  Ă©pargner les civils lorsqu'une ville est assiĂ©gĂ©e ou que des objectifs militaires sont attaquĂ©s dans la zone assiĂ©gĂ©e. Toutes les prĂ©cautions possibles doivent ĂȘtre prises en vue d'Ă©viter et, en tout cas, de rĂ©duire au minimum les pertes en vies humaines dans la population civile, les blessures aux personnes civiles et les dommages aux biens de caractĂšre civil qui pourraient ĂȘtre causĂ©s incidemment. Le DIH interdit Ă©galement d'utiliser la famine comme mĂ©thode de guerre contre la population le mĂȘme temps, bien que des Ă©vacuations temporaires puissent ĂȘtre nĂ©cessaires, et mĂȘme lĂ©galement requises, les siĂšges ne doivent pas ĂȘtre utilisĂ©s pour contraindre les civils Ă  quitter dĂ©finitivement une zone. Si des civils sont dĂ©placĂ©s parce qu'ils s'Ă©chappent ou sont Ă©vacuĂ©s d'une zone assiĂ©gĂ©e, toutes les mesures possibles doivent ĂȘtre prises pour s'assurer que ces personnes disposent d'un abri adĂ©quat, ont accĂšs Ă  une nourriture suffisante, Ă  des installations d'hygiĂšne et Ă  des soins de santĂ©, qu'elles sont protĂ©gĂ©es y compris contre la violence sexuelle et sexiste et que les membres d'une mĂȘme famille ne sont pas en savoir plus, voir notre Rapport 2019 sur le droit international humanitaire et les dĂ©fis posĂ©s par les conflits armĂ©s contemporains, pages 23 Ă  cyberguerre est-elle soumise Ă  des rĂšgles ?Oui. Les cyberopĂ©rations menĂ©es pendant un conflit armĂ© sont soumises aux rĂšgles et aux principes Ă©tablis du DIH – elles ne s'inscrivent pas dans un vide juridique » ou une zone grise ».La prĂ©occupation du CICR est que les cyberopĂ©rations militaires, qui font dĂ©sormais partie des conflits armĂ©s contemporains, peuvent perturber le fonctionnement des infrastructures essentielles, les interventions d'urgence et l'action humanitaire, ainsi que d'autres services indispensables pour la population DIH limite les cyberopĂ©rations pendant les conflits armĂ©s, de mĂȘme qu'il limite l'emploi de tout autre type d'arme, de moyen et de mĂ©thode de guerre dans un conflit armĂ©, qu'il soit nouveau ou ancien. En particulier, les infrastructures civiles sont protĂ©gĂ©es contre les cyberattaques par les rĂšgles et principes existants du DIH, notamment les principes de distinction, de proportionnalitĂ© et de prĂ©caution dans l'attaque. De plus, l'utilisation, dans les conflits armĂ©s, de cyberoutils qui se diffusent et qui causent des dommages sans discrimination est DIH impose-t-il des limites aux opĂ©rations psychologiques ou d'information ?Les opĂ©rations psychologiques ou d'information font depuis longtemps partie des conflits armĂ©s. Toutefois, avec l'Ă©volution rapide des technologies de l'information et de la communication qui s'opĂšre actuellement, l'ampleur, la vitesse et la portĂ©e des opĂ©rations d'information ou des opĂ©rations psychologiques ont considĂ©rablement CICR est prĂ©occupĂ© par l'utilisation d'opĂ©rations psychologiques ou d'information pour semer la confusion ou causer du tort, pour rĂ©pandre la peur et la terreur parmi la population, ou pour inciter Ă  la DIH interdit certains types d'opĂ©rations psychologiques ou d'information pendant les conflits armĂ©s menaces de violence dont le but principal est de rĂ©pandre la terreur parmi la population civile, propagande tendant Ă  des engagements volontaires de personnes protĂ©gĂ©es dans des territoires occupĂ©s ou, plus gĂ©nĂ©ralement, encouragement Ă  commettre des violations du DIH. Les opĂ©rations d'information doivent Ă©galement satisfaire Ă  l'obligation de respecter et de protĂ©ger des catĂ©gories spĂ©cifiques d'acteurs tels que le personnel mĂ©dical et le personnel de secours sont les dangers associĂ©s aux armes autonomes ?Les armes autonomes sĂ©lectionnent des cibles et exercent la force contre elles sans intervention humaine. Il en rĂ©sulte que l'utilisateur ne choisit pas de maniĂšre spĂ©cifique l'objet humain ou matĂ©riel de la frappe. Compte tenu de la difficultĂ© Ă  prĂ©voir et Ă  limiter leurs effets, l'utilisation de ces armes pose des risques pour les civils, des dĂ©fis quant au respect du DIH et suscite des prĂ©occupations Ă©thiques fondamentales pour la CICR a exhortĂ© les États Ă  adopter de nouvelles rĂšgles juridiquement contraignantes interdisant les armes autonomes imprĂ©visibles et celles qui ciblent des ĂȘtres humains, et Ă  limiter strictement la mise au point et l'utilisation de tous les autres systĂšmes d'armes en savoir plus, voir la position du CICR sur les systĂšmes d'armes humanitaire aux populations qui ont besoin d'aide revĂȘt-il un caractĂšre inconditionnel ?Bien que les rĂšgles pertinentes varient lĂ©gĂšrement en fonction de la nature du conflit conflit armĂ© international sans occupation, occupation ou conflit armĂ© non international, on dira pour simplifier que le cadre formĂ© par le DIH rĂ©gissant l'accĂšs humanitaire est constituĂ© de quatre niveaux » il incombe Ă  chaque partie Ă  un conflit armĂ© de rĂ©pondre aux besoins essentiels de la population qui est sous son les organisations humanitaires impartiales ont le droit d'offrir leurs services pour des activitĂ©s humanitaires, en particulier lorsque les besoins essentiels de la population ne sont pas les activitĂ©s humanitaires impartiales menĂ©es en situation de conflit armĂ© sont gĂ©nĂ©ralement subordonnĂ©es au consentement des parties au conflit, lequel ne doit toutefois pas ĂȘtre refusĂ© de maniĂšre quatriĂšmement, une fois que des actions de secours humanitaires impartiales ont Ă©tĂ© convenues, les parties au conflit armĂ© et les États non parties au conflit doivent autoriser et faciliter le passage rapide et sans encombre des secours. Ils peuvent exercer un droit de contrĂŽle pour vĂ©rifier que l'aide acheminĂ©e est bien ce qu'elle prĂ©tend en savoir plus, voir la publication intitulĂ©e Questions/rĂ©ponses du CICR et lexique sur l'accĂšs est le point de vue du CICR sur les corridors et les pauses humanitaires ?Les corridors ou couloirs humanitaires » sont utilisĂ©s par le personnel humanitaire, par exemple pour acheminer des secours aux victimes d'hostilitĂ©s ou leur offrir un lieu de passage sĂ»r. Si le DIH est muet sur cette notion, les rĂšgles du DIH rĂ©gissant l'accĂšs et les activitĂ©s humanitaires mentionnĂ©es ci-dessus fournissent un cadre de rĂ©fĂ©rence. Par ailleurs, les parties sont tenues d'Ă©vacuer la population civile de la zone des combats, de rapatrier les blessĂ©s et les malades, de transfĂ©rer les morts et, sauf si leur protection l'exige ou en cas de nĂ©cessitĂ© militaire impĂ©rative, elles doivent permettre aux civils de quitter le initiative qui donne aux civils un peu de rĂ©pit face Ă  la violence et leur permet de rejoindre volontairement des zones plus sĂ»res est la bienvenue. Les corridors humanitaires doivent ĂȘtre bien planifiĂ©s, bien coordonnĂ©s et mis en Ɠuvre avec le consentement de toutes les parties au conflit. Par dĂ©finition, ils ont cependant une portĂ©e gĂ©ographique limitĂ©e et ne constituent donc pas une solution idĂ©ale. Les parties engagĂ©es dans les combats doivent s'assurer que toutes les mesures et prĂ©cautions nĂ©cessaires sont prises pour protĂ©ger les civils et pour que l'aide atteigne ceux qui en ont pause humanitaire est une suspension temporaire des hostilitĂ©s Ă  des fins purement humanitaires, convenue entre les parties au conflit. Elle est gĂ©nĂ©ralement prĂ©vue pour une pĂ©riode et une zone expressions pause humanitaire » et corridor humanitaire » ne sont pas des termes techniques consacrĂ©s par le DIH. Il existe nĂ©anmoins des rĂšgles importantes du DIH qui peuvent encadrer les discussions relatives aux pauses et aux corridors humanitaires. Les parties Ă  tous les conflits armĂ©s peuvent conclure des accords visant Ă  amĂ©liorer la situation des personnes touchĂ©es par le conflit et doivent ĂȘtre guidĂ©es par les rĂšgles relatives Ă  l'accĂšs dit le DIH au sujet de la sĂ©curitĂ© alimentaire ?L'insĂ©curitĂ© alimentaire aiguĂ« est une prĂ©occupation rĂ©currente dans les conflits. Le DIH comporte des rĂšgles importantes qui peuvent empĂȘcher une situation de se transformer en une crise alimentaire d'une extrĂȘme gravitĂ©. Ainsi, les parties au conflit ont l'obligation de rĂ©pondre aux besoins essentiels de la population qui est sous leur contrĂŽle. De plus, le DIH interdit expressĂ©ment d'utiliser la famine contre les civils comme mĂ©thode de guerre, la violation de cette interdiction Ă©tant susceptible de constituer un crime de outre, les biens indispensables Ă  la survie de la population civile, tels que les denrĂ©es alimentaires, les zones agricoles, les rĂ©coltes, le bĂ©tail, les installations et rĂ©serves d'eau potable et les ouvrages d'irrigation, bĂ©nĂ©ficient d'une protection spĂ©ciale. Ils ne doivent pas ĂȘtre attaquĂ©s, dĂ©truits, enlevĂ©s ou mis hors d'usage de toute autre mĂȘme, le respect d'autres rĂšgles du DIH peut jouer un rĂŽle important dans la prĂ©vention de l'insĂ©curitĂ© alimentaire, comme la protection de l'environnement, la limitation des siĂšges et l'accĂšs aux secours se passe-t-il si un État ou des particuliers violent le DIH ?Un aspect essentiel de la limitation des effets des conflits armĂ©s est le respect des rĂšgles. Le DIH exige des parties Ă  un conflit qu'elles prĂ©viennent et rĂ©priment les violations graves du DIH, et qu'elles suppriment les autres État responsable de violations du DIH doit rĂ©parer intĂ©gralement les pertes ou les dommages qu'il a causĂ©s. De leur cĂŽtĂ©, les individus responsables de crimes de guerre doivent ĂȘtre recherchĂ©s, faire l'objet d'une enquĂȘte et ĂȘtre poursuivis. Les États peuvent faire appliquer les rĂšgles par le biais de leurs systĂšmes juridiques nationaux, des voies diplomatiques ou des mĂ©canismes internationaux de rĂšglement des crimes de guerre peuvent faire l'objet d'enquĂȘtes et de poursuites par tout État ou, dans certaines circonstances, par un tribunal international. Les Nations unies peuvent Ă©galement prendre des mesures pour faire respecter le droit international humanitaire. Par exemple, le Conseil de sĂ©curitĂ© peut contraindre les États Ă  respecter leurs obligations ou crĂ©er un tribunal chargĂ© d'enquĂȘter sur les crime de guerre, c'est quoi ?Les violations graves du DIH sont considĂ©rĂ©es comme des crimes de guerre. Les États doivent enquĂȘter sur les crimes de guerre commis par leurs ressortissants ou par leurs forces armĂ©es ou sur leur territoire et, si cela est possible, poursuivre les suspects. Les États ont Ă©galement le droit d'enquĂȘter sur d'autres personnes pour crimes de guerre devant leurs tribunaux nationaux, indĂ©pendamment de la nationalitĂ© de l'auteur ou de l'endroit oĂč les violations ont Ă©tĂ© commises compĂ©tence universelle.Le DIH tient les individus responsables des crimes de guerre qu'ils commettent eux-mĂȘmes ou qu'ils ordonnent de commettre. À cet Ă©gard, le DIH est complĂ©tĂ© par le droit pĂ©nal international, qui dĂ©finit diffĂ©rents modes de responsabilitĂ© pĂ©nale crimes de guerre s'appliquent Ă  tous les conflits armĂ©s, tandis que d'autres sont spĂ©cifiques aux conflits armĂ©s internationaux. Dans les conflits armĂ©s internationaux, certains crimes de guerre sont Ă©galement appelĂ©s infractions graves et donnent lieu Ă  des obligations supplĂ©mentaires pour les exemple, les actes suivants constitueraient des crimes de guerre dans tous les conflits armĂ©s - le fait de prendre dĂ©libĂ©rĂ©ment pour cible des civils qui ne participent pas directement aux hostilitĂ©s ;- le pillage ;- la prise d'otages ;- attaquer des objets religieux ou culturels, pour autant qu'ils ne soient pas des objectifs militaires ;- la torture et les autres formes de traitements inhumains ;- le recrutement d'enfants ;- le viol et les autres formes de violence CICR ne participe en aucune façon au recueil d'Ă©lĂ©ments de preuve ou aux poursuites contre les crimes de guerre et ne peut ĂȘtre contraint par les tribunaux de tĂ©moigner dans un est en charge de rĂ©pondre aux violations du DIH ?La responsabilitĂ© de prĂ©venir et de punir les violations du DIH incombe principalement aux États. Le DIH exige des États qu'ils enquĂȘtent sur les violations graves et, le cas Ă©chĂ©ant, qu'ils poursuivent les suspects. Cela signifie que des mesures appropriĂ©es doivent avoir Ă©tĂ© prises pour mettre en Ɠuvre la rĂ©pression pĂ©nale des violations du DIH dans le droit pĂ©nal interne d'un État. Le service consultatif du CICR sur le DIH est disponible, sur demande, pour soutenir les États dans ce processus. En complĂ©ment des enquĂȘtes et des procĂšs nationaux, les mĂ©canismes d'enquĂȘte ou de justice pĂ©nale Ă©tablis au niveau international, y compris la Cour pĂ©nale internationale CPI, peuvent favoriser un plus grand respect du DIH en garantissant que les crimes les plus graves ne restent pas impunis. Le CICR a soutenu les États dans leur travail de crĂ©ation de la CPI et considĂšre que celle-ci est un outil important contre l' CICR participe-t-il Ă  des enquĂȘtes sur les crimes de guerre ?Le CICR applique de longue date une pratique claire de non-intervention dans les procĂ©dures judiciaires et de non-divulgation des informations dont il prend connaissance dans l'exercice de ses activitĂ©s. Le fait de participer Ă  des enquĂȘtes ou Ă  des procĂ©dures judiciaires pourrait sĂ©rieusement compromettre les efforts qu'il dĂ©ploie pour gagner la confiance de toutes les parties Ă  un conflit armĂ© et, en dĂ©finitive, remettre en cause son accĂšs aux personnes qui en ont sa qualitĂ© de gardien du DIH, le CICR reconnaĂźt toutefois que les enquĂȘtes et les poursuites sont fondamentales pour prĂ©venir l'impunitĂ©, amĂ©liorer le respect du droit et attĂ©nuer les souffrances des victimes de conflits armĂ©s. Pour autant, sa mission unique serait profondĂ©ment remise en question s'il prenait part Ă  ces processus importants. Les belligĂ©rants seraient en effet susceptibles de refuser ou de restreindre son accĂšs aux zones de conflit actif, aux prisons et Ă  d'autres lieux de dĂ©tention si elles craignaient qu'un dĂ©lĂ©guĂ© du CICR ne recueille des preuves en vue de futures poursuites Ă  d'Ă©ventuelles violations du DIH, le CICR a donc pour rĂšgle gĂ©nĂ©rale de communiquer personnellement ses constatations aux parties au conflit. Étant confidentielles, ces conversations sont propices Ă  un dialogue franc et sans dĂ©tour. Pour autant, confidentialitĂ© ne rime pas avec silence ou consentement. L'approche privilĂ©giĂ©e par le CICR consiste donc Ă  faire part de ses renseignements et de ses constatations sur des violations prĂ©sumĂ©es du DIH directement Ă  la partie responsable. Cette pratique est ancrĂ©e dans sa profonde connaissance du terrain et a dĂ©jĂ  dĂ©montrĂ© son vos constatations Ă  la Cour pĂ©nale internationale CPI ?Les informations que nous recueillons ne sont pas et ne seront jamais transmises Ă  qui que ce soit d'autre, y compris la CPI. Celle-ci a reconnu dans son RĂšglement de procĂ©dure et de preuve que le CICR jouit du privilĂšge de non-divulgation et que les membres de son personnel ne peuvent pas ĂȘtre citĂ©s comme tĂ©moins dans les procĂ©dures de la Cour. Cela ne signifie pas que nous laissons ces problĂšmes sans rĂ©ponse. Simplement, nous les abordons directement avec les parties au conflit, et non pas de façon conjointe ou peut utiliser les emblĂšmes de la croix rouge, du croissant rouge et du cristal rouge, et Ă  quelles fins ?Les emblĂšmes de la croix rouge, du croissant rouge et du cristal rouge peuvent ĂȘtre utilisĂ©s Ă  deux fins l'emblĂšme peut ĂȘtre utilisĂ© pour montrer que certaines personnes ou certains biens sont protĂ©gĂ©s en vertu du DIH en tant que personnels de santĂ© ou structures mĂ©dicales usage Ă  titre protecteur. Les mĂ©decins militaires et le personnel mĂ©dical civil, ainsi que les moyens de transport sanitaires et les structures mĂ©dicales, sont autorisĂ©s Ă  utiliser l'emblĂšme l'emblĂšme indique qu'une personne ou un objet a un lien avec le Mouvement international de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge, c'est-Ă -dire avec une SociĂ©tĂ© nationale, le CICR ou la FĂ©dĂ©ration internationale des SociĂ©tĂ©s de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge abrĂ©gĂ© IFRC » en anglais. Il s'agit de l'usage de l'emblĂšme Ă  titre indicatif. Le CICR et la FĂ©dĂ©ration internationale peuvent utiliser l'emblĂšme simultanĂ©ment Ă  titre protecteur et Ă  titre indicatif dans toutes leurs activitĂ©s est utilisĂ© Ă  des fins de protection, l'emblĂšme est de grandes dimensions. Il n'est composĂ© que de la croix rouge, du croissant rouge ou du cristal rouge, sans ajout Ă©crit. UtilisĂ© Ă  titre indicatif, l'emblĂšme est de petite taille, accolĂ© au nom de la composante qui en fait l'usage ICRC/CICR, IFRC ou nom de la SociĂ©tĂ© nationale.Toute utilisation de l'emblĂšme par une entitĂ© non autorisĂ©e ou Ă  d'autres fins que celles mentionnĂ©es ci-dessus constitue un usage abusif. Tous les États parties aux Conventions de GenĂšve doivent empĂȘcher ce type d'utilisations et prendre des mesures pour y remĂ©dier le cas rĂšgles strictes visent Ă  susciter la confiance des parties Ă  un conflit armĂ© en l'usage de l'emblĂšme, afin qu'elles n'attaquent pas les personnes ou les biens qui l'arborent conformĂ©ment aux rĂšgles ni n'entravent leurs activitĂ©s mĂ©dicales ou ne pas multiplier l'usage de l'emblĂšme ou encourager la crĂ©ation ou l'emploi de signes d'exception ?Le DIH protĂšge la population civile et les biens de caractĂšre civil en raison mĂȘme de leur nature civile. Multiplier les emblĂšmes ou en Ă©largir l'usage pourrait se rĂ©vĂ©ler contre-productif, car cela laisserait supposer qu'un individu ou un objet n'est protĂ©gĂ© que s'il l'arbore. Or la protection des civils et des biens de caractĂšre civil en vertu du DIH doit demeurer indĂ©pendante de la prĂ©sence de l' personnels de santĂ©, les structures mĂ©dicales et les vĂ©hicules sanitaires sont Ă©galement protĂ©gĂ©s par le DIH, qu'ils affichent ou non l'emblĂšme la protection Ă  laquelle ils ont droit est liĂ©e Ă  leur fonction de nature exclusivement mĂ©dicale. L'emblĂšme n'est qu'un signe extĂ©rieur de protection, il n'est pas un facteur de protection. Les unitĂ©s sanitaires sont donc protĂ©gĂ©es d'un point de vue lĂ©gal, qu'elles portent ou non l'emblĂšme. Il n'est nullement obligatoire de l'arborer en toutes circonstances, et certaines parties Ă  un conflit choisissent de ne pas le faire. Cela se justifie tout particuliĂšrement lorsqu'elles font face Ă  un ennemi qui prend systĂ©matiquement pour cibles les unitĂ©s sanitaires qui affichent l' vidĂ©o sur les rĂšgles de base du droit de la guerre Vous avez d'autres questions ? Tweetez-nous sur ICRC_fr avec le hashtag ConventionsdeGenĂšveLes civils doivent ĂȘtre la loi.
1Pourquoi la marseillaise a-t-elle été écrite ?? 2 Expliquez ces mots dans la marseillaise : l'étandard, Mugir et sillons ? Voici les phrases : L'étandard sanglant élévé, Mugir ces féroces soldats, nos sillons, 3 Pourquoi peut-on dire que la marseillaise est à la fois un chant patriotique et un chant révolutionnaire? 4 Qui sont les féroces soldats et que font ils ? 5 Comment sont
Quelque Australiens ont commĂ©morĂ©, ce mardi au cimetiĂšre militaire du village de Fromelles Nord, le centenaire de la bataille qui causa la mort de plus de 5000 de leurs compatriotes les 19 et 20 juillet 1916. Des Britanniques, des Canadiens ou encore des NĂ©erlandais ont Ă©galement fait le dĂ©placement pour l' Todeschini, secrĂ©taire d'État français chargĂ© des anciens combattants, Ă©tait prĂ©sent Ă  la cĂ©rĂ©monie placĂ©e sous haute surveillance, au cĂŽtĂ© de son homologue australien, le ministre Dan Tehan. L'Ă©vĂ©nement se dĂ©roule dans un gigantesque amphithéùtre autour du cimetiĂšre du Bois du Faisan, Ă  partir de 13 heures. À ce moment-lĂ , il sera 21 heures en Australie oĂč la commĂ©moration sera retransmise en prime-time Ă  la tĂ©lĂ©vision nationale.Aujourd'hui, nous nous souvenons des soldats inconnus, ici, Ă  Fromelles, pour leur service, nous leur rendons hommage pour leur sacrifice, et nous assurer qu'ils continuent de vivre dans les mĂ©moires de tous les Australiens», a dĂ©clarĂ© Dan Tehan. Nous pleurons la perte pas seulement des ĂȘtres qui nous Ă©taient chers, mais d'un tel potentiel, et de ce qu'ils auraient pu ĂȘtre, s'ils n'avaient pas Ă©tĂ© perdus dans la Grande Guerre», a affirmĂ© de son cĂŽtĂ© le lieutenant gĂ©nĂ©ral Angus Campbell, chef d'Etat-major de l'ArmĂ©e de terre australienne. Deux cent cinquante corps de soldats australiens et britanniques sont enterrĂ©s au cimetiĂšre militaire de Pheasant Wood, dont 150 ont Ă©tĂ© familles de certains soldats prĂ©sentesA l'occasion de cette cĂ©rĂ©monie, les tombes de six soldats australiens tombĂ©s lors de la PremiĂšre Guerre mondiale et rĂ©cemment identifiĂ©s grĂące Ă  des tests ADN ont Ă©tĂ© inaugurĂ©es. Les familles de certains de ces soldats Ă©taient Ă©galement prĂ©sentes pour rendre un dernier hommage Ă  leur aĂŻeul dĂ©cĂ©dĂ© dans cette bataille.C'est mon humble privilĂšge d'appeler la liste d'honneur et de dĂ©voiler les stĂšles gravĂ©es de ces hommes qui honorent leur sacrifice et, espĂ©rons-le, contribuent Ă  apporter du rĂ©confort Ă  leurs familles», a dĂ©clarĂ© Angus Campbell, qui a ensuite lu, pour chacun de ces six soldats, une brĂšve parmi ces six hommes, le soldat Justin Hercules Breguet, tuĂ© au combat le 19 juillet 1916 Ă  l'Ăąge de 18 ans. Avec sa voix grave de baryton» et un lĂ©ger accent Ă©cossais», il avait Ă©tĂ© affectĂ© au 29e bataillon en Egypte en avril 1916 et Ă©tait arrivĂ© en France vers la fin juin oĂč il est parti Ă  l'assaut Ă  Fromelles. L'une de ses descendantes, Carolyn Anderson, Ă©tait prĂ©sente lors de la cĂ©rĂ©monie. Je ne le connaissais pas, mais ma famille m'avait parlĂ© de lui et m'avait expliquĂ© qu'il Ă©tait mort en France ... et hier, je suis venue ici, devant sa tombe et j'ai Ă©tĂ© submergĂ©e par l'Ă©motion», a-t-elle dĂ©clarĂ©, se disant satisfaite que son grand-oncle repose dans ce cimetiĂšre magnifique» et paisible».Les musiciens du chƓur des Voices of Birralee de Brisbane et l'orchestre de l'ArmĂ©e de terre australienne ont accompagnĂ© cet hommage empreint d'Ă©motion oĂč l'hymne national français, La Marseillaise, puis l'hymne national australien, l'Advance Australia Fair, ont Ă©tĂ© entonnĂ©s. Ce matin dĂ©jĂ  les festivitĂ©s avaient commencĂ© en mission de diversionEnviron hommes du Commonwealth ont participĂ© Ă  la bataille de Fromelles, une mission de diversion, alors que la bataille de la Somme faisait rage, Ă  quelque 80 km au sud. Lors de ces combats, une division australienne et une division britannique ont affrontĂ© une division allemande. Au total soldats, des trois nationalitĂ©s, ont Ă©tĂ© tuĂ©s, blessĂ©s, faits prisonniers ou ont Nord, le 19 juillet. AFP / Denis Charlet.Pour les Australiens, Fromelles constitue le premier combat sur le front de l'ouest. Les soldats sont jeunes, inexpĂ©rimentĂ©s et viennent d'effectuer un long pĂ©riple 16 000 km pour rejoindre la France. Face Ă  eux, des vĂ©tĂ©rans allemands. La bataille est inĂ©gale, bilan 5 533 Australiens pĂ©riront entre le 18 juillet 1916, 11 heures et le 19 Ă  l' nombreux Ă©vĂ©nements ont Ă©tĂ© organisĂ©s cette annĂ©e pour commĂ©morer l'engagement de l'Australie pendant la PremiĂšre Guerre mondiale, dont le centenaire de la bataille de PoziĂšres Somme le 23 juillet prochain. C'est en effet Ă  PoziĂšres, au dĂ©but du mois d'aoĂ»t 1916, que les Australiens connaĂźtront leur premier Guerre 14-18 ouverture du musĂ©e de la bataille de Fromelles 18/07/14
Unarmistice est un accord conclu entre des pays ennemis pour arrĂȘter des combats en attendant la signature d’un traitĂ© de paix. L’armistice du 11 novembre 1918 met fin aux combats en France et en Belgique. Il est signĂ© entre l’Allemagne, le pays vaincu, et la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis, les pays vainqueurs, appelĂ©s
1 Anne Roche et Marie-Claude Taranger, Celles qui n’ont pas Ă©crit rĂ©cits de femmes dans la rĂ©gion m ... 2 Anne Roche, Je vous le raconte volontiers, parce qu’on ne me l’a jamais demandĂ© » Autobiographi ... 3 Romain Choron, Les appelĂ©s de la guerre d’AlgĂ©rie 1954-1962 dans les fonds de la division des t ... 1C’est en Ă©coutant le fonds sonore d’Anne Roche et Marie-Claude Taranger, Celles qui n’ont pas Ă©crit1 », lors de son traitement documentaire Ă  la phonothĂšque de la MMSH, que les archivistes ont pris conscience qu’une grande partie des entretiens Ă©taient enregistrĂ©s auprĂšs d’hommes qui avaient participĂ© Ă  la guerre d’indĂ©pendance en AlgĂ©rie. IntriguĂ©s par cet ensemble cohĂ©rent, au sein d’un fonds dĂ©posĂ© au dĂ©part sous un titre qui signalait avant tout des tĂ©moins fĂ©minins, les archivistes interrogĂšrent Anne Roche. Elle dĂ©posa alors, pour les Ă©clairer dans leur travail de contextualisation de leur fonds, une nouvelle sĂ©rie de transcriptions et un article, publiĂ© dans un ouvrage qui n’était plus disponible en librairie2. C’est cet article que le Bulletin de l’AFAS. SonoritĂ©s publie dans ce mĂȘme numĂ©ro. À la phonothĂšque de la MMSH, un corpus spĂ©cifique a Ă©tĂ© créé dans les collections sous le titre Ă©ponyme de l’article qui paraissait assez Ă©vocateur aux archivistes Je vous le raconte volontiers parce qu’on ne me l’a jamais demandé  ». En effet, les corpus d’entretiens auprĂšs des appelĂ©s de la guerre d’AlgĂ©rie ne sont pas si nombreux Ă  ĂȘtre identifiĂ©s et surtout, ils sont trĂšs Ă©parpillĂ©s, difficile Ă  repĂ©rer. Certes, la fusion des collections d’archives sonores du service historique de la DĂ©fense3 permet aujourd’hui d’avoir accĂšs Ă  plusieurs centaines d’entretiens issus de programmes trĂšs diffĂ©rents. Mais, Ă  un moment oĂč les recherches sur la guerre d’indĂ©pendance en AlgĂ©rie connaissent d’importants renouvellements historiographiques, leur cartographie reste encore Ă  faire. C’est ce Ă  quoi s’emploie cet article, rĂ©aliser un premier Ă©tat des lieux des archives sonores et audiovisuelles donnant Ă  entendre des appelĂ©s de cette guerre. Merci Ă  tout lecteur qui connaĂźtrait d’autres corpus sonores ou audiovisuels accessibles, de les signaler Ă  l’AFAS ! 4 Les rĂ©sultats sur d’une recherche Algerian war » sur le site bibliothĂšque numĂ©rique ... 5 Une recherche sur Europeana, la bibliothĂšque numĂ©rique europĂ©enne, sur AppelĂ©s de la guerre d’Alg ... 6 Une recherche sur le moteur de sciences humaines et sociales, Isidore, ne fait pas apparaĂźtre de co ... 7 Calames, le catalogue des archives et des manuscrits des bibliothĂšques universitaires françaises, m ... 8 Il faut noter toutefois que le Centre virtuel de la connaissance sur l’Europe CVCE, infrastructur ... 9 Sur le domaine, Canal-U, plateforme de ressources audiovisuelles de l’enseignement supĂ©rieur et de ... 10 On peut aussi indiquer que sur son site officiel Benjamin Sto ... 2Si une recherche de collections sonores sur le domaine sur les plateformes et les moteurs culturels ou en sciences humaines et sociales comme Europeana5, Isidore6, Calames7, le CVCE8 ou Canal-U9 ne met pas Ă  jour des collections inĂ©dites hors de celles qui sont prĂ©sentĂ©es plus avant dans l’article, la plateforme Cocoon Collections de corpus oraux numĂ©riques10 » offre plus de rĂ©sultats. Cocoon est dĂ©veloppĂ©e par des linguistes et gĂ©rĂ©e conjointement par le laboratoire Langues et civilisations Ă  tradition orale LACITO – UMR7107 et le Laboratoire ligĂ©rien de linguistique LLL – UMR7270. Une recherche Ă  partir du mot clĂ© AlgĂ©rie - 1954-1962 Guerre d’AlgĂ©rie » renvoie vers quatre colloques organisĂ©s par l’Institut d’histoire du temps prĂ©sent IHTP dont les communications et les dĂ©bats enregistrĂ©s peuvent ĂȘtre consultĂ©s dans les locaux de l’IHTP. – La guerre d’AlgĂ©rie et les AlgĂ©riens 1954-1962, organisĂ©, sous la direction de Charles-Robert Ageron, Ă  Paris les 26 et 27 mars 1996. – La guerre d’AlgĂ©rie et les intellectuels français, organisĂ© Ă  Paris, le 22 avril 1988 avec, entre autres, les interventions de Jean-Pierre Rioux, Jean-François Sirinelli, Raoul Girardet, Jean-Marie Domenach, Jacques Julliard. – La guerre d’AlgĂ©rie et les français, organisĂ© par François BĂ©darida et Jean-Pierre Rioux Ă  Paris, les 15, 16 et 17 dĂ©cembre 1988. – Les croyants et la guerre d’AlgĂ©rie, organisĂ© par François BĂ©darida et Étienne Fouilloux, Ă  Paris, le 17 dĂ©cembre 1987 11 Une recherche sur le catalogue du catalogue collec ... 12 Une recherche dans les transcriptions des entretiens archivĂ©s sur Cocoon sur le terme AlgĂ©rie » 3Cet ensemble de 60 notices 30 cassettes audio fait partie de la collection Colloques de l’IHTP11 » sans description de sous-sĂ©rie, ou de dĂ©pouillement des cassettes. Il est donc difficile de prĂ©ciser les informations de contenu et en particulier de connaĂźtre l’ensemble des confĂ©renciers. Les quatre colloques devraient correspondre Ă  une trentaine d’heures et les publications issues de ces colloques se retrouvent dans les articles et ouvrages de l’IHTP. Une recherche dans les entretiens de terrain sur la thĂ©matique ne donne pas de rĂ©sultats probants12, mais les dĂ©pĂŽts dans cette plateforme sont constants, ouverts Ă  plusieurs disciplines, et il faudrait effectuer des recherches rĂ©guliĂšres pour prendre en compte les mises Ă  jour. Des sources tĂ©lĂ©visĂ©es et radiodiffusĂ©es considĂ©rables mais hĂ©tĂ©rogĂšnes 4Les archives des mĂ©dias tĂ©lĂ©vision et radio sont des archives majeures pour les chercheurs en sciences sociales, en particulier lorsqu’il s’agit de travailler sur des Ă©vĂ©nements historiques prĂ©cis. Sur la question de la guerre d’AlgĂ©rie et des appelĂ©s, on y trouvera non seulement des petits formats rĂ©alisĂ©s pour les actualitĂ©s, mais aussi des entretiens avec les acteurs du moment, des discours politiques comme des documentaires reprĂ©sentant plusieurs points de vue. Toutefois, les archives tĂ©lĂ©visĂ©es ne sont pas conservĂ©es et accessibles de la mĂȘme façon dans tous les pays d’Europe aussi nous Ă©voquerons ici trois ressources principales l’Institut national de l’audiovisuel, le projet Med-Mem et la TĂ©lĂ©vision suisse romande. 5En France, la plateforme de l’Ina, entreprise publique culturelle chargĂ©e de la sauvegarde, de la valorisation et de la transmission du patrimoine audiovisuel français, propose des milliers d’archives radiodiffusĂ©es et tĂ©lĂ©visĂ©es numĂ©risĂ©es et accessibles de plusieurs façons. 6Sur le site grand public » d’ plus de 800 archives Ă©voquent le conflit de la guerre d’indĂ©pendance de l’AlgĂ©rie et, parmi elles, environ 200 portent sur les appelĂ©s 191 Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es, 21 enregistrements audios 13 Il est Ă©galement possible de consulter le catalogue en ligne du dĂ©pĂŽt lĂ©gal de l’Ina http//inath ... 14 Pour plus d’information sur les PCM Ă  la MMSH 7Mais il faut complĂ©ter cette recherche, car les archives du dĂ©pĂŽt lĂ©gal sont beaucoup plus riches. Pour rappel, une recherche dans le catalogue complet des archives du dĂ©pĂŽt lĂ©gal de l’Ina doit s’effectuer sur les sites donnant accĂšs aux postes de consultation multimĂ©dia PCM de l’InathĂšque implantĂ©s13 Ă  la BnF, au sein des 6 dĂ©lĂ©gations Ina, de 16 bibliothĂšques en rĂ©gion, de 4 cinĂ©mathĂšques et de la mĂ©diathĂšque de recherche de la MMSH Ă  Aix en Provence14. 15 Film qui fut interdit en France et en AlgĂ©rie mais obtint le grand prix du festival international d 8Une recherche associant les deux termes appelĂ©s AlgĂ©rie » dans le moteur de l’InathĂšque renvoie ainsi vers 542 documents, dont 128 Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es nationales, rĂ©gionales et satellites et 174 Ă©missions radiophoniques enregistrĂ©es dĂšs 1959. Ces deux termes sont sans doute limitĂ©s et la recherche mĂ©riterait plus de prĂ©cision les archives de l’Ina doivent receler bien d’autres documents en lien avec les appelĂ©s puisque les termes guerre d’AlgĂ©rie » renvoient Ă  18 908 documents, enregistrĂ©s dĂšs 1949. Dans le mĂȘme catalogue, une recherche sur les films issus des archives du CNC Centre national du cinĂ©ma permettent de visionner des documents prĂ©sentant des points de vue trĂšs diffĂ©rents depuis DĂ©fense de l’AlgĂ©rie 1957 Ă  AlgĂ©rie annĂ©e zĂ©ro15 1967. Rappelons que pour des questions juridiques, ces documents peuvent ĂȘtre consultĂ©s uniquement sur place, dans les centres citĂ©s qui donnent accĂšs aux PCM. 9Par ailleurs, l’Ina a soutenu diffĂ©rents projets qui donnent accĂšs Ă  ses archives tĂ©lĂ©visĂ©es et radiodiffusĂ©es, sous des formes et formats diffĂ©rents, Ă©ditorialisĂ©s et augmentĂ©s. 16 17 10En particulier, entre 2008 et 2012, l’Ina a initiĂ© un vaste projet dans le cadre de la COPEAM ConfĂ©rence permanente de l’audiovisuel mĂ©diterranĂ©en Ă  la demande des dĂ©tenteurs d’archives audiovisuelles de la rĂ©gion mĂ©diterranĂ©enne. Le projet Med-Mem MĂ©moires audiovisuelles de la MĂ©diterranĂ©e » offre au grand public prĂšs de 4 000 documents audiovisuels des pays du pourtour de la MĂ©diterranĂ©e. ReplacĂ©es dans leur contexte historique et culturel, les archives tĂ©lĂ©vision et radio sont accompagnĂ©es d’une notice documentaire trilingue français, anglais, arabe. Certes, la thĂ©matique de la guerre est loin d’ĂȘtre au cƓur de ce projet qui voulait, avant tout, rassembler et valoriser un patrimoine culturel et historique, toutefois, l’évĂ©nement est bien prĂ©sent. Deux documents originaux sont Ă  souligner le dossier rĂ©alisĂ© par Karima DirĂšche sur le thĂšme La question coloniale et postcoloniale algĂ©rienne16 » et un documentaire de 1963 rĂ©alisĂ© par Slim Riad Mohamed, AlgĂ©rie 1er novembre 1954-1er novembre 1962, pour la tĂ©lĂ©vision algĂ©rienne17. 18 Mais aussi sur le site du Monde et de l’Ina. 19 20 Sur les 9 tĂ©moins, seule une est combattante du FLN, il s’agit d’Évelyne Lavalette. 11Toujours sur la guerre d’indĂ©pendance en AlgĂ©rie, les archives de l’Ina peuvent ĂȘtre Ă©coutĂ©es autrement. En effet, en 2007, l’Ina a restituĂ© Ă  la tĂ©lĂ©vision algĂ©rienne une copie des archives filmĂ©es par les reporters français avant 1962. Cet ensemble est mis en avant dans un web documentaire accessible sur le quotidien El Watan18 sous le titre IndĂ©pendance algĂ©rienne19. Cette coproduction du Monde, de l’Ina et d’El Watan donne Ă  voir et Ă  entendre neuf tĂ©moins qui racontent en 2012 leur Ă©tĂ© 1962 Ă  l’occasion du cinquantiĂšme anniversaire du 5 juillet. Ils sont combattants du FLN20, pied vert ou pied noir, simple habitant, membre de l’OAS ou appelĂ©. Malheureusement, la technologie de ce webdoc ne permet pas de citer convenablement les sources. Ainsi, l’appelĂ© Michel Guay, mobilisĂ© et envoyĂ© Ă  Oran en janvier 1962, filmĂ© dans le cadre du projet, apparaĂźt dans un cadre multimĂ©dia. Dans ce cadre » s’intercalent des images d’archives et des commentaires historiques qui apparaissent sans que l’internaute ne puisse ouvrir les fenĂȘtres au fil de l’entretien. L’ensemble est accessible sous une seule adresse Ă©lectronique, unique pour toutes les ressources 12Aucun texte ne peut ĂȘtre copiĂ© ou citĂ©, rien ne peut ĂȘtre embarquĂ© » pour ĂȘtre repris dans une autre publication, les cadres ne sont pas numĂ©rotĂ©s. Aussi, bien que le document soit trĂšs esthĂ©tique, agrĂ©able Ă  consulter et riche d’informations, il est difficile d’utiliser ce webdocumentaire dans un travail universitaire. 21 Une recherche gĂ©nĂ©rale avec les termes guerre d'AlgĂ©rie » sur le site renvoie ... 22 23 Sur YouTube 13La RTS Radio et tĂ©lĂ©vision suisse romande fournit Ă©galement de nombreuses archives tĂ©lĂ©visĂ©es et radiodiffusĂ©es sur cette pĂ©riode et plus largement sur l’AlgĂ©rie21. Un dossier sur le thĂšme La douloureuse indĂ©pendance de l’AlgĂ©rie22 », donne ainsi accĂšs Ă  onze Ă©missions et Ă  des petits documentaires créés Ă  cette pĂ©riode. Plusieurs d’entre elles mettent en avant l’implication des personnalitĂ©s suisses dans les accords d’Evian ou les luttes contre la torture. Il s’agit toutefois uniquement d’une recherche en ligne et sans nul doute, la RTS doit possĂ©der des archives plus complĂštes consultables sur place. Certains de ses documentaires circulent d’ailleurs sur des plateformes gĂ©nĂ©ralistes de type You Tube ou Daily Motion dont la citabilitĂ© pĂ©rissable rend difficile leur rĂ©fĂ©rencement dans un travail scientifique. Il est ainsi possible de visionner le film produit par la TĂ©lĂ©vision suisse romande en 1974, GĂ©nĂ©ral de BollardiĂšre. L’AlgĂ©rie, le silence d’État et le destin d’un homme, rĂ©alisĂ© par AndrĂ© Gazut et Pierre Stucki, censurĂ© en France23. Des entretiens inĂ©dits qui restent encore Ă  cartographier et Ă  documenter 24 Nous aurions pu ajouter Ă  ces deux associations celui de Dastum spĂ©cialisĂ©e dans la musique bretonn ... 25 Les Archives nationales nous ont confirmĂ© qu’ils ne conservaient pas dans leur fonds des archives s ... 14Au-delĂ  de ces grandes plateformes, les centres de ressources associatifs ou institutionnels qui proposent un accĂšs Ă  leurs archives sonores sur ce thĂšme, repĂ©rĂ©s dans le cadre de cet article sont au nombre de quatre, deux associations24 et deux institutions de recherche. Nous avons sĂ©lectionnĂ© uniquement les centres de ressource, qui permettent l’écoute en ligne ou sur site d’archives orales25 sur les appelĂ©s de la guerre d’AlgĂ©rie – L’Association Harkis et droits de l’Homme – La BibliothĂšque de documentation internationale contemporaine BDIC – Le Centre de documentation pour l’histoire de l’AlgĂ©rie CDHA – La phonothĂšque de la Maison mĂ©diterranĂ©enne des sciences de l’homme MMSH Ă  Aix-en-Provence Association Harkis et droits de l’Homme 26 15Cette association, cofondĂ©e en 2004 par Fatima Besnaci-Lancou et Hadjila Kemoum, s’est donnĂ© pour objectif de faire connaĂźtre l’histoire des harkis par plusieurs moyens, dont la collecte d’entretiens filmĂ©s et enregistrĂ©s26. Sur le thĂšme de la guerre d’AlgĂ©rie et plus particuliĂšrement des appelĂ©s, plusieurs centaines d’entretiens sont archivĂ©s au sein de l’association et publiĂ©s sous forme de transcription dans des ouvrages. Les entretiens peuvent ĂȘtre Ă©coutĂ©s sur demande, sur place Ă  l’association, en contactant Fatima Besnaci-Lancou La BDIC 27 16La BibliothĂšque de documentation internationale contemporaine BDIC dĂ©veloppe ses collections d’archives autour de thĂšmes tels que l’histoire des relations internationales, les deux guerres mondiales, les conflits armĂ©s, les gĂ©nocides, la dĂ©colonisation, la question des droits de l’homme, les minoritĂ©s, les mouvements politiques et sociaux ou les migrations volontaires ou forcĂ©es. La consultation des sources documentaires nĂ©cessite l’inscription prĂ©alable du lecteur Ă  la BDIC. Trois fonds de tĂ©moignages concernant les appelĂ©s en AlgĂ©rie sont conservĂ©s actuellement Ă  la BDIC et consultables uniquement sur place avec ou sans restrictions. Le catalogue des archives sonores et audiovisuelles est accessible sur la plateforme Calames27, toutefois les trois collections prĂ©sentĂ©es ici n’y sont pas encore intĂ©grĂ©es. – Le Fonds Andrea Brazzoduro » tĂ©moignages oraux rĂ©alisĂ©s dans le cadre de la thĂšse de doctorat en histoire I veterani d’Algeria e la Francia contemporanea. Esperienze et memorie del contingente di leva, 1955-2010 UniversitĂ© de Paris-Ouest Nanterre, 2011. Les archives sont consultables Ă  la BDIC avec l’autorisation de l’auteur. – Le Fonds BenoĂźt Kaplan » tĂ©moignages oraux rĂ©alisĂ©s dans le cadre du mĂ©moire de maĂźtrise en histoire Une gĂ©nĂ©ration d’élĂšves des Grandes Ă©coles en AlgĂ©rie mĂ©moire d’une guerre » UniversitĂ© de Paris-Ouest, 1996. Les archives sont consultables Ă  la BDIC avec l’autorisation de l’auteur. – Le Fonds Bernard Andrieux » tĂ©moignages filmĂ©s dans le cadre de l’enquĂȘte intitulĂ©e AlgĂ©rie, facettes d’une guerre 1954-1962 ». Les archives sont librement consultables Ă  la BDIC. 17Pour toute information complĂ©mentaire, vous pouvez consulter Rosa Olmos, responsable du service audiovisuel ] Le CDHA 28 29 Contact de l’archiviste du CDHA 18Le Centre de documentation pour l’histoire de l’AlgĂ©rie CDHA, créé en 1974 et reconnu d’utilitĂ© publique en 1985, installĂ© dans la Maison MarĂ©chal Juin, 29 avenue de TĂŒbingen Ă  Aix-en-Provence, a pour mission de rechercher partout en France et hors de France, ras­sembler, rĂ©pertorier, conserver, pĂ©renniser et faire connaĂźtre la documentation sous toutes les formes d’expression histoire, littĂ©rature, art plastique, documents sonores, musique... etc. concernant l’AlgĂ©rie avant et pendant la prĂ©sence française ainsi que les suites de cette prĂ©sence ». Il possĂšde une bibliothĂšque, des fonds d’archives Ă©crites, iconographiques, et audiovisuelles, ainsi que des tĂ©moignages oraux audio et maintenant vidĂ©o. La collecte des tĂ©moignages oraux a commencĂ© dans les annĂ©es 1990 Ă  l’initiative de Jean Monneret et se poursuit grĂące au groupe Histoire de paroles, créé en 2011. Une recherche sur la base de donnĂ©es du CDHA donne un seule rĂ©fĂ©rence Ă  l’interrogation du terme appelĂ©28 », mais environ 70 tĂ©moignages oraux sont archivĂ©s dans ce centre de ressource sur la question de la guerre d’AlgĂ©rie29 militaires, notamment des officiers SAS, appelĂ©s, harkis, pieds-noirs, mĂ©decins, enseignants ou autres fonctionnaires ayant vĂ©cu en AlgĂ©rie Ă  l’époque. La phonothĂšque de la Maison mĂ©diterranĂ©enne des sciences de l’homme MMSH Ă  Aix-en-Provence 30 Jean-Robert Henry et Jean-Claude Vatin dir., Le Temps de la coopĂ©ration. Sciences sociales et dĂ©c ... 19La phonothĂšque de la MMSH USR 3125 – Aix-Marseille universitĂ© – CNRS met Ă  disposition plusieurs collections en lien avec les Ă©vĂ©nements de l’indĂ©pendance de l’AlgĂ©rie, soit plus de 130 heures d’écoute. Les entretiens sont Ă©coutables en ligne lorsque les questions Ă©thiques et juridiques le permettent, sur la base de donnĂ©es de la phonothĂšque, Ganoub. Les mĂ©tadonnĂ©es descriptives sont placĂ©es dans le domaine public et rĂ©utilisables par toutes. D’autres collections sonores portant sur cette pĂ©riode sont Ă©galement archivĂ©es comme le corpus d’HĂ©lĂšne Bracco sur L’autre face “EuropĂ©ens” en AlgĂ©rie indĂ©pendante » entretiens enregistrĂ©s, 1993, 28 h ou celui rĂ©alisĂ© par Jean-Robert Henri et François Siino IREMAM sur le thĂšme des CoopĂ©rants au Maghreb du milieu des annĂ©es 1950 Ă  la fin des annĂ©es 1970 » entretiens filmĂ©s, 2008-2012, 60 h30. 20Cet article se limite Ă  prĂ©senter quatre corpus directement en lien avec les appelĂ©s durant la guerre d’indĂ©pendance en AlgĂ©rie. – Actes de refus civils et militaires dans la guerre d’AlgĂ©rie 1954-1962 – “Je vous le raconte volontiers parce qu’on ne me l’a jamais demandĂ©â€ rĂ©cits autobiographiques de français en AlgĂ©rie, au Maroc, en Tunisie dans les annĂ©es 1930 Ă  1962 » – RĂ©cits de vie de harkis – TĂ©moignages d’appelĂ©s en AlgĂ©rie rĂ©sidant en Midi-PyrĂ©nĂ©es Actes de refus civils et militaires dans la guerre d’AlgĂ©rie 1954-1962 Dates d’enregistrement 2007Nombre d’entretiens 17DurĂ©e 12 hEnquĂȘtrice HĂ©lĂšne BraccoAccĂšs sur Ganoub 21Le corpus prĂ©sente des tĂ©moignages d’actes de refus civils et militaires dans ce que furent, pour l’État français Les opĂ©rations de maintien de l’ordre en AlgĂ©rie », autrement dit la guerre d’AlgĂ©rie de 1954 Ă  1962. Les actions se dĂ©roulent en France et en AlgĂ©rie principalement, Ă  l’étranger quelquefois. HĂ©lĂšne Bracco interroge les rĂ©fractaires Ă  la guerre quant aux sources de leur refus familiales, politiques et sociales, mais aussi sur les consĂ©quences de leur acte de refus jusqu’à aujourd’hui. Elle s’adresse Ă©galement aux enfants de ces rĂ©fractaires et Ă  quelques-uns de leurs amis. L’ensemble est constituĂ© de 16 enquĂȘtes et d’une Ă©mission radiophonique. “Je vous le raconte volontiers parce qu’on ne me l’a jamais demandĂ©.” RĂ©cits autobiographiques de Français en AlgĂ©rie, au Maroc, en Tunisie dans les annĂ©es 1930 Ă  1962 » Dates d’enregistrement 1983-1991Nombre d’entretiens 24DurĂ©e 22 hCommanditaires Anne Roche et Marie-Claude TarangerEnquĂȘteurs multipleAccĂšs sur Ganoub 31 Sur la mĂ©thodologie de la constitution de ce corpus autobiographique, voir ... 22Dans les annĂ©es 1980-1990 des Ă©tudiants de l’universitĂ© de Provence qui suivaient un cours de littĂ©rature axĂ© sur le rĂ©cit autobiographique dirigĂ© par Anne Roche et Marie-Claude Taranger devaient, dans le cadre de leur Ă©valuation, rĂ©aliser une enquĂȘte auprĂšs d’un tĂ©moin de leur choix sur des thĂ©matiques variant au cours des annĂ©es annĂ©es 1930, de la guerre de 1939-1945, du Front populaire, etc.. Certains d’entre eux ont choisi de rĂ©aliser des entretiens avec des tĂ©moins qui vivaient dans un pays du Maghreb dans les annĂ©es 1930 ou pendant la Seconde Guerre mondiale. D’autres ont choisi d’interroger ceux qui ont vĂ©cu la guerre d’AlgĂ©rie du cĂŽtĂ© des soldats du contingent. Comme dans les autres entretiens rĂ©alisĂ©s dans le cadre de cet enseignement, les consignes donnĂ©es aux tĂ©moins Ă©taient trĂšs ouvertes il s’agissait de raconter leur vie quotidienne et leurs souvenirs31. Les tĂ©moins parlent de ce qu’ils ont vu, de ce qu’ils ont vĂ©cu, aussi de ce qu’ils ont entendu dire, ou cru, ou espĂ©rĂ© et parfois de ce qu’ils ont appris depuis, par diffĂ©rentes voies, avec le souci frĂ©quent de distinguer ces diffĂ©rents plans. Anne Roche a rĂ©digĂ© Ă  partir de ces entretiens un article pour une exposition au MusĂ©e d’histoire contemporaine en 1992 voir supra. Nous avons repris le titre de son article pour regrouper et prĂ©senter tous les rĂ©cits autobiographiques enregistrĂ©s auprĂšs de tĂ©moins ayant vĂ©cu en AlgĂ©rie, au Maroc ou en Tunisie des annĂ©es 1930 Ă  1962. RĂ©cits de vie de harkis Dates d’enregistrement 1997-1998Nombre d’entretiens 56DurĂ©e 75 h 15 minEnquĂȘteur GrĂ©gor MathiasAccĂšs sur Ganoub 32 Gregor Mathias, Survivre Ă  l’indĂ©pendance algĂ©rienne. ItinĂ©raires de moghaznis en 1962-1963 », da ... 23Ces 56 enquĂȘtes, rĂ©alisĂ©es par GrĂ©gor Mathias, alors Ă©tudiant en DEA auprĂšs d’engagĂ©s et auxiliaires militaires français-musulmans de la guerre d’AlgĂ©rie 1954-1962, ont Ă©tĂ© enregistrĂ©es dans le cadre d’une convention entre l’universitĂ© de Provence et l’Association des anciens des Affaires algĂ©riennes. Le chercheur suit un questionnaire qui aborde les questions de la situation socio-Ă©conomique de l’informateur, son lien avec le FLN Front de libĂ©ration nationale, les motivations, les circonstances et les consĂ©quences de son engagement, ses relations avec les officiers, sa vie militaire, son adhĂ©sion Ă  l’ALN ArmĂ©e de libĂ©ration nationale, le lien avec la population locale, puis aborde des questions plus larges sur les Ă©vĂ©nements politiques et en particulier, l’annĂ©e 1962. L’entretien se conclut sur le rĂ©cit du retour/arrivĂ©e de l’informateur en France. La totalitĂ© du corpus est numĂ©risĂ©e, ce qui permet de se dĂ©placer rapidement Ă  travers le questionnaire. En 2012, Ă  Saint-Brieuc, lors de la journĂ©e d’étude sur AlgĂ©rie, sorties de guerre », Gregor Mathias a repris 18 entretiens dĂ©posĂ©s Ă  la phonothĂšque de la MMSH pour esquisser une typologie des supplĂ©tifs abandonnĂ©s par l’armĂ©e française ou restĂ©s en AlgĂ©rie aprĂšs l’indĂ©pendance algĂ©rienne32. En 2017, Gregor Mathias a repris trois de ces entretiens dans son ouvrage La France ciblĂ©e. Terrorisme et contre-terrorisme pendant la guerre d’AlgĂ©rie, publiĂ© aux Ă©ditions VendĂ©miaire. TĂ©moignages d’appelĂ©s en AlgĂ©rie rĂ©sidant en Midi-PyrĂ©nĂ©es Dates d’enregistrement 1998-1999Nombre d’entretiens 17DurĂ©e 16 hEnquĂȘtrice Sandrine MarrouAccĂšs sur Ganoub 24Les entretiens de Sandrine Marrou avaient pour objectif de recueillir des mĂ©moires individuelles sur la question tabou » de la guerre d’AlgĂ©rie. Le master propose en effet une premiĂšre approche de la comprĂ©hension du refoulement dont est victime l’histoire de cette guerre, notamment par ceux qui l’ont faite. Le corpus est composĂ© de 17 tĂ©moignages anonymisĂ©s tous enregistrĂ©s dans le sud-ouest de la France, principalement en Tarn-et-Garonne. Deux d’entre eux font partie des rappelĂ©s » puisqu’ils avaient dĂ©jĂ  fait leur service militaire et un est un soldat engagĂ©, nĂ© en AlgĂ©rie. Le corpus est hĂ©tĂ©rogĂšne et couvre gĂ©ographiquement plusieurs lieux, des durĂ©es variables et des corps d’armĂ©e diffĂ©rents. L’annĂ©e du dĂ©part des informateurs pour l’AlgĂ©rie est Ă©galement trĂšs variable, mais aucun tĂ©moignage ne concerne la dĂ©mobilisation de l’étĂ© 1962. Dans l’objectif du dĂ©pĂŽt Ă  la phonothĂšque de la MMSH, Sandrine Marrou a rĂ©digĂ© une annexe complĂšte sur la mĂ©thode d’histoire orale et, en particulier, l’élaboration de la grille d’entretien, la recherche des informateurs, la cohĂ©rence du corpus et propose l’ensemble des transcriptions. En cours de traitement Ă  la phonothĂšque de la MMSH. 25Pour conclure, matĂ©riellement, les corpus sur la guerre d’indĂ©pendance en AlgĂ©rie sont mal cartographiĂ©s et les dĂ©pĂŽts accessibles difficiles Ă  identifier. Certes, il existe des fonds importants sur la question de la guerre d’indĂ©pendance en AlgĂ©rie et plus prĂ©cisĂ©ment des appelĂ©s comme ceux de l’Ina et du ministĂšre de la DĂ©fense. Toutefois, si nous reprenons l’expression de Florence Descamps qui, en Ă©voquant les fonds sonores parle de millefeuille mĂ©moriel et patrimonial », dans le cas de cette guerre, il semble bien que nombre de feuilles soient toujours manquantes. Nous savons pourtant que des enquĂȘtes ont Ă©tĂ© conduites par de nombreux chercheurs, issus de disciplines diffĂ©rentes, au cours du dernier tiers du xxe siĂšcle, mais tous n’ont pas fait la dĂ©marche de dĂ©poser les sources de leur recherche. À Aix-Marseille UniversitĂ©, plusieurs masters et des thĂšses qui s’appuyaient sur des entretiens d’acteurs de cette pĂ©riode ont Ă©tĂ© soutenus. Certains portent, par exemple, sur l’action des communistes pendant la guerre ou encore sur la catĂ©gorie professionnelle des officiers ou bien sur le retour des appelĂ©s, et indiquent dans leur note mĂ©thodologique s’appuyer sur des entretiens sans que les sources de la recherche aient Ă©tĂ© dĂ©posĂ©es. D’autres chercheurs en France ont aussi rĂ©alisĂ© des entretiens sur cette pĂ©riode et les dĂ©poseront peut-ĂȘtre, un jour, dans un service d’archives. Il convient de patienter encore la pratique vertueuse du dĂ©pĂŽt procĂšde tranquillement. Pour la communautĂ© scientifique, chercheurs et archivistes, il reste encore un important travail de repĂ©rage, de traitement et d’exploitation Ă  mener.
2010/21. Ce mercredi 20 octobre, c’est le gouvernement français qui a rĂ©agi de la maniĂšre la plus officielle qui soit. InterrogĂ©e au cours d’un point de presse ordinaire, la porte-parole du ministĂšre français des Affaires Ă©trangĂšres (Quai d’Orsay) a rĂ©clamĂ© le respect de « la souverainetĂ© » de son pays par l’AlgĂ©rie.
Annuaire Mairie / Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur / Bouches-du-RhĂŽne / MĂ©tropole d'Aix-Marseille-Provence / Marseille / 13Ăšme arrondissement de Marseille13Ăšme arrondissement de Marseille est une ville française situĂ©e dans le dĂ©partement des Bouches-du-RhĂŽne et la rĂ©gion de Provence-Alpes-CĂŽte d'Azur. Ses habitants sont appelĂ©s les Marseillais et les commune s'Ă©tend sur 28,1 kmÂČ et compte 91 358 habitants depuis le dernier recensement de la population. Avec une densitĂ© de 3 253,5 habitants par kmÂČ, 13Ăšme arrondissement de Marseille a connu une nette hausse de 17% de sa population par rapport Ă  par les communes de Plan-de-Cuques, Marseille et SeptĂšmes-les-Vallons, 13Ăšme arrondissement de Marseille est situĂ©e Ă  4 km au nord-est de Marseille. SituĂ©e Ă  65 mĂštres d'altitude, la ville du 13Ăšme arrondissement de Marseille a pour coordonnĂ©es gĂ©ographiques Latitude 43° 19' 9'' nordLongitude 5° 24' 30'' maire du 13Ăšme arrondissement de Marseille se nomme Monsieur StĂ©phane commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille fait partie de la MĂ©tropole d' commune est proche du parc naturel rĂ©gional du toutes vos dĂ©marches administratives, vous pouvez vous rendre Ă  l'hĂŽtel de ville du 13Ăšme arrondissement de Marseille situĂ© au 72 Rue Paul-Coxe aux horaires d'ouverture indiquĂ©s sur cette page. Vous pouvez aussi contacter la mairie par tĂ©lĂ©phone ou par courrier Ă©lectronique en utilisant l'adresse e-mail de la mairie indiquĂ©e administrativesLa mairie du 13Ăšme arrondissement de Marseille Adresse postale de la mairie 72 Rue Paul-Coxe 13014 Marseille Horaires d'ouverture de la mairie ouvert au public de 8h Ă  18hVous pouvez tĂ©lĂ©phoner Ă  la mairie du 13Ăšme arrondissement de Marseille aux horaires d'ouverture indiquĂ©s ci-dessus TĂ©lĂ©phone 04 91 55 42 02International +33 4 91 55 42 02 Fax 04 91 55 42 85International +33 4 91 55 42 85Courriel [email protected] Site officiel du 13Ăšme arrondissement de Marseille DĂ©marches en mairie du 13Ăšme arrondissement de MarseillePour toutes vos dĂ©marches administratives Ă  la mairie du 13Ăšme arrondissement de Marseille, que ce soit pour la dĂ©livrance d'un acte de naissance, de mariage, de dĂ©cĂšs ou autres actes d'Ă©tat civil, mais aussi pour une dĂ©claration de naissance ou une demande en rapport Ă  votre livret de famille, n'hĂ©sitez pas Ă  consulter notre section ci-dessous regroupant toutes les dĂ©marches en mairie dont vous aurez besoin. Vous y trouverez aussi des informations sur la dĂ©livrance d'une carte d'identitĂ© ou d'une carte Ă©lectorale ainsi que tout ce qui touche Ă  l'urbanisme, comme par exemple comment dĂ©poser vos permis de construire, d'amĂ©nager ou de dĂ©molir ou encore vos dĂ©clarations de au 13Ăšme arrondissement de Marseille DĂ©marches Ă  la prĂ©fecture des Bouches-du-RhĂŽnePour toutes vos dĂ©marches Ă  la prĂ©fecture des Bouches-du-RhĂŽne, que ça soit concernant la dĂ©livrance d'un titre de sĂ©jour, d'un permis de conduire, l'obtention d'une carte grise, de la vignette CRIT'Air ou d'un certificat de non gage, vous trouverez l'ensemble des informations ci-dessous Autres dĂ©marches Acquisition et dĂ©tention d'armes Permis et immatriculation de bateau CrĂ©ation, modification d'associations Entreprises et dĂ©marches professionnellesPrĂ©fecture des Bouches-du-RhĂŽne DĂ©marches en ligneDĂ©sormais, les accĂšs aux dĂ©marches via Internet sont de plus en plus nombreux, ce qui facilite grandement les formalitĂ©s administratives. Vous pouvez dĂ©sormais payer ou contester les amendes par radars, demander un extrait de casier judiciaire mais aussi dĂ©clarer vos revenus et consulter votre dossier fiscal ou consulter des remboursements de la sĂ©curitĂ© sociale ou encore demander une carte europĂ©enne d'assurance maladie. Vous trouverez sur la section suivante toutes les informations et les liens afin de rĂ©aliser ces d'adresse au 13Ăšme arrondissement de MarseilleVous dĂ©mĂ©nagez ou faites construire sur la commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille et souhaitez connaĂźtre les dĂ©marches Ă  effectuer pour vous raccorder aux diffĂ©rents rĂ©seaux prĂ©sents tĂ©lĂ©com, Internet, eau, gaz, Ă©lectricitĂ© etc. ?Vous trouverez ci-dessous les informations dont vous avez besoin pour rĂ©aliser sereinement votre changement d'adresse mais Ă©galement un Ă©ventail des services prĂ©sents aux alentours, comme les Ă©coles, les crĂšches, les haltes garderies, les bureaux de Poste, les dĂ©chetteries d'adresse au 13Ăšme arrondissement de MarseilleOrganismes Ă  prĂ©venir et courier postalPiĂšces Ă  modifier carte d'Ă©lecteur, certificat d'immatriculation pour vos enfants Ă©coles, crĂšches, haltes-garderies, assistantes maternelles et taxe d'habitation au 13Ăšme arrondissement de MarseilleTĂ©lĂ©communications ADSL, fibre et mobileOffres Internet disponibles au 13Ăšme arrondissement de MarseilleTests de dĂ©bit et Ă©ligibilitĂ© de votre ligne tĂ©lĂ©phoniqueCouverture ADSL et mobile 3G/4G au 13Ăšme arrondissement de MarseillePromotions et conseilsRaccordement Ă©lectricitĂ©, gaz et eau au 13Ăšme arrondissement de MarseilleOffres et promotions disponibles au 13Ăšme arrondissement de MarseilleSouscription et rĂ©siliation de vos contratsDĂ©marches d'accĂšs Ă  l'eau potable Ă  effectuerContacts utiles au 13Ăšme arrondissement de MarseilleDĂ©mĂ©nagement par un professionnelConseils pour simplifier votre dĂ©mĂ©nagementMeilleurs tarifs de dĂ©mĂ©nageurs sur le marchĂ©DĂ©mĂ©nagement au 13Ăšme arrondissement de Marseille Service public et administrationSocial et santĂ©CAF 13Ăšme arrondissement de MarseilleCPAM 13Ăšme arrondissement de MarseilleCPAM de Marseille - Les Chartreux - Saint-JustCPAM de Marseille - Burel Ă  kmCPAM de Marseille - Saint-BarnabĂ© - Les CaillolsCPAM de Marseille -Le Canet Ă  kmImpĂŽts, justice et sĂ©curitĂ© La villeLa population et les habitants du 13Ăšme arrondissement de MarseilleAvec une densitĂ© de population de 3 253,5 hab/kmÂČ, la commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille dont la population totale est de 91 358 habitants Population municipale lĂ©gale en vigueur au 1er janvier 2022, recensement de 2019 pour une population municipale de 91 992 compte une proportion de 47% d'hommes pour 53% de habitants du 13Ăšme arrondissement de Marseille, ou gentilĂ©, sont appelĂ©s les Marseillais et les politiqueLe conseil municipal Les Ă©lusLe maire du 13Ăšme arrondissement de Marseille se nomme Monsieur StĂ©phane RAVIER pour un mandat de 6 ans 2020-2026. Nous n'avons pas rĂ©fĂ©rencĂ© les noms des adjoints et des conseillers municipaux de la mairie du 13Ăšme arrondissement de Marseille...Anciens maires du 13Ăšme arrondissement de MarseillePĂ©riodesMairesDepuis le 22 septembre 2017Mme Sandrine D'ANGIODe mars 2014 au 22 septembre 2017StĂ©phane RavierDe mars 2001 Ă  mars 2014Georges HovsepianDe juin 1995 Ă  mars 2001Alain DecampsDe mars 1989 Ă  juin 1995Pierre RastoinDe mars 1983 Ă  mars 1989Lucien WeygandVote et rĂ©sultats d'Ă©lectionsPour pouvoir voter au 13Ăšme arrondissement de Marseille, veuillez demander votre carte Ă©lectorale, ou carte d'Ă©lecteur, et ainsi vous aurez la possibilitĂ© de voter au bureau de vote du 13Ăšme arrondissement de carte d'Ă©lecteur n'est pas forcĂ©ment indispensable pour voter. En effet, en cas d'oubli, de perte ou de vol, il suffit de prĂ©senter un justificatif d'identitĂ© au bureau de vote pour participer au scrutin. Il faut cependant vĂ©rifier au prĂ©alable que l'on est bien inscrit sur la liste Ă©lectorale de sa commune ou de son voici la liste des Ă©lections qui se sont dĂ©roulĂ©es sur la commune LĂ©gislatives 2022LĂ©gislatives 2017EuropĂ©ennes 2019EuropĂ©ennes 2014 DĂ©partementales 2015 Abs. 48,97 %Municipales 2020Municipales 2014 HĂ©bergementsImmobilier au 13Ăšme arrondissement de MarseilleRĂ©ductions et crĂ©dits d'impĂŽt Afin de soutenir la mise sur le marchĂ© de logements locatifs ainsi que la rĂ©novation de l'habitat ancien, plusieurs dispositifs permettant de rĂ©duire le montant de l'impĂŽt sur le revenu ont Ă©tĂ© mis en place par l’État. Tout investissement immobilier rĂ©alisĂ© dans une commune oĂč l'offre locative est considĂ©rĂ©e insuffisante peut ĂȘtre partiellement dĂ©duit de ses impĂŽts, Ă  la condition de respecter quelques rĂšgles. Pour bĂ©nĂ©ficier du dispositif prĂ©vu par la loi Pinel, il est ainsi impĂ©ratif de s'engager Ă  louer le logement Ă  un montant infĂ©rieur au prix du marchĂ©, pendant une durĂ©e minimale de 6 ans. Immobilier au 13Ăšme arrondissement de Marseille HĂŽtels proches du 13Ăšme arrondissement de MarseilleCampanile Aix-En-Provence Est - MeyreuilCet hĂŽtel Campanile vous accueille Ă  8 km de la gare d'Aix-en-Provence, dans la ville provençale de Meyreuil. Une connexion Wi-Fi et un parking privĂ© sont disponibles gratuitement. Toutes les chambres
hotelF1 Aix En Provence Sainte VictoireSituĂ© Ă  Meyreuil, l'hotelF1 Aix En Provence Sainte Victoire propose une connexion Wi-Fi gratuite. Toutes les chambres disposent d'une tĂ©lĂ©vision par cĂąble Ă  Ă©cran plat et d'une salle de bains commune. Vous
Ibis Budget Aix En Provence Est Sainte VictoireL'Ibis Budget Aix En Provence Est Sainte Victoire est situĂ© Ă  Meyreuil, Ă  25 km de Marseille et Ă  8 km d'Aix-en-Provence. Ses chambres comprennent toutes une tĂ©lĂ©vision Ă  Ă©cran plat. La rĂ©ception est ouverte
Location saisonniĂšreLocations saisonniĂšres de vacances ou d'Elen IVSituĂ© Ă  Marseille, Ă  6 km de la rue Saint-FerrĂ©ol et du centre commercial Les Terrasses du Port, l'Ă©tablissement Mer d'Elen IV propose un hĂ©bergement climatisĂ© avec un balcon et une connexion Wi-Fi gratuite.
Le Clos du JasLe Clos du Jas est situĂ© Ă  Marseille. Il dispose d'un jardin fleuri avec une terrasse et un coin salon extĂ©rieur. InstallĂ© sur une colline, il offre une vue sur la ville. DĂ©corĂ©es dans un style contemporain,
La Villa BlancheSituĂ© sur une colline, l'hĂŽtel La Villa Blanche possĂšde une piscine extĂ©rieure ainsi qu'une terrasse surplombant le port et la vallĂ©e de Marseille. Ses chambres Ă©lĂ©gantes comprennent une terrasse privĂ©e.
CampingCamping Le DevanconLe Camping le Devançon vous accueille en Provence Ă  quelques kilomĂštres de la cĂ©lĂšbre montagne Sainte Victoire et d'Aix-en-Provence et Ă  30 minutes de la mer MĂ©diterranĂ©e. TrĂšs arborĂ©, il est le point de
Camping Lou SouleĂŻLe camping Lou SouleĂŻ est situĂ© Ă  Carry le Rouet dans le dĂ©partement des Bouches-du-RhĂŽne, sur la CĂŽte Bleue, Ă  proximitĂ© de Sausset Les Pins, Martigues, Marignane, Marseille et Aix-en-Provence. Sur place vous
Camping ChanteclerSituĂ© dans un parc de 10 hectares, le camping Chantecler vous accueille toute l'annĂ©e pour vos vacances ou week-end. En plus de sa vue imprenable sur la montagne Saint-Victoire le camping est idĂ©al pour les
HĂ©bergement au 13Ăšme arrondissement de Marseille Sorties et loisirsRestaurantsVous recherchez une table pour dĂ©jeuner ou pour un diner sur 13Ăšme arrondissement de Marseille ?ActivitĂ©s et loisirsVoici une liste non exhaustive d'activitĂ©s et de loisirs proches du 13Ăšme arrondissement de de sportPalais des sports de Marseille Ă  km Vie Ă©conomiqueSalaire et emplois au 13Ăšme arrondissement de MarseilleVous recherchez un emploi proche du 13Ăšme arrondissement de Marseille, consultez les Offres d'emploi au 13Ăšme arrondissement de Marseille et ses environs. Pour savoir combien gagne les habitants du 13Ăšme arrondissement de Marseille, tous les montants des salaires et des impĂŽts sont prĂ©sentĂ©s sur la page du salaire au 13Ăšme arrondissement de emploi 13Ăšme arrondissement de Marseille Commerces prĂ©sentsEn 2019, les marseillais disposent de 22 types de commerce ouverts sur la commune, voici la liste des types de commerce de la ville 63 Boulangeries43 Épiceries33 Magasins de vĂȘtements28 Boucheries, charcuteries21 Fleuristes, Jardineries, Animaleries20 Magasins d'optique13 SupermarchĂ©s12 Librairie, papeteries, journaux8 Stations-service7 Parfumeries, CosmĂ©tiques7 SupĂ©rettes5 Bijouteries, Horlogeries5 Magasins d'Ă©quipements du foyer4 Magasins de meubles3 Magasins d'Ă©lectromĂ©nager3 Drogueries, quincailleries, bricolage2 Poissonneries2 Magasins de produits surgelĂ©s2 Grandes surfaces de bricolage1 Magasin d'articles de sports1 Magasin de chaussures1 HypermarchĂ©Centre commercialBesoin de faire des courses, voici l'unique centre commercial sur 13Ăšme arrondissement de Marseille. CommerçantsEntreprises au 13Ăšme arrondissement de MarseilleVoici les principaux secteurs d'activitĂ©s de la commune du 13Ăšme arrondissement de projet travaux ? Comparez les devis d'artisans sur 13Ăšme arrondissement de immobiliĂšres au 13Ăšme arrondissement de Marseille 2137ActivitĂ©s pour la santĂ© humaine au 13Ăšme arrondissement de Marseille 914Commerce de dĂ©tail, Ă  l'exception des automobiles et des motocycles au 13Ăšme arrondissement de Marseille 821Travaux de construction spĂ©cialisĂ©s au 13Ăšme arrondissement de Marseille 774ActivitĂ©s des organisations associatives au 13Ăšme arrondissement de Marseille 752Enseignement au 13Ăšme arrondissement de Marseille 380Autres services personnels au 13Ăšme arrondissement de Marseille 283ActivitĂ©s des siĂšges sociaux ; conseil de gestion au 13Ăšme arrondissement de Marseille 268ActivitĂ©s sportives, rĂ©crĂ©atives et de loisirs au 13Ăšme arrondissement de Marseille 256Restauration au 13Ăšme arrondissement de Marseille 247Entreprise au 13Ăšme arrondissement de Marseille Education et enseignementLa commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille dĂ©pend de l'AcadĂ©mie d'Aix-Marseille et les Ă©coles primaires de la commune dĂ©pendent de l'Inspection acadĂ©mique des le calendrier des vacances scolaires, 13Ăšme arrondissement de Marseille est en zone la commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille, 84 Ă©tablissements scolaires sont ouverts 64 Ă©coles, 11 collĂšges et 9 au 13Ăšme arrondissement de MarseilleCi dessous, voici une sĂ©lection de 6 Ă©coles du 13Ăšme arrondissement de Marseille. Pour consulter la liste complĂšte des 64 Ă©coles, merci de cliquer sur le lien en primaire Batarelle La École Ă©lĂ©mentaire public 38 Rue de Lissandre École Ă©lĂ©mentaire Gan École Ă©lĂ©mentaire privĂ©e 112 Boulevard Barry École Ă©lĂ©mentaire ZAC ChĂąteau Gombert École Ă©lĂ©mentaire public 13 Rue Robert de Roux École maternelle Balustres Les École maternelle public Chemin Notre Dame de Consolation École maternelle Batarelle La École maternelle public Rue de Lissandre École maternelle Bouge École maternelle public 22 Rue Marathon CollĂšges au 13Ăšme arrondissement de MarseilleCi dessous, voici une sĂ©lection de 6 collĂšges du 13Ăšme arrondissement de Marseille. Pour consulter la liste complĂšte des 11 collĂšges, merci de cliquer sur le lien en AndrĂ© Malraux CollĂšge public 250 Rue Albert Einstein CollĂšge Auguste Renoir CollĂšge public 50 Avenue Saint-paul CollĂšge Edmond Rostand CollĂšge public 50 Avenue Saint-paul CollĂšge Jacques PrĂ©vert CollĂšge public 1 Avenue de Frais Vallon CollĂšge Jean Giono CollĂšge public 9 AllĂ©e des Chardonnerets CollĂšge Lacordaire CollĂšge privĂ© 7 Boulevard Lacordaire LycĂ©es au 13Ăšme arrondissement de MarseilleCi dessous, voici une sĂ©lection de 6 lycĂ©es du 13Ăšme arrondissement de Marseille. Pour consulter la liste complĂšte des 9 lycĂ©es, merci de cliquer sur le lien en professionnel privĂ© Saint-François de Sales LycĂ©e privĂ© 20 Boulevard Madeleine Remusat LycĂ©e SĂ©vignĂ© LycĂ©e privĂ© 1 Avenue de Saint JĂ©rĂŽme LycĂ©e YavnĂ© LycĂ©e privĂ© 44-46 Boulevard Barry LycĂ©e Antonin Artaud LycĂ©e gĂ©nĂ©ral et technologique public 25 Chemin Notre-dame de la Consolation LycĂ©e Denis Diderot LycĂ©e public 23 Boulevard Laveran LycĂ©e Lacordaire LycĂ©e privĂ© 7 Boulevard Lacordaire Etablissements scolaires au 13Ăšme arrondissement de Marseille GĂ©ographieInformations gĂ©ographiques gĂ©nĂ©ralesLocalisation sur la carte de FranceCommune rurale française, 13Ăšme arrondissement de Marseille couvre une superficie de 2808 hectares soit 28,08 kmÂČ. Pour la commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille, le code INSEE issu du code officiel gĂ©ographique français est le code arrondissement de Marseille est proche du Parc naturel rĂ©gional du Luberon., la commune dont la mairie se situe Ă  65 mĂštres d'altitude n'accueille aucune rĂ©serve naturelle sur son par un Climat mĂ©diterranĂ©en avec Ă©tĂ© chaud Classification de Köppen Csa, la commune se situe dans le fuseau horaire UTC +100 Europe/Paris. L'heure d'Ă©tĂ© correspond Ă  UTC+200 tandis que l'heure d'hiver correspond Ă  UTC +1 une localisation aisĂ©e de la ville du 13Ăšme arrondissement de Marseille, dont le code postal est 13013, sur une carte, dans une application web ou avec un GPS, vous pouvez utiliser ses coordonnĂ©es gĂ©ographiques qui vous sont proposĂ©es dans les principaux systĂšmes de projection pour rĂ©pondre aux besoins les plus le mercredi 20 avril 2022 au 13Ăšme arrondissement de Marseille, le lever du soleil est Ă  06h47 et le coucher du soleil est Ă  coordonnĂ©es gĂ©ographiques du 13Ăšme arrondissement de Marseille en dĂ©cimales sont de latitude et de coordonnĂ©es gĂ©ographiques sexagĂ©simales du 13Ăšme arrondissement de Marseille sont latitude nord 43° 19' 9'' et longitude est 5° 24' 30''.Les coordonnĂ©es cartographiques en projection Lambert 93 du 13Ăšme arrondissement de Marseille sont X 895435 Y coordonnĂ©es cartographiques en projection Lambert II Ă©tendu du 13Ăšme arrondissement de Marseille sont X 849481 Y vous informer sur les diffĂ©rents types de terrains prĂ©sent sur le territoire de la commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille, merci de vous rendre sur l'occupation des sols du 13Ăšme arrondissement de au 13Ăšme arrondissement de Marseille et prĂ©visionsMĂ©tĂ©o au 13Ăšme arrondissement de Marseille DĂ©coupage administratifÉtant admis qu'il peut parfois s'avĂ©rer utile de pouvoir rattacher la commune française du 13Ăšme arrondissement de Marseille aux diffĂ©rents Ă©chelons administratifs auxquels elle appartient pour des raisons notamment administratives et Ă©lectorales, nous avons rĂ©fĂ©rencĂ© sa rĂ©gion, son dĂ©partement, son arrondissement ainsi que son canton. Pour les intercommunalitĂ©s, merci de consulter la rubrique dĂ©diĂ©e.Cartes, itinĂ©raires et plan du 13Ăšme arrondissement de MarseilleOutre la consultation des photos aĂ©riennes, du plan routier ou encore de la liste des rues et places de la ville du 13Ăšme arrondissement de Marseille, cette rubrique cartographique permet de dĂ©couvrir les limites des parcelles cadastrales ainsi que l'existence d'un PLU anciennement POS ou d'une carte satisfaire les attentes du plus grand nombre, nous proposons Ă©galement la consultation de la carte IGN qui est une rĂ©fĂ©rence pour la prĂ©paration des promenades et randonnĂ©es, de la carte de Cassini et de la carte d'Ă©tat major qui peuvent ĂȘtre particuliĂšrement utiles pour les personnes fĂ©rues d'histoire ainsi que de la carte gĂ©ologique prisĂ©e par les amoureux des roches et des calculer un itinĂ©raire Ă  partir du 13Ăšme arrondissement de Marseille ou pour vous y rendre ou consulter les photographies aĂ©riennes, les cartes IGN, les carte gĂ©ologique du 13Ăšme arrondissement de Marseille, les cartes de Cassini et d'Ă©tat major, rendez-vous sur le plan du 13Ăšme arrondissement de et villages voisinsEn vue d'aider Ă  localiser 13Ăšme arrondissement de Marseille sur une carte et de faciliter la planification de dĂ©placements dans ses alentours immĂ©diats, nous avons reportĂ© les communes limitrophes sur un schĂ©ma basĂ© sur le principe de la rose des vents auquel se joint la liste des communes les plus proches ordonnĂ©es par Ă©loignement et villages limitrophes au 13Ăšme arrondissement de MarseilleCommunes voisines au 13Ăšme arrondissement de MarseilleMarseille kmPlan-de-Cuques kmAllauch kmSeptĂšmes-les-Vallons kmLa Penne-sur-Huveaune kmSimiane-Collongue kmLes Pennes-Mirabeau kmMimet kmSaint-Savournin kmCabriĂšs kmLe Rove kmCadolive kmDistances avec les plus grandes villes françaisesCi-dessous, voici une liste de distances "Ă  vol d'oiseau" entre 13Ăšme arrondissement de Marseille et les plus grandes villes 654 kmMarseille 4 km la plus procheLyon 275 kmToulouse 322 kmNice 156 kmNantes 697 kmMontpellier 126 kmStrasbourg 612 kmBordeaux 509 kmLille 833 kmRennes 766 kmReims 670 kmDistances avec 13Ăšme arrondissement de Marseille Toponymie et traductionPour faciliter des recherches dans des ouvrages en langue Ă©trangĂšre, la transcription du 13Ăšme arrondissement de Marseille dans des systĂšmes d'Ă©criture non latine est proposĂ©e Marseille 13e arrondissementAux alentours du 13Ăšme arrondissement de MarseilleVoici une liste de points d'intĂ©rĂȘts situĂ©s sur la commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille et sur ses PinĂšde kmCap Janet 5 kmCap de Croix kmmanoir ou chĂąteauChĂąteau du Bras kmChĂąteau d’ If kmfortFort Saint-Nicolas kmFort Grasse-Tilly kmFort Saint-Jean kmpointePointe d’ Endoume kmPointe de Roucas Blanc kmLa Pointe Rouge kmplagePlage du Prado kmmontagneL’Etoile kmÉtoile kmGrande Étoile kmGrande Etoile Montagne kmMont Carpiagne 9 kmchaĂźne de montagnesMonts de la Gineste kmChaĂźne de Saint-Cyr 9 kmChaĂźne de l’ Étoile km Vie quotidienneSĂ©curitĂ© et dĂ©linquance au 13Ăšme arrondissement de MarseilleTous les dĂ©lits commis sur le terrtioire de la commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille doivent ĂȘtre signalĂ©s Ă  la police du Commissariat de police de Marseille qui dĂ©pend de la zone de police de connaĂźtre l'Ă©tat de la sĂ©curitĂ© sur la commune et savoir le nombre de vols, de cambriolages, de dĂ©gradations et autres crimes et dĂ©lits, merci de vous rendre sur la page des chiffres de la dĂ©linquance sur 13Ăšme arrondissement de Marseille. Vous aurez accĂšs Ă  l'ensemble des statistiques sur les crimes et les dĂ©lits constatĂ©s sur le territoire du 13Ăšme arrondissement de de la santĂ©Associations au 13Ăšme arrondissement de MarseilleVoici les diffĂ©rents types d'association prĂ©sent sur 13Ăšme arrondissement de activitĂ©s de plein air 129Éducation formation 110Pratiques d'activitĂ©s artistiques ou culturelles 89Amicales 40Interventions sociales 37Logement 31Aide Ă  l'emploi 29Services familiaux 26Clubs de loisirs, relations 19Action socioculturelle 19Environnement, cadre de vie 15SantĂ© 13Etablissements mĂ©dico-sociaux 12DĂ©fense d'intĂ©rĂȘts Ă©conomiques 9Associations caritatives, humanitaires 8Information communication 6DĂ©fense de droits fondamentaux 5ArmĂ©e, anciens combattants 3Tourisme 1Recherche 1Cercle de rĂ©flexion 1SĂ©curitĂ©, protection civile 1ActivitĂ©s politiques 1Association du 13Ăšme arrondissement de Marseille Salle des fĂȘtes au 13Ăšme arrondissement de Marseille et ses environsBesoin de louer une salle des fĂȘtes pour un mariage, un anniversaire ou un autre Ă©venement ? Les salles des fĂȘtes ou salles polyvalentes sont mises Ă  disposition des marseillais par la commune Ă  un tarif prĂ©fĂ©rentiel. Vous pouvez nĂ©anmoins louer une salle dans une autre commune si vous ne trouvez pas de salle disponible sur votre avoir la liste des salles des fĂȘtes sur 13Ăšme arrondissement de Marseille et ses environs, rendez-vous sur la page dĂ©diĂ©e des fĂȘtes au 13Ăšme arrondissement de Marseille Les marchĂ©s proches du 13Ăšme arrondissement de MarseilleMarchĂ© Ă  MarseilleMarchĂ© Hebdomadaire, Lundi Matin, Places, 180 Ă  MarseilleMarchĂ© Hebdomadaire, Mardi Matin, Places, 180 Ă  MarseilleMarchĂ© Hebdomadaire, Mercredi Matin, Places, 180 Ă  MarseilleMarchĂ© Hebdomadaire, Jeudi Matin, Places, 150 Ă  MarseilleMarchĂ© Hebdomadaire, Vendredi Matin, Places, 150 au 13Ăšme arrondissement de Marseille Notaire, bureau de poste et dĂ©chĂšteriesPour la garde de vos enfants, la recherche d'une crĂšche, d'une assistante maternelle ou d'une nounou sur 13Ăšme arrondissement de Marseille nous avons listĂ© les 219 assistantes maternelles agréées sur 13Ăšme arrondissement de Marseille. Merci de vous rendre sur la page dĂ©diĂ©e pour voir la liste complĂšte de la commune. 16 crĂšches ou garderies sont aussi disponibles sur 13Ăšme arrondissement de Marseille sur la page dĂ©diĂ©e de garde d' NOTAIRE ASSOCIÉ, SELARLSAS BISMUTH ET ASSOCIESMORA-GREGOIRE ALICE Ă  kmCHAURIS, NOTAIRE ASSOCIÉ, SELASU Ă  kmBREITEL NICOLAS Ă  kmPoste Marseille Saint JustPoste Marseille Frais VallonPoste Marseille la RosePoste Marseille les OlivesPoste Marseille Chateau GombertDĂ©chetterie proche du 13Ăšme arrondissement de MarseilleÉdifices religieux11 Ă©difices religieux sont prĂ©sents sur le territoire de la commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille. Merci de vous rendre sur la liste complĂšte des Ă©difices religieux du 13Ăšme arrondissement de Marseille pour plus d' obtenir un acte de dĂ©cĂšs sur la commune, merci d'en faire la demande sur la page acte de dĂ©cĂšs au 13Ăšme arrondissement de crĂ©matorium le plus proche du 13Ăšme arrondissement de Marseille est le CrĂ©matorium de sur la communeLa mairie du 13Ăšme arrondissement de Marseille gĂšre les 3 cimetiĂšres disponibles sur le territoire communal et instruit les demandes de concessions et de renouvellements de concessions. Merci de vous adresser directement en mairie pour connaĂźtre les tarifs ainsi que la durĂ©e des concessions et des cases de Columbarium Les tarifs peuvent variĂ©s suivant le cimetiĂšre. À noter que la ville du 13Ăšme arrondissement de Marseille peut reprendre l'emplacement concĂ©dĂ© non renouvelĂ© et procĂšde Ă  la destruction du monument et au transfert des restes mortels dans l'ossuaire la liste des cimetiĂšres du 13Ăšme arrondissement de Marseille CimetiĂšre des OlivesCimetiĂšre Saint-JĂ©rĂŽmeCimetiĂšre de ChĂąteau-GombertPompes funĂšbresTransports au 13Ăšme arrondissement de MarseilleTransport Intra-muros au 13Ăšme arrondissement de MarseilleHormis les gares ferroviaires, le MĂ©tro de Marseille 4 stations est le seul moyen de transport intra-muros au 13Ăšme arrondissement de Marseille qui a Ă©tĂ© rĂ©fĂ©rencĂ© par nos de Transport en pĂ©riphĂ©rie du 13Ăšme arrondissement de MarseilleAutoroutes prochesA507 Rond-Point PĂšre Wresinski - D4 km, La Rose km, Frais-Vallon Bifurcation de PlombiĂšres - A7 km, Arenc 3 km, A55 Échangeur n°6 Bifurcation de PlombiĂšres - A557 km, Échangeur n°5 La Rose 3 km, Gare Saint-Charles Les Ports km, Échangeur n°2 Joliette / Arenc km, A557 Échangeur n°a Menpenti - La Capelette km, Échangeur n°2 Place de Pologne km, Échangeur n°3 La Pomme et patrimoineImmeubles protĂ©gĂ©s et monuments historiquesAucun monument historique ou immeuble protĂ©gĂ© n'est prĂ©sent sur le territoire de la commune du 13Ăšme arrondissement de mondialVoici les 2 sites dans un rayon de 30 km autour du 13Ăšme arrondissement de Marseille a ĂȘtre classĂ© ou sur liste indicative par l'UNESCO au patrimoine mondial de l' patrimoines mondiaux en italique sont inscrits sur la liste indicative constituant la 1Ăšre Ă©tape de l'inscription sur la liste du patrimoine mondial. Ses sites ne sont donc pas encore classĂ©s par l'UNESCO. Catastrophes naturelles et risques potentielsLe portail de la prĂ©vention des risques majeurs français n'a rĂ©fĂ©rencĂ© aucune catastrophe naturelle ou technologique survenue sur le territoire de la commune du 13Ăšme arrondissement de existe un potentiel faible mais sur lequel des facteurs gĂ©ologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon, cet Ă©lement est un gaz radioactif produit par la dĂ©sintĂ©gration de l'uranium prĂ©sent dans les un rayon de 150 km autour du 13Ăšme arrondissement de Marseille, il y a 2 centrales nuclĂ©aires implantĂ©es La Site nuclĂ©aire de Marcoule Ă  108 km et la Centrale nuclĂ©aire du Tricastin Ă  125 km. La prĂ©sence de ces centrales prĂ©sente un risque nuclĂ©aire potentiel pour la risque potentiel majeur n'est signalĂ© par les services de l'Ă©tat pour le territoire de la aux questionsVoici une liste de questions rĂ©currentes sur 13Ăšme arrondissement de Marseille. Vous trouverez surement une rĂ©ponse Ă  votre quelle rĂ©gion se trouve Marseille 13e arrondissement ?La commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille se situe dans la rĂ©gion Provence-Alpes-CĂŽte d' quel dĂ©partement se trouve Marseille 13e arrondissement ?La commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille se situe dans le dĂ©partement des Bouches-du-RhĂŽne, dont le numĂ©ro est le quelle intercommunalitĂ© fait partie la commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille ?Quel est le code postal du 13Ăšme arrondissement de Marseille ?Le code postal du 13Ăšme arrondissement de Marseille est est l'adresse de la mairie du 13Ăšme arrondissement de Marseille ?La mairie du 13Ăšme arrondissement de Marseille se situe au 72 Rue Paul-Coxe 13014 horaires d'ouverture de la mairie sont indiquĂ©s sur la page de la est le numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone du 13Ăšme arrondissement de Marseille ?Pour avoir des renseignements concernant vos dĂ©marches composez le 0891 150 pouvez contacter la mairie du 13Ăšme arrondissement de Marseille au 04 91 55 42 sont les horaires d'ouverture de la mairie du 13Ăšme arrondissement de Marseille ?Voici les horaires d'ouverture de la mairie du 13Ăšme arrondissement de Marseille ouvert au public de 8h Ă  18hAvant de vous dĂ©placer, merci de verifier si la mairie est bien est le maire du 13Ăšme arrondissement de Marseille ?Depuis les derniĂšres Ă©lections municipales, le maire du 13Ăšme arrondissement de Marseille se nomme Monsieur StĂ©phane RAVIER. Il sera maire de la commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille jusqu'en 2026, date des prochaines y a-t-il d'habitants au 13Ăšme arrondissement de Marseille ?La commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille a une population de 91358 est la superficie du 13Ăšme arrondissement de Marseille ?La commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille a une superficie de 28,08 kmÂČ soit 2808 est la densitĂ© de population du 13Ăšme arrondissement de Marseille ?La commune du 13Ăšme arrondissement de Marseille a une densitĂ© de population de 3 253,5 habitants par s'appellent les habitants du 13Ăšme arrondissement de Marseille ?Les habitants du 13Ăšme arrondissement de Marseille se nomment les Marseillais et les Page du 13Ăšme arrondissement de MarseilleLa prĂ©sente page de 13Ăšme arrondissement de Marseille sur Annuaire Mairie a Ă©tĂ© modifiĂ©e pour la derniĂšre fois le mercredi 20 avril 2022 Ă  2050.» Si vous voulez nous signaler une erreur, merci de nous la signaler en utilisant ce vous dĂ©sirez faire une lien vers cette page, merci de copier/coller le code prĂ©sent ci-dessous Notez la commune du 13Ăšme arrondissement de MarseilleMarseillais, Marseillaises votez pour votre commune Note actuelle de 5/5 sur 14 votes.★★★★★
ALA MEMOIRE DE TOUS LES SOLDATS FRANCAIS MORTS EN AFN RESPECT ! Magnifique lettre d’un ancien d’AlgĂ©rie (A LIRE JUSQU'AU BOUT) Qui nous rappelle la duretĂ© de la guerre d’AlgĂ©rie que l’on veut nous
5 avril 2020 Je soutiens le Journal ChrĂ©tien Se dĂ©tendre pendant les vacances, oui ; au soleil, non! MĂ©decins et responsables politiques se sont relayĂ©s dimanche pour appeler les Français Ă  respecter le confinement visant Ă  contrĂŽler l’épidĂ©mie de Covid-19, malgrĂ© l’arrivĂ©e du beau temps et de tempĂ©ratures clĂ©mentes dans tout le pays. Quand on voit certaines images, certaines attitudes, elles nous semblent incomprĂ©hensibles », a confiĂ© Jean Rottner, le prĂ©sident de la rĂ©gion Grand Est, la plus durement frappĂ©e jusqu’à prĂ©sent, sur BFMTV. A Paris, le directeur de l’AP-HP, Martin Hirsch, avait tirĂ© la sonnette d’alarme dĂšs samedi soir en s’inquiĂ©tant de voir trop de monde dans les rues » de la capitale au moment oĂč les services de rĂ©animation des hĂŽpitaux dĂ©bordent. La prĂ©sident de la rĂ©gion Île-de-France, ValĂ©rie PĂ©cresse, a fait le mĂȘme constat dimanche et mis en garde la population contre les consĂ©quences de ses actes. J’appelle les habitants d’Île-de-France Ă  faire preuve d’autodiscipline. Rien ne serait pire qu’un demi confinement car cela veut dire que tous les efforts que nous aurons faits auront Ă©tĂ© vains », a-t-elle dĂ©clarĂ© sur BFMTV. Il ne faut pas cĂ©der Ă  la tentation, mĂȘme si ce sont les vacances et qu’il fait beau », a insistĂ© ValĂ©rie PĂ©cresse. AprĂšs bientĂŽt trois semaines de confinement, le message avait du mal Ă  passer auprĂšs de certains flĂąneurs et sportifs du dimanche. C’est normal de vouloir sortir parce qu’à Paris, quand on vit dans 9 m2, ont a besoin de souffler une heure. Et lĂ , en plus, il fait beau », a dĂ©clarĂ© Ă  Reuters un joggeur qui n’a pas souhaitĂ© donner son nom. CONTRÔLES DE POLICE RENFORCÉS Devant un parc fermĂ© en raison de l’épidĂ©mie, une vingtaine de personnes couraient, se promenaient ou mĂȘme se reposaient sur des bancs sous l’oeil vigilant de policiers qui contrĂŽlaient rĂ©guliĂšrement leurs attestations dĂ©rogatoires de sortie. Parmi elles, Patricia, sortie avec ses deux filles pour promener ses chiens – dans le plus pur respect de la loi, assure-t-elle. On respecte le confinement. On sort le temps d’une balade, comme le prĂ©voit l’attestation dĂ©rogatoire, on ne fait pas plus. On fait nos courses au minimum. Je suis contente de promener les chiens, mes filles », a-t-elle dit. Dans certains lieux prisĂ©s des promeneurs parisiens, comme le Bois de Boulogne, la police a dĂ©ployĂ© des drones pour traquer les contrevenants. Aucun relĂąchement ne sera tolĂ©rĂ© par nos forces de l’ordre la santĂ© de tous passe par le civisme chacun », a prĂ©venu sur Twitter le secrĂ©taire d’État auprĂšs du ministre de l’IntĂ©rieur, Laurent Nuñez. Alors que le gouvernement avait commencĂ© Ă  faire part ces derniers jours de sa rĂ©flexion sur les mesures Ă  prendre pour sortir du confinement, Laurent Nuñez a fait une vive mise au point . Le dĂ©confinement n’est pas Ă  l’ordre du jour en cette pĂ©riode de vacances’ et de beau temps, les contrĂŽles ont Ă©tĂ© renforcĂ©s partout sur le territoire », a-t-il prĂ©venu. Le Journal ChrĂ©tien est un mĂ©dia d’espĂ©rance qui passe l’information au tamis de l’Évangile. Il parle des joies et des espoirs ainsi que des tristesses et des angoisses des femmes et des hommes de notre temps. Il appartient au portail web Ă©vangĂ©lique qui regroupe la plateforme de ressources bibliques Bible audio, le rĂ©seau social chrĂ©tien la chaĂźne de tĂ©lĂ©vision chrĂ©tienne Ă©vangĂ©lique ses applications chrĂ©tiennes gratuites et la lettre de nouvelles "Un message biblique par jour". Je fais un donVotre don est dĂ©ductible d’impĂŽt Ă  hauteur de 66 %, dans la limite de 20 % du revenu imposable. 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LaprĂ©sence de la "Lyre Ossunoise" qui, comme Ă  son habitude, s’est appliquĂ©e Ă  rehausser la solennitĂ© de cette cĂ©rĂ©monie, a interprĂ©tĂ© : le "garde Ă  vous", la "sonnerie aux morts", la "Marseillaise" puis "La marche des soldats" de Robert Bruce. Les Ecossais, alliĂ©s des Français contre les Anglais, jouĂšrent cette musique, de 1314 lors de l’entrĂ©e de Jeanne d’Arc

En ce samedi 19 mars 2022, les reprĂ©sentants des anciens combattants, les membres du conseil municipal et les reprĂ©sentants d’associations se sont rĂ©unis pour cĂ©lĂ©brer le 60e anniversaire du cessez le feu de la guerre d’AlgĂ©rie. Patrick Souyeux, prĂ©sident de l’ARAC Association RĂ©publicaine des Anciens Combattants dĂ©partemental a dirigĂ© la cĂ©rĂ©monie en prĂ©sence des membres de la FNACA FĂ©dĂ©ration Nationale des Anciens Combattants d’AlgĂ©rie-Maroc-Tunisie et de l’ARAC. AprĂšs la lecture du message national, le prĂ©sident de la FNACA et Emile Broutin reprĂ©sentant l’ARAC ont dĂ©posĂ© une gerbe, puis ce fut deux conseillĂšres municipales de Soues, Colette Cames et Paule Huillet qui, au nom de la mairie, ont a leur tour honorĂ© les combattants de toutes les guerres. AprĂšs l’appel aux morts, ce sera la Marseillaise qui rĂ©sonnera au pied du monument aux morts. Puis, les participants se rĂ©unirent pour terminer ce moment de recueillement autour d’un pot amical Ă  la Mairie.

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azazell Réponset'as de la chance je les eu en dmExplicationsLes combattants français sont appelés les Citoyensc'est l'amour de leur patrie qui les soutient 5 votes Thanks 1 Ryry2411 Merci beaucoup tu me sauves!! Je l'ai en DM pour demain. azazell de rien
b5B55.
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  • dans la marseillaise comment sont appelĂ©s les combattants français